L'Allemagne est le premier partenaire commercial de la Russie devant l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Finlande et la France.
Les principaux partenaires de la Russie dans la sphère des services ont été, en 2017, l'Allemagne, la France, les États-Unis, Chypre, la Grande-Bretagne, la Suisse, la Turquie, l'Irlande, la Chine et les Pays-Bas.
Les principaux clients de la Russie sont la Chine (14,6 % des exportations), les Pays-Bas (7,4 %), le Royaume-Uni (6,9 %), l'Allemagne (5,5 %), la Biélorussie (4,7 %) et la Turquie (4,7 %).
Le pays importe également des fruits, des tomates, de viande bovine, de l'huile de palme. La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux. Le pays figure parmi les premiers exportateurs mondiaux de blé, d'huile de tournesol, et d'orge.
Dans un rapport publié en mars 2021, le ministère de l'Économie explique que les produits des industries extractives (pétrole, gaz naturel) et produits pétroliers raffinés représentent plus de 77 % des importations françaises en provenance de Russie, sur un total, en 2020, de 5,7 milliards d'euros.
Le plus vaste Etat du monde compte également parmi les premiers producteurs de plusieurs métaux industriels. A l'instar du palladium (pour l'automobile), du cobalt (pour les batteries), du tungstène (pour l'électronique), ou encore du titane (pour l'aviation), l'Hexagone est très dépendant de l'aluminium russe.
La Russie exporte, pour l'essentiel, des ressources énergétiques ( pétrole et produits pétroliers, gaz, charbon), de l'acier laminé, des métaux ferreux et non-ferreux, des minéraux utiles. Le pétrole et les produits pétroliers munissent la grande partie de l'exportation russe.
L'Allemagne est le premier partenaire commercial de la Russie devant l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Finlande et la France.
“La Chine et l'Inde ne sont pas les seuls pays à acheter du pétrole russe”, commente Le Temps. La semaine dernière, l'Asie était encore la principale destination des exportations de brut russe, avec 50 % (1,71 million de barils), mais l'Europe en achetait 45 % (1,55 million de barils).
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
Des importations des marchandises françaises en Ukraine en 9 mois de 2021 se composaient principalement de produits chimiques divers (15,0%), moyens de transports terrestres autres que les chemins de fer (11,9%), produits pharmaceutiques (10,7%), réacteurs nucléaires, chaudières et machines (8,6%), huiles essentielles ...
Quelles sont les zones importatrices de céréales françaises ? La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
Les exportations françaises de blé tendre sur juillet-août devraient dépasser 2,4 millions de tonnes, soit plus de 800 000 tonnes au-dessus du précédent record en 2018. La France est en passe d'établir un nouveau record d'exportation de blé tendre sur les deux premiers mois de la campagne.
De son passé soviétique, la Russie a hérité d'une industrie métallurgique lourde puissante et concurrentielle, d'un savoir-faire pointu dans les domaines de l'aéronautique, de l'armement et de l'énergie.
Gaz, pétrole : les importations de Russie ont dépassé les 100 milliards d'euros en Europe. Selon le CREA, un think tank qui calcule les recettes russes sur l'énergie, l'Europe est encore le plus gros client de Moscou. Les Pays-Bas et l'Allemagne sont les pays qui continuent à importer le plus d'hydrocarbures.
Sur un an, le produit intérieur brut russe devrait s'élever à 2 136 milliards de dollars en 2023.
Au sein de l'UE, les 3 premiers clients de la Russie sont les Pays-Bas (7,4% des exportations russes), l'Allemagne (5,5%) et l'Italie (3%). A noter également la progression très importante des exportations russes vers le Royaume-Uni[3] (6,9%), devenu le 3 e client de la Russie en 2020 devant l'Allemagne.
La Syrie, le Venezuela, l'Iran et la Chine sont connus comme des alliés militaires potentiels de la Russie.
Les États-Unis ont toujours l'armée la plus puissante du monde devant la Russie. La France quant à elle reste 7e et confirme son statut de puissance majeure en Europe. Le Global Fire Power a dévoilé son classement des plus grandes puissances militaires en 2022.
Si de nombreux pays d'Europe centrale ou orientale dépendent entièrement de la Russie pour leur approvisionnement en gaz, comme la Slovaquie ou les Pays Baltes, la part du gaz russe est de 80 % en Pologne, 65 % en Autriche, 37 % en Allemagne et en Italie et 24 % en France.
Pétrole, gaz, mais aussi blé… La France dépend partiellement de la Russie, mais elle est aussi le premier employeur étranger dans ce pays.