L'adjectif éthique provient de latin ethos, qui signifie manière de vivre. Aussi, quelqu'un qui est éthique va réfléchir davantage, sera plus sensible moralement, et fera preuve d'une plus grande ouverture d'esprit, d'une plus grande empathie par rapport aux décisions à prendre.
Les principaux sont l'éthique appliquée, l'éthique normative et la méta-éthique (ou éthique fondamentale). L'éthique normative et la méta-éthique appartiennent à la philosophie et s'intéressent aux fondements de la morale. On les regroupe donc sous l'expression « philosophie morale ».
Etymologie : du grec ethikos, moral, de ethos, moeurs. L'éthique est la science de la morale et des moeurs. C'est une discipline philosophique qui réfléchit sur les finalités, sur les valeurs de l'existence, sur les conditions d'une vie heureuse, sur la notion de "bien" ou sur des questions de moeurs ou de morale.
Ces facteurs moraux sont généralement indissociables des pratiques religieuses et des structures sociales du pouvoir. L'éthique est une analyse systématique et critique de la morale et des facteurs moraux qui orientent la conduite humaine dans une société ou une activité donnée.
C'est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure.
L'adjectif éthique provient de latin ethos, qui signifie manière de vivre. Aussi, quelqu'un qui est éthique va réfléchir davantage, sera plus sensible moralement, et fera preuve d'une plus grande ouverture d'esprit, d'une plus grande empathie par rapport aux décisions à prendre.
Amorale. Amorale est le féminin du mot 'amoral' qui est apparu au cours de 1885, formé à partir du préfixe privatif 'a' et de 'moral'. Il... s'agit d'un adjectif qualifiant une personne qui est indifférente à la moralité et à l'éthique.
L'éthique chez les Anciens
Les premiers à l'étudier furent les Présocratiques, puis surtout Socrate, qui peut être considéré comme le premier philosophe de l'éthique. Platon est le penseur de l'Idée du Bien, en tant que lumière et possibilité d'accès à la connaissance.
Qu'il s'agisse des limites écologiques, démographiques, économiques, ou des limites qui sont induites par diverses formes d'inégalité ; ou encore des limites intérieures ou biologiques, celles des interventions dans le corps humain, le recours à une réflexion éthique, propre à fonder la légitimité des actions, apparaît ...
L'éthique au quotidien
Le rendre conscient des gestes éthiques au quotidien, c'est créer un cercle vertueux qu'il accomplira naturellement. Cela commence par des actions de développement durable au sein même de sa salle de pause.
Par exemple, le christianisme propose un ensemble de valeurs (la charité, le pardon) et de principes (« Aime ton prochain comme toi-même ») devant guider l'agir humain. Pour y référer, on parle de la « morale chrétienne ». L'éthique, quant à elle, n'est pas un ensemble de valeurs ni de principes en particulier.
Ensemble de principes moraux. Synonyme : morale, moralité.
Déontologie « Théorie de Devoir »:
Il faut faire la différence entre la morale, qui renvoie aux mœurs telles qu'elles sont pratiquées et la notion d'éthique, qui est le souci de fonder une morale, ce qui fait plutôt référence à la théorie, aux règles et aux principes.
L'éthique professionnelle est une branche de l'éthique appliquée qui traite précisément des professions. Ricœur (1991) définit l'éthique comme une sagesse pratique dont l'ambition est « la visée de la vie bonne, avec et pour les autres, dans des institutions justes ».
Avec l'éthique, on apprend à réfléchir. Cela permet de bâtir un argumentaire global pour émettre une recommandation ou prendre une décision défendable, sans occulter des parties du problème.
Il n'est pas nécessaire, pour se conformer à la déontologie, de réfléchir aux valeurs qui la sous-tendent ni même de partager ces valeurs. L'éthique, au contraire, invite le professionnel à réfléchir sur les valeurs qui motivent son action et à choisir, sur cette base, la conduite la plus appropriée.
D'autres avantages sont à souligner : Fierté d'appartenance et solidarité pour les collaborateurs internes ; Crédibilité, pérennité et culture d'entreprise pour la structure ; Confiance de la part des parties externes.
On se trouve alors vraisemblablement face à un problème éthique où la pesée des différentes valeurs diffère d'une personne à l'autre. D'autres fois, face à certains choix que le patient ou le professionnel doit prendre, il ressent une sorte d'incertitude ou d'inconfort, que l'on pourrait qualifier d'inconfort moral.
Dans les religions, l'éthique se fonde soit sur un théisme (d'où la responsabilité face à un créateur dans les reli- gions monothéistes), soit sur une conception cosmo- logique (où l'homme est totalement intégré comme un élément de la nature).
L'origine. Le mot éthique vient d'un mot grec signifiant « qui concerne la morale, les mœurs ». C'est donc sans surprise qu'éthique a désigné initialement, en philosophie, la science de la morale.
Platon et l'éthique comme maîtrise de la situation
se rapproche du rationalisme moral sans toutefois se confondre avec lui. En effet, le rationalisme est une doctrine selon laquelle les principes et les maximes dans la conduite morale sont posés a priori par la raison, c'est-à-dire indépendamment de l'expérience.
Le terme « déontologie » vient du grec deontos, qui veut dire « devoir ». Dans son sens courant, il renvoie aux obligations que des personnes sont tenues de respecter dans leur travail.
Qui ne présente aucun motif de préférence, qui est neutre, égal : Choix indifférent. 2. Qui ne suscite chez quelqu'un aucun sentiment particulier, aucune réaction précise, qui n'a à ses yeux aucun intérêt : La politique le laisse indifférent. 3.
Les membres de professions doivent posséder des qualités comme l'intégrité, la compétence, la responsabilité, le respect et la confiance, en vue de se protéger eux-mêmes ainsi que les autres1. C'est ce qu'on appelle souvent avoir une « conduite professionnelle ».