« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l'ennemi sera victorieux une fois sur deux.
- Sun Tzu. Connais ton ennemi et connais-toi toi-même eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux.
Sun Tzu a dit...
“L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat.” Vos avis (16) : “Le bon général a gagné la bataille avant de l'engager.” “Celui qui excelle à résoudre les difficultés les résout avant qu'elles ne surgissent.
L'art de la guerre est un livre écrit par Sun Tzu portant sur des stratégies militaires chinoises. Dans le premier chapitre, Sun Tzu explique les cinq facteurs de supériorité. Ces cinq facteurs sont respectivement la vertu, le climat, la topographie, le commandement et l'organisation.
« Qui veut la paix prépare la guerre », disait l'officier prussien Clausewitz, reprenant la thèse du Chinois Sun Tzu : « L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combattre ».
« Le meilleur savoir-faire n'est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l'ennemi sans combattre. »
« Etre victorieux dans tous les combats n'est pas le fin du fin ; soumettre l'ennemi sans croiser le fer, voilà le fin du fin. » « Qui ne réfléchit pas et méprise l'ennemi sera vaincu. »
Par leurs victoires militaires, ils ont contribué à façonner le monde. Les plus célèbres se nomment Alexandre le Grand, Hannibal, Guillaume le Conquérant...
« L'ennemi avance, nous reculons ; l'ennemi s'immobilise, nous le harcelons ; l'ennemi s'épuise, nous le frappons ; l'ennemi recule, nous le pourchassons. »
La clé du succès réside dans l'anticipation. La guerre se gagne bien avant le début des hostilités. La première victoire est d'abord psychologique. Il faut parvenir à faire comprendre à votre adversaire, qu'il n'a aucune chance de s'en sortir si vous engagez le combat.
“Qui veut la guerre est en guerre avec soi.” Vos avis (19) : “Une guerre entre Européens est une guerre civile.”
Alain a dit : Qui veut la guerre est en guerre avec soi.
S'entourer d'authentique amis et d'ennemis ardents afin que les premiers vous avertissent lorsque vous faites une erreur et que les seconds, en vous critiquant, vous permettent de corriger vos erreurs. Se confronter à vos ennemis serait une opportunité à saisir pour mieux vous affirmer et ainsi vous accomplir.
Restez calme et froid, même si vous voulez réagir. Ne soyez jamais en colère. Entrainez-vous à imaginer votre ennemi occupé à faire quelque chose de parfaitement ridicule, comme de chanter un air d'opéra dans les toilettes ou de boxer avec une pieuvre quand il cherche à vous affronter.
Faites preuve de respect vis-à-vis de vos ennemis, comme vous le feriez avec vos amis. Aidez-les s'ils en ont besoin. Cela leur montrera que vous êtes sympathique et pétri de bonté. Complimentez-les et tâchez de ne pas avoir de comportement blessant, ne les jugez pas s'ils disent du mal de vous dans votre dos.
Pour aller plus loin, l'Europe a connu 53 conflits majeurs, et la France a participé à 49 d'entre eux. On pourrait penser que le Royaume-Uni la dépasse, mais ce dernier n'aura été un belligérant « que » dans 43 de ces conflits. Depuis environ 1200, la France a pris part à 185 batailles et en a gagné 132.
Prononcer le nom de Napoléon, c'est évoquer peut-être l'homme de la pacification, du Code civil ou du Concordat, mais à coup sûr le chef de guerre, un des plus grands de l'Histoire. À suivre certains érudits, Napoléon Bonaparte aurait livré davantage de batailles qu'Alexandre le Grand, Hannibal et César réunis.
Un stratège sans états d'âme, prêt à recourir à la barbarie pour imposer ses conquêtes et bâtir le plus vaste empire jamais connu. L'année prochaine, cela fera précisément 800 ans que Gengis Khan ** (France 2, 22h35) fut proclamé souverain des Mongols.
« L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combat. » A travers son livre, Sun Tzu revient sur les qualités qu'un chef doit avoir pour mener à bien une guerre. Il nous livre les conditions d'une victoire certaine. Tant sur le point purement militaire que psychologique.
L'ennemi de l'homme, c'est l'homme lui-même. Les humains appartiennent à la nature qui respecte les règles qui font d'elle son existence, et non la nature appartient aux humains qui la détruisent.
Dites quelque chose comme « Je suis désolé(e) que ce soit ce que tu ressentes, mais l'art est subjectif et je fais de mon mieux pour m'améliorer. J'apprécierais beaucoup que tu m'apportes des conseils constructifs X Source de recherche . »
Parce que « la guerre abîme les villes, les tord, les brûle. Les urbanistes ensuite viennent, c'est un autre travail » (1). Oh Barbara, quelle connerie la guerre.