C'est une équipe médico-sociale accompagnée du medecin traitant de la personne âgée qui détermine le GIR.
La grille AGGIR est remplie par une équipe médico-sociale, composée au minimum d'un médecin et d'une assistante sociale. C'est elle qui procède à l'évaluation du degré de dépendance de la personne âgée.
Comment le GIR est-il déterminé ? Le GIR (groupe iso-ressources) correspond au niveau de perte d'autonomie d'une personne âgée. Il est calculé à partir de l'évaluation effectuée à l'aide de la grille AGGIR.
Le niveau de perte d'autonomie d'une personne âgée correspond à un GIR évalué à l'aide de la grille AGGIR. Ce sont des professionnels qui évaluent la perte d'autonomie : équipe médico-sociale APA ou médecin coordonnateur.
Vous devez d'abord vous procurer un dossier de demande d'Apa : soit auprès du centre d'action sociale de la ville de Paris (CASVP) ou d'un point d'information local dédié aux personnes âgées, soit directement auprès de l'établissement où vous allez vivre.
Afin de vérifier que vous remplissez les conditions de perte d'autonomie nécessaire à l'attribution de l'APA, le médecin coordonnateur de l'établissement évalue votre GIR en utilisant la grille nationale AGGIR (autonomie-gérontologie-groupe iso ressources).
Non, il n'y a pas de conditions de ressources à respecter pour bénéficier de l'allocation personnalisée d'autonomie (Apa). Si vous remplissez les conditions d'âge, de résidence et de perte d'autonomie, vous pouvez obtenir l'Apa quels que soient vos revenus.
Le GIR est défini en fonction des critères de la grille AGGIR ("autonomie gérontologique groupes iso-ressources"). Il est déterminé par un professionnel de santé qui va ainsi évaluer le niveau de dépendance de la personne âgée et la possibilité pour elle de bénéficier de l'APA.
La perte d'autonomie de la personne âgée se traduit par la nécessité d'une aide pour l'accomplissement des actes simples de la vie quotidienne. Cette dépendance partielle ou totale peut être causée par un accident ou une maladie, la rendant invalide. Elle peut aussi résulter d'un déclin physique dû au grand âge.
Pour effectuer la demande de changement de GIR, vous, ou votre proche devrez envoyer un courrier aux services du Conseil départemental de votre région. Votre demande doit indiquer la raison pour laquelle vous souhaitez faire réévaluer le GIR de votre parent.
En France, le principal outil pour évaluer le degré d'autonomie de la personne âgée est la grille AGGIR. Grâce à l'analyse de 10 grandes variables, elle permet de déterminer le GIR (Groupe Iso-Ressources) des personnes âgées.
Dépendance établie en fonction de la grille AGGIR qui s'étend du GIR 1 (extrêmement dépendant) au GIR 6 (autonome). Elle a pour vocation d'accompagner financièrement les familles qui ont besoin d'une aide à domicile – ménage, courses, soins du corps – pour privilégier le plus longtemps le maintien à domicile du malade.
La mesure de la perte d'autonomie permet de situer la personne selon son niveau de dépendance, appelé GIR pour Groupes Iso Ressources. Il existe six GIR classés de 1 à 6. – Le niveau 1, ou GIR 1 correspond à une perte d'autonomie totale.
Le calcul du GIR est organisé selon huit critères : la cohérence, l'orientation, la toilette, l'habillage, l'alimentation, l'éliminination, les transferts et les déplacements intérieurs. C'est une équipe médico-sociale accompagnée du medecin traitant de la personne âgée qui détermine le GIR.
Les plans d'aide APA sont plafonnés et le montant d'APA accordé ne peut pas dépasser un montant maximal fixé pour chaque GIR. Au 1er janvier 2022, les montants maximaux des plans d'aide sont fixés à : Pour le GIR 1 : 1 807,89 €/mois. Pour le GIR 2 : 1 462,08 €/mois.
GIR 5 et 6 : pas d'APA, mais des aides possibles. Seuls les quatre premiers GIR de la grille nationale ouvrent droit à l'APA, que les bénéficiaires âgés d'au moins 60 ans se trouvent à domicile ou en établissement, à condition qu'ils répondent aux critères d'âge et de résidence.
Physiologie de la fin de vie
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
Les membres de la famille et avant tout le conjoint sont donc souvent privilégiés pour être tuteur. Si la personne âgée ne peut bénéficier de l'aide de son entourage, elle peut faire appel à un tuteur professionnel qui sera choisi par le juge des tutelles. Il s'agit du mandataire judiciaire à la protection des majeurs.
Le terme maison de retraite comprend l'ensemble des résidences pour personnes âgées, quelles soient médicalisées ou non. La principale différence entre une maison de retraite et un EHPAD se situe au niveau de la médicalisation.
GIR 5 : Ce groupe comporte des personnes âgées ayant seulement besoin d'une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage. GIR 6 : Ce groupe réunit les personnes âgées n'ayant pas perdu leur autonomie pour les actes essentiels de la vie courante.
La demande se fait auprès du Conseil départemental. Déterminer le taux de dépendance du demandeur permet de mettre en œuvre les mesures les plus adaptées pour répondre au mieux à ses besoins. La grille Aggir est divisée en catégories appelées Gir (groupe iso-ressource).
Les GIR 5-6 servent également de base dans le calcul de l'aide accordée pour couvrir la dépendance en Ehpad. Si la perte d'autonomie se renforce, le médecin coordonnateur procède à une nouvelle évaluation de la dépendance du résident et l'APA peut être ajustée.
Il n'existe aucun lien entre APA et succession. L'allocation personnalisée d'autonomie (APA) n'est pas une avance. Par conséquent, elle n'est pas remboursable sur votre succession. Tout le monde a droit à l'APA, sans conditions de ressources et sans récupération future sur le patrimoine.
L'APA ne fait l'objet d'aucune récupération des sommes reçues. Le conseil départemental ne peut pas demander le remboursement des sommes versées au bénéficiaire de l'APA si sa situation financière s'améliore de son vivant, ni les récupérer sur sa succession à son décès.
Ces allocations doivent, dans certains cas, être remboursées soit par les bénéficiaires eux-mêmes, lorsqu'ils ont vu leur niveau de vie augmenter (on dit qu'ils sont « revenus à meilleure fortune »), soit, après leur décès, par leurs héritiers ou encore leurs donataires.