►Dans le cas d'une inhumation, la mise en bière peut se faire avec un ou des membres de la famille, mais sans nécessairement la présence de la police. ► Dans le cas d'une crémation et/ou en l'absence de la famille, la mise en bière doit se faire avec la présence de la police.
En cas de transport de corps lorsqu'il s'agit d'une crémation, après fermeture du cercueil, des fonctionnaires du type commissaires de police ou gardes champêtres (désignés à l'article L. 364-5) assistent à la levée du corps.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
La fermeture du cercueil est l'acte qui consiste à poser le couvercle et à le visser. Cette étape suit la mise en bière, et précède la pose de scellés lorsque la loi l'exige : en cas de crémation, et en cas d'absence d'un membre de la famille.
Le terme « levée du corps » désigne le déplacement du corps d'un défunt à la suite de sa mise en bière. Les intervenants effectuant cette action ont pour mission de déposer le cercueil dans le corbillard, afin de le transporter vers le lieu où se tiendra la cérémonie d'adieu puis jusqu'au crématorium ou au cimetière.
Une personne décédée peut être ensevelie avec les habillements de son choix de son vivant ou selon le choix de sa famille. Le mode d'habillage des personnes décédées se diversifie selon ses us et coutumes. Il peut être habillé de costumes de dimanche, de robes d'apparat, du t-shirt, de jeans…
►Dans le cas d'une inhumation, la mise en bière peut se faire avec un ou des membres de la famille, mais sans nécessairement la présence de la police. ► Dans le cas d'une crémation et/ou en l'absence de la famille, la mise en bière doit se faire avec la présence de la police.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Ce qui est primordial dans cette rencontre avec le corps du défunt, ce n'est pas de le « voir » comme pour faire un constat médical, mais de venir saluer sa dépouille, se recueillir auprès de ce corps aimé, investi, avec lequel nous avons partagé une histoire.
Quand on jette une fleur, un bouquet ou une rose sur le cercueil juste avant l'inhumation, on marque qu'on veut rendre au défunt moins difficile la séparation qui va suivre, on veut garder un lien. Le fait de fleurir la tombe, ensuite, prolonge également l'intention : le lien avec la personne se pérennise.
Cette pratique permet de freiner le processus de décomposition et contribuer à un certain assèchement de la dépouille des fluides porteurs de bactéries. Ainsi, les proches peuvent toucher le corps ou l'embrasser sans risque de contamination bactérienne.
Les funérariums sont l'ultime endroit où rendre notre dernier hommage en présence du corps du trépassé. Or, « voir le corps du défunt » figure une connotation malsaine à ce rituel funéraire qui nous permet de nous recueillir auprès du disparu.
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Son quotidien, le thanatopracteur (ou embaumeur) le passe avec les morts. Disons qu'il leur donne une apparence digne, au-delà de la vie. Entre le médecin légiste et les pompes funèbres, son travail consiste à présenter dignement les personnes décédées, notamment lors d'accidents.
Le capiton funéraire est utilisé pour deux principales raisons : Assurer une présentation décente du défunt avant ses obsèques.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Les corps, qu'ils soient exposés aux veillées funéraires, ou pris en photo, sont plus présentables. Ainsi, cette pratique combinée à une soigneuse mise en scène d'une personne décédée, permet de rendre la mort plus tolérable pour les proches de la victime.
Rosa Isabel Cespede Callaca, une Péruvienne de 36 ans, s'est réveillée et a donné des coups sur la paroi de son cercueil au milieu de la cérémonie d'enterrement. Son cercueil a alors été ouvert. "Elle a ouvert les yeux et elle transpirait.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt. Dans certaines cultures, le rouge est un signe de fête.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
Il était d'usage autrefois de choisir, dans la garde-robe du défunt, des vêtements élégants. Aujourd'hui, les mœurs évoluent. Autrement dit, si la tenue que votre proche affectionnait le plus est son jeans t-shirt, un jogging ou une robe en strass : nulle loi ne s'y oppose !
Le blanc est la couleur de la lumière et du deuil. Choisir un cercueil blanc permet de rendre un ultime hommage au défunt. D'autre part, le noir symbolise également le deuil et la tristesse.
Le biérologue est en quelque sorte le sommelier et l'œnologue de la bière. Fin connaisseur de la bière, il ou elle maîtrise toutes les étapes de la fabrication (ingrédients, techniques de fermentation et de brassage) et connaît les différentes variétés de bières et leur spécificité.
Quelques accords : foie gras, saucisson fumé, terrines, gibiers, viandes en sauce, agneau rôti, poissons fumés et grillés, accras, légumes provençaux cuits, fromages à pâte persillé, fromages crémeux à croûte lavée, fromages à pâte molle (camembert) desserts caramélisés, pain d'épices, crème brûlée.