La cérémonie débute par les louanges envers Allah lors de la Khoutbah. Lorsque l'Imam récite la prière, femmes et hommes sont séparés. La cérémonie se poursuit par la lecture de quelques versets du Coran puis est mentionnée la dot dans le cadre des échanges de vœux entre la femme et son futur époux.
Les futurs mariés expriment leur consentement et échangent leurs alliances. Le prêtre les déclarent alors unis devant Dieu. Une bénédiction finale pourra être prononcée. Mariés et témoins viennent signer le registre et on remet le livret chrétien au jeune couple.
Le mariage est un contrat civil qui doit être reconnu devant Dieu et devant les hommes. Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
La cérémonie religieuse est suivie d'une fête qui se déroule généralement sur plusieurs jours (parfois jusqu'à une semaine), selon le désir des familles. Dans les pays musulmans, les festivités ont souvent lieu les jeudi et vendredi.
Points clés à retenir : En Islam, le juge peut prononcer le divorce suite à un serment d'anathème, en cas de manquement aux obligations du mariage ou s'il existe un vice rédhibitoire ; Le juge peut aussi prononcer d'office le divorce en cas d'abus de l'autorité maritale, de violence ou d'absence de l'époux.
R : Il suffit d'être la femme, l'homme concerné, un représentant de la femme : son père, son frère ou son oncle, un représentant du mec aussi, des témoins et voilà, ils se marient devant Dieu, devant l'imam. Il dit : « Est-ce que tout le monde est d'accord ? » et voilà, tout le monde est d'accord.
Deux témoins doivent être présents. Le mariage commence chez la famille de la mariée. La cérémonie de henné est organisée et est animée par des chants et des danses. Puis, une fois à la Mosquée, on débute par une récitation d'une formule de louange sous forme de citation.
L'islam, considérant le mariage comme un contrat privé, accepte sa dissolution par le divorce. En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour.
On prononcera le plus souvent des louanges à Allah (Khoutbah), des versets du Coran et des échanges de vœux entre les époux. L'imam demandera au père de la mariée s'il consent à donner la main de sa fille. Il demandera ensuite au futur époux s'il accepte d'épouser sa compagne.
Conditions d'un mariage en Islam. Il n'est pas besoin d'un imam ou d'un cheikh pour obtenir la bénédiction, car celui-ci n'est ni un représentant de Dieu ni Son intermédiaire pour les autres croyants.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
1/ D'après Abou Said al-Khoudri (P.A.a) le Messager d'Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Quand l'un d'entre vous bâille, une version ajoute au cours de la prière, qu'il s'efforce de l'étouffer. Car cela permet à Satan d'entrer » (rapporté par Mouslim, n° 2995).
Selon les résultats de leur recherche, publiés dans le Journal of Experimental Psychology: Human Perception and Performance, garder les paupières ouvertes nous rendrait aveugles aux autres sens et, donc, au toucher.
Le mariage musulman peut se célébrer à n'importe quelle période de l'année, bien que certains juristes islamiques recommandent un mariage durant le mois suivant le Ramadan.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
Le montant de la dot est fixé, il ne faut pas que ça soit en dessous. La limite de montant est de ¼ de dinar. Aujourd'hui, un dinar représente 60% d'une pièce d'or (djiné en arabe).
Le nikah est la cérémonie traditionnelle du mariage islamique. Il repose sur trois composants principaux : un couple désireux de s'engager, des témoins et un mahr ou cadeau offert par le marié à sa promise. Si ces éléments sont rassemblés, il vous faudra ensuite trouver un imam qui mènera la cérémonie.
Il vaut mieux s'habiller formellement mais modestement. Les hommes et les femmes doivent couvrir leurs jambes et leurs bras et les femmes peuvent être invitées à porter un foulard dans une mosquée. Vous pouvez porter la couleur de votre choix, mais les invités sont encouragés à se déguiser et à célébrer avec le couple.
Historiquement, les relations sexuelles avant le mariage étaient considérées comme un problème moral, tabou dans de nombreuses cultures et considérées comme un péché par le judaïsme, le christianisme et l'islam ; mais depuis les années 1960, elles sont plus largement acceptées, notamment dans les pays occidentaux.
Le khul' (ou khol') est une forme de dissolution du mariage musulman qui intervient à l'initiative de la femme.
Pays musulmans
Le droit musulman du mariage prévoit une telle période, dite idda, un délai de quatre mois et dix jours dans le calendrier hégirien (arabe) pour les veuves , et de trois cycles menstruels en cas de divorce.