Qui paie quoi - la famille du marié. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église. La famille de l'époux paie également le voyage de noces.
Dans la majeure partie des cas, il s'agit de la personne ayant fait sa demande qui s'occupe des frais. Cependant, les futurs mariés peuvent également partagés l'achat en s'offrant chacun une bague. Parfois, il se peut également que ce soit la famille qui offre les bagues de mariage.
La tradition de l'achat des alliances
Dans un mariage traditionnel, le marié ou sa famille paierait pour l'alliance de la mariée, et la mariée ou sa famille paierait pour l'alliance du marié.
Selon les traditions islamiques, l'achat des alliances, également connues sous le nom de bagues de mariage, est une responsabilité partagée entre les deux futurs époux.
Demander une aide financière à vos proches
La tradition française veut que ce soit le père de la mariée qui finance l'ensemble du mariage. Mais de nos jours, il arrive plus souvent de voir les parents des mariés se répartir les frais du mariage de leurs enfants.
Il n'existe pas de règle fixe concernant le montant des cadeaux de mariage. Toutefois, les experts recommandent de commencer à 100 euros, montant qui peut être ajusté jusqu'à 500 euros en fonction de facteurs tels que votre relation avec le couple, votre budget et le coût de votre participation au mariage.
Les parents paient-ils le mariage ? De nos jours, il est de plus en plus rare que les parents participent au financement complet du mariage, à l'exception parfois des très jeunes couples et dans certaines coutumes bien spécifiques par exemple.
Le premier privilégie la main gauche
Effectivement on lit dans différents ouvrages de ces écoles précisément, que le choix de la majorité des ulémas est de porter la bague à la main gauche et que ceci est préférable.
La tradition dit que c'est la mariée, ou la famille de la mariée, qui achète l'alliance du marié. Cela remonte à l'histoire passée où la famille de la mariée offrait des cadeaux au marié en échange du mariage.
La foi catholique fait porter la bague de fiançailles à la main droite et l'alliance à la main gauche. Les musulmans portent souvent l'alliance à la main droite, sans exclure d'office la main gauche.
Pour une alliance en diamant, le prix est de 500 à 1 000 € (les moins chères), mais tout dépend de la taille et des carats des diamants. Pour une alliance en platine, comptez 300 € pour les plus abordables. 1 000 €/1 500 € est un bon budget pour 2 alliances en or, dont une alliance sertie.
Pourquoi porter l'alliance à la main droite ? La main sur laquelle placer l'alliance se place dépendamment des pays et des religions. Les pays aux influences orthodoxes ou protestantes comme la Russie et la Pologne, ou encore l'Allemagne, placent leur alliance à droite pour se différencier des Catholiques.
Le plus souvent, les deux principales formes qui existent pour un homme sont, l'alliance demi-jonc et l'alliance ruban. Si vous souhaitez une alliance discrète, nous vous conseillons une alliance demi-jonc. L'alliance ruban, avec sa forme plate et plus large, sera plus visible.
Optez pour un métal résistant
Pour le choix de votre bague de fiançaille homme, vous devez aussi prendre en considération les matériaux résistants comme l'or ou le platine. En effet, contrairement à l'argent, le platine représente un métal qui symbolise la pureté et l'éternité.
La tradition : les parents de la mariée
Selon la tradition, ce sont les parents de la mariée qui devraient financer la fête de fiançailles.
On pense qu'une veine relie l'an- nulaire gauche au cœur, siège des sentiments et de la passion amoureuse : la vena amoris, veine de l'amour. Porter un an- neau à l'annulaire gauche signi- fie donc que son cœur est offi- ciellement déjà pris, que l'on est marié, mais peut aussi servir à protéger cette précieuse veine.
En France, la fourchette moyenne est d'environ 1000 euros.
Ce chiffre peut être supérieur ou inférieur à ce que vous pouvez vous permettre. Aucune formule magique ou de montant « juste » n'est requis pour une bague de fiançailles.
Un bracelet
Cette alternative, la plus prisée, est aussi appelée “bracelet d'engagement”. Si vous souhaitez garder le côté “solitaire” de la bague de fiançailles classique, cet accessoire peut parfaitement être serti d'une pierre de différentes tailles et couleurs.
Le revenu mensuel net constitue une référence utile dans la détermination du budget alloué à la bague. Nous vous conseillons d'investir au moins la moitié d'un salaire mensuel net. Si vous avez de l'argent de côté, optez plutôt pour un mois de salaire net complet pour le budget de la bague de fiançailles.
Le prophète Muhammad portait une bague en cornaline/aqiq sertie d'argent à la main droite en commémoration du retrait des idoles de la Kaaba en l'an 630 CG. À ce jour, de nombreux musulmans font de même, y compris le clergé chiite et les sunnites.
La cérémonie religieuse, appelée Nikah, est généralement célébrée par un imam ou un représentant religieux. Elle peut avoir lieu à la mosquée, au domicile des futurs époux ou dans une salle de réception privatisée pour l'occasion. Les deux familles et les témoins sont présents lors de cette cérémonie.
C'est une étape importante qui permet aux futurs mariés de se connaître et de se préparer pour leur future vie conjugale. Pendant cette période, le futur marié peut offrir à sa future épouse un cadeau, appelé "mahr", qui peut être de l'argent, des bijoux ou toute autre chose de valeur.
Premier atout : l'avantage social
L'un des atouts du mariage est que l'époux qui n'est pas couvert à titre personnel peut bénéficier de la qualité d'ayant-droit au titre de son conjoint et donc bénéficier de sa couverture sociale : assurance malade ; assurance maternité.
Les avantages légaux du mariage : fondement d'une vie de famille. Pour de nombreux couples, le mariage est la première étape vers la fondation d'une famille. C'est une promesse d'amour et de soins pour les enfants qu'ils pourraient avoir ensemble.
Par contre, elle est encore la règle dans bien des pays du monde, où le paiement d'une dot est encore en vigueur : les filles sont considérées comme des citoyennes de deuxième ordre, ne rapportant pas d'argent à leurs familles et on doit payer la famille du mari qui accepte d'accueillir notre fille.