En 1989, ce médecin danois a en effet perdu la vie après 30 minutes de rire au cinéma, devant le film Un poisson nommé Wanda. Selon les analyses des médecins, le cœur d'Ole Bentzen a atteint les 250 à 500 battements par minute, entraînant une fibrillation ventriculaire et un arrêt cardiaque.
En 1989, Ole Bentzen, un audiologiste danois, est mort de rire en regardant Un poisson nommé Wanda. Son rythme cardiaque serait monté à une fréquence de 250 à 500 battement par minute avant de subir un arrêt cardiaque.
Mort de rire
Selon la légende, durant l'Antiquité, le philosophe grec Chrysippe serait mort après avoir ri à sa propre blague. Au XVIe siècle, le poète italien Pietro Aretino est, lui aussi, décédé d'une crise de fou rire.
L'expression signifie rire intensément. Elle tire son origine du fait qu'il est possible de rire tellement fort et longtemps que l'on puisse en mourir. Cette cause de décès remonterait même à la Grèce ancienne.
Ne riez pas, c'est très sérieux, cela pourrait vous causer un infarctus, un pneumothorax, une crise d'asthme fatale ou encore être le symptôme d'une forme particulière de crise d'épilepsie.
Rieur : Définition simple et facile du dictionnaire.
Locution-phrase
Se dit en parlant de quelqu'un qui se flatte du succès dans une affaire où l'on compte l'emporter sur lui.
Etirez-vous, bâillez, faites un cri de Tarzan, souriez doucement, inspirez et remplissez-vous d'air puis lâchez doucement le son : ha, haha, hahaha. Recommencez et faites-le avec de plus en plus de conviction jusqu'à ce qu'un vrai rire s'installe.
Mourir de chagrin est d'ailleurs tout à fait possible. Connue depuis 1991 sous le nom de "syndrome de Tako-Tsubo" ou "syndrome du coeur brisé", cette pathologie a notamment été détaillée dans un rapport de l'American Heart Association en 2012.
farceur (adj.) 1.
Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes. Certains indices suggèrent également que la même partie du cerveau contrôle à la fois les pleurs et le rire.
Si chacun réagit différemment face à une crise, nous avons le pouvoir de stimuler notre bonne humeur grâce à l'humour. Il est prouvé que le rire augmente l'estime de soi, la résilience et le bien-être tout en diminuant les pensées négatives, la dépression et l'anxiété.
Rire diminue la sensation de douleur et booste le système immunitaire. Rire stimule la sécrétion d'endorphines, soit de morphine endogène. Ces neuropeptides également libérés par l'activité sportive ou sexuelle ont le pouvoir de diminuer l'anxiété et d'avoir des propriétés anti-douleur.
L'individu floué ou victime d'une moquerie utilise ce proverbe pour signifier qu'il ne considère pas la partie terminée. Il compte prendre sa revanche ou voir les événements tourner en sa faveur et rire à son tour de son bourreau. L'existence de ce proverbe est attestée dès le XVIIème siècle.
Si la stabilité émotionnelle et une attitude extravertie facilitent l'accès à l'humour, à l'inverse l'anxiété ou l'humeur dépressive compliquent la tâche. L'humour n'est pas toujours compris ou parfois mal interprété. Une moindre propension à rire entretient forcément le mal-être.
Comment rira celui qui mourra le dernier ? Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer. Ris, et tout le monde rira avec toi.
Quand on rit, les muscles du visage impriment la physionomie de l'hilarité, et certains muscles respiratoires produisent des secousses caractéristiques. Le relâchement des muscles du larynx produit divers sons lors de l'expiration, celui des muscles des bras et des jambes entraîne une baisse du tonus musculaire.
Le rire a un rôle social et intervient comme un moyen de communication avec autrui. Au sein d'un groupe, lorsque les gens se sentent bien et libres les uns par rapport aux autres, les rires vont se déclencher plus facilement, ce qui va permettre de renforcer les liens sociaux et les affinités entre les individus.
La syncope du rire est probablement liée à une sensibilité accrue à la manœuvre de Valsalva, aboutissant à une baisse rapide de la tension artérielle, sans tachycardie compensatrice. La présence d'une neuropathie autonome diabétique peut y contribuer.