Dieu est celui qui se détermine lui-même par lui-même, celui dont l'être n'est que relation de soi à soi. On ne saurait signifier d'une manière plus positive l'Ipséité absolue. Alors que l'immortalité nie la mort, l'éternité demeure libre de toute condition. Dieu n'est pas immortel.
Quantité d'auteurs sont à la fois philosophes et religieux : Anselme, Scot, Augustin, Thomas, etc. Au-delà des médiévaux, l'influence des théories sur Dieu se retrouveront encore chez des philosophes comme Kant ou Hegel. En philosophie, le problématique classique porte sur la connaissance des dieux.
Pour tel philosophe, Dieu sera « l'Etre absolu », principe premier de tous les êtres relatifs. Pour tel autre, Dieu se définira « la Substance unique et infinie ». Pour tel autre encore, « l'Acte pur et immuable », ou « le Bien suprême » d'où dérivent tous les biens participés, etc.
Pour Kant, la réponse est négative : l'existence de Dieu ne peut absolument pas être démontrée par notre connaissance objective du moment qu'une telle connaissance se situe au-delà même des frontières de ce qui nous est autorisé et possible de connaître.
En effet, Platon fonde la législation de la nouvelle colonie sur des bases théologiques : personne, qui croit aux dieux, n'est capable de faire du mal de façon délibérée.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
"La théorie est absurde sans la pratique et la pratique est aveugle sans la théorie." "Dieu n'est pas une substance extérieure mais une relation morale en nous." "On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter."
La raison, c'est la connaissance, en forme de concepts et de jugements logiquement organisés, de la réalité telle que nous pouvons la saisir ; et la religion, c'est également une appréhension de tels autres aspects de cette même réalité, ceux-là que la raison, par elle-même, ne peut pas arriver à atteindre.
Kant considère la liberté comme la question de fond de la philosophie et la clef de voûte de son système. La liberté transcendantale est incompréhensible, et est par conséquent un postulat de la raison pratique (avec l'immortalité de l'âme et l'existence de Dieu).
Nietzsche ne dit pas : « il n'y a pas de Dieu ». Il ne dit pas davantage : « je ne crois pas en Dieu ». Il dit : « Dieu est mort » ; il n'a plus de signification, il a disparu de la conscience des hommes. Et pour Nietzsche il en est bien ainsi, car ce n'est que de la sorte que l'homme peut vraiment devenir libre.
Nom propre
(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé. Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur, Comme ayant retrouvé leurs régions natales, Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains. 2. Représentation d'une divinité : Des dieux en pierre.
Kant définit alors la religion comme «la reconnaissance des commandements divins». Ainsi l'argument moral n'est pas purement spéculatif, mais a une orientation pratique. L'argument moral traite plutôt de Dieu comme une idée régulatrice.
Historiquement, la philosophie de la religion peut aussi désigner un moment de l'histoire de la pensée centré sur les auteurs allemands que sont Kant, Schleiermacher et Hegel. Ceux-ci sont les principaux philosophes à avoir traité de la religion au tournant des XVIII e et XIX e siècles.
Cependant, selon Freud, les idées religieuses sont des illusions, des créations qui représentent la réalisation des désirs les plus anciens de l'humanité : protection et amour. Les hommes cèdent à l'illusion de l'existence objective de ce qu'ils ont produit.
Un antithéiste est défini comme « une personne opposée à la croyance en l'existence d'un dieu ». Le terme semble avoir été forgé par Proudhon dans Idée générale de la Révolution, 1851, et l'idée développée dans De la Justice dans la Révolution et dans l'Eglise, 1858 (Etude VI, Le Travail, ch.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
“Qui rougit est déjà coupable, la vraie innocence n'a honte de rien.” “Les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n'ont rien.” “J'aime mieux être homme à paradoxes qu'homme à préjugés.” “La jeunesse est le temps d'étudier la sagesse, la vieillesse est le temps de la pratiquer.”
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour. Il ordonne progressivement sa création pour y installer l'Adam, un mâle et une femelle qu'il a créés à son image afin de régner sur sa création.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.