Jésus est un philosophe Cela revient à le dégager de toute religiosité et à le considérer comme un maître à penser dont on peut discuter l'ensei- gnement, en relever les points forts et les points faibles.
Dieu est celui qui se détermine lui-même par lui-même, celui dont l'être n'est que relation de soi à soi. On ne saurait signifier d'une manière plus positive l'Ipséité absolue. Alors que l'immortalité nie la mort, l'éternité demeure libre de toute condition. Dieu n'est pas immortel.
Socrate est un philosophe, Jésus un homme religieux. L'un exalte au-dessus de tout la raison qu'il entreprend de faire régner dans l'homme et sur la cité.
Jésus est lui-même reconnu comme fils de David. Sa conception intervient grâce à l'action du Saint-Esprit. Joseph est exclu de la conception. Le nom de « Jésus » est prescrit par le ciel, avant la naissance.
Oui, il est presque probable, mais ce n'est pas une vérité de foi, qu'il existe encore des descendants de la famille de Jésus au Liban-Sud, issus de la famille de Joachim et de sainte Anne, ou de celle de Zébédée, ou de Simon, de Joset et Jude cités par saint Marc (Mc, VI, 3) ou de personnages féminins non mentionnés ...
Destination. La généalogie de Matthieu serait davantage destinée aux Juifs afin de les convaincre que Jésus était bien le Messie attendu, le « fils de David », c'est-à-dire l'héritier légitime des rois de Juda. La généalogie de Matthieu implique le titre de Christ de Jésus, en tant que roi Oint du Seigneur.
Socrate et Jésus parlent à tous, y compris aux philosophes épris de raison, d'intelligibilité, de rigueur dans l'interprétation. Tous deux ont été jusqu'au bout de leur parole. Tous deux ont été dits " sorciers ".
Généralement, leurs prénoms étaient suivis par les prénoms de ses pères dans le génitif. Ainsi, Aristote s'appelait Ἀριστοτέλης Νικομάχου (Aristote, fils de Nicomache), Platon s'appelait Πλάτων Ἀρίστωνος (Platon, fils d'Ariston) et Socrate s'appelait Σωκράτης Σωφρονίσκου (Socrate, fils de Sophronisque).
Or pour Socrate, on ne peut avoir une vertu sans les avoir toutes à la fois. En effet, toutes les vertus ont une même origine : la connaissance du bien et du mal. Un homme ne peut pas être à la fois bon sous l'angle d'une certaine vertu et mauvais sous l'angle d'une autre.
Ses lectures sont plus celles des poètes et des philosophes que celles de la Bible et du Talmud. Devenu rapidement athée, très méfiant à l'égard de l'autorité, notamment religieuse, Einstein est tout sauf un croyant respectueux des dogmes.
Dieu, d'après Platon, est toujours et partout l'organisateur du monde et celui qui lui conserve son éternelle jeunesse ; c'est la cause immédiate de la nature, le principe auquel est directement suspendue la chaîne des mouvements cosmiques ; et ce principe, il le représente comme un être qui « se meut lui-même » .
La réponse simple est que les gens croient ce qu'ils veulent croire, ce qu'ils jugent réconfortant, pas ce que les preuves réelles démontrent. En règle générale, les gens ne veulent pas savoir, ils veulent croire. Les facteurs sociaux enfin, jouent aussi un rôle important dans les croyances religieuses.
Pour le scientifique, le rôle de Dieu consiste justement à redonner de l'énergie, redynamiser, à remonter la machine. Dans son esprit, la présence de Dieu est donc nécessaire pour faire tourner le monde", conclut Michel Blay. Une idée qui finira par s'effacer au XIXe siècle avec les progrès de la science.
La religion selon Descartes : l'argument ontologique
Pour prouver l'existence de Dieu, Descartes a élaboré une démonstration mathématique reposant sur l'argument dit « ontologique », qui considère que Dieu possède toutes les perfections. L'existence est une perfection, donc Dieu existe.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Socrate est condamné à mort par le tribunal de l'Héliée, à Athènes, en 399 avant J. -C. Plusieurs amis de Socrate proposent de le défendre, mais il refuse leur aide. Acceptant la sentence, bien que se défendant de l'accusation d'impiété, il boit volontairement la ciguë.
Socrate est considéré par beaucoup comme le père fondateur de la philosophie occidentale et comme l'une des figures les plus énigmatiques de l'histoire ancienne.
Grèce antique : berceau de la philosophie
Son fondateur en est Socrate. Né après cette génération de penseurs, il a élaboré un cadre et des lignes directrices pour faire de ce mouvement une discipline. Il est donc considéré comme l'inventeur de la philosophie.
Cicéron a dit de Socrate qu'il était «le père de la philosophie», parce qu'il a fait naître l'idée de philosophie, un discours rationnel inséparable d'un certain mode de vie.
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'écrit n'aide pas, selon lui, la mémoire à retenir ce qu'elle a vu auparavant.
C'est un prénom d'origine grecque. Socrate signifie « salut et paix ».
Selon le Nouveau Testament, Joseph le charpentier est l'époux de Marie et le père adoptif de Jésus. Jésus est "né du Père et du Saint-Esprit".
Plusieurs titres employés par le Nouveau Testament rappellent que Jésus était considéré comme le roi messianique issu de David ; le principal est « fils de David ».
Le Fils de l'Homme est une figure eschatologique en usage dans les milieux apocalyptiques judaïques dès la période post-exilique. Cette expression apparaît notamment dans le Livre de Daniel. Dans les évangiles, c'est le titre que reprend le plus souvent Jésus lorsqu'il parle de lui-même.