L'auteur de l'Apocalypse, qui écrit sous le règne de l'empereur Domitien, décrit successivement deux bêtes affidées à Satan — l'une issue de la mer, l'autre issue de la terre pour seconder la première — qui symbolisent l'oppression du pouvoir romain idolâtre et les moyens qu'il déploie à cette fin.
Il y expose également que « six cent seize » (616, écrit χιϛ) serait le nom usurpé par l'Antéchrist du verset 18 dans le chapitre 13 de l'Apocalypse.
666, le chiffre de la bête.
Dans la Bible, les sept Trompettes de l'Apocalypse annoncent les fléaux qui vont s'abattre sur la terre. Elles sonnent la fin des temps. Or depuis 2012, on les aurait entendues à divers endroits de la planète…
Un dragon rouge-feu
L'Apocalypse selon Jean (partie 12, versets 3 à 18) raconte l'apparition dans les cieux « d'un grand dragon rouge-feu. Il avait sept têtes et dix cornes et, sur ses têtes, sept diadèmes.
Le dragon rouge (en gallois : y ddraig goch ; en anglais : the red dragon) est une créature légendaire du pays de Galles. C'est l'un des symboles du pays, et il figure sur le drapeau national, qui porte son nom.
La force et le pouvoir : le dragon chinois, symbole impérial, était le signe de l'empereur de la Chine. Seul l'empereur pouvait porter l'image du dragon, notamment sur ses vêtements de cérémonie. Le dragon pouvait aussi incarner le vœu de fidélité à l'empereur et à sa dynastie.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Le Jugement dernier (ou Jour du Seigneur, ou encore Jugement universel) est, dans les religions abrahamiques, le jour où se manifestera aux hommes le jugement de Dieu sur leurs actes, leurs paroles et leurs intentions.
Israfil (en arabe : إِسْـرَافِـيْـل , Isrāfīl ; ou Israfel ou Rafā'īl) est l'ange qui souffle dans la trompette pour signaler al-Qiyamah (le Jour du Jugement). Bien que sans nom dans le Coran, il est l'un des quatre archanges islamiques, avec Mīkā'īl, Jibrā'īl et Azrā'īl.
Définition. L'hexakosioihexekontahexaphobie (littéralement, « peur du nombre six cent soixante-six ») est une phobie qui tire son origine du verset 13:18 de l'Apocalypse, l'un des livres de la Bible. Ce verset indique que le nombre 666 est le Nombre de la Bête, bête associée à Satan ou à l'Antéchrist.
L'Apocalypse
Les Vivants sont au milieu du trône et autour de lui. Mais ils ne sont plus identiques et ils sont beaucoup moins hybrides : ce sont, dans l'ordre, un lion, un taureau, un homme et un aigle. Ils ont chacun six ailes et ils sont recouverts d'une multitude d'yeux.
Le nombre 666 apparait pour la première fois comme nombre de la bête dans la bible, au niveau du livre de l'apocalypse 13:18. « C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête.
La Bête est le nom donné au personnage de fiction issu du grand classique d'animation Disney La Belle et la Bête (1991). Le personnage, tout comme le film d'animation, est basé sur le conte traditionnel du même nom de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont.
Fin du monde. (Par extension) Catastrophe générale comparable à la fin du monde.
Seul Dieu juge et seul il prononce la sentence en vérité. Juger humainement, c'est mépriser la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité » (Rm 2,4). Car le « juste jugement » de Dieu (ἡ δικαιοκρισία dikaiokrisia) ne relève pas de notre conception de la justice.
L'ordalie, ou « jugement de Dieu », était une forme de procès à caractère religieux qui consistait à soumettre un suspect à une épreuve, douloureuse voire potentiellement mortelle, dont l'issue, théoriquement déterminée par une divinité ou Dieu lui-même, permettait de conclure à la culpabilité ou à l'innocence dudit ...
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
L'intégralité de la plus ancienne des bibles, le « Codex Sinaiticus », a été mise en ligne. Le « Codex Sinaiticus », manuscrit vieux d'environ 1 600 ans, est désormais consultable dans son intégralité sur Internet, a annoncé lundi la British Library.
La symbolique du serpent dans notre société moderne
L'aura dont jouit l'animal est en effet toute autre en Asie, en Afrique, et même en Amérique, puisque les ophidiens y sont tantôt symboles de fertilité, de puissance, de renaissance, de sexualité, mais aussi de sagesse, de clairvoyance, d'éternité.
Les couleurs
C'est la plus classique : il y a les dragons blancs, bleus, rouges, verts, noirs et les dragons dits de métal.
Dans l'univers de la Terre du Milieu de l'écrivain J. R. R. Tolkien, les dragons sont des créatures maléfiques nées des œuvres de Morgoth au cours du Premier Âge en Angband. Le premier d'entre eux, surnommé le « Père des Dragons » s'appelle Glaurung.