le carré pédagogique de J. Rézeau (2002, repris et ajouté par J-E.
On ne présente plus (ou presque) le triangle pédagogique de Mr Houssaye (1986) dont l'objectif est de mettre en évidence les relations qui existent entre les 3 acteurs de la relation pédagogique : l'élève (ou apprenant, étudiant...)
Ancien professeur de philosophie et formateur d'enseignants, Jean Houssaye est professeur de Sciences de l'éducation à l'Université de Rouen. Cet ouvrage est issu d'une thèse d'Etat soutenue en 1982.
I.
Le modèle SOMA de la situation pédagogique, d'après Legendre. On considère traditionnellement que tout apprentissage dirigé implique la mise en rapport de trois entités: l'apprenant (le sujet), l'enseignant (l'agent), et l'objet (l'appris).
Le triangle pédagogique représente trois sommets ou pôles : le Savoir, l'Enseignant et l'Apprenant.
Il est d'usage de distinguer quatre méthodes pédagogiques : expositive, démonstrative, interrogative, active. Elles peuvent être pratiquées dans une séquence pédagogique soit individualisée soit en petits ou grands groupes.
La définition d'objectifs pédagogiques opérationnels à l'aide de la méthode des 3C (Comportement, Conditions, Critère) revêt une importance cruciale dans le domaine de la formation. Tout d'abord, cette approche offre une clarté et une précision essentielles pour élaborer vos évaluations.
En résumé, le triangle didactique place le formateur au centre de ses processus, tandis que le triangle pédagogique cible l'apprenant. Il s'agit donc de deux postures différentes.
Il a proposé le modèle SAMR (substitution, aug- mentation, modification, redéfinition) 1 qui est une référence en matière d'intégration du numérique dans l'éducation.
Jean Houssaye met en garde : La situation pédagogique peut être définie comme un triangle composé de 3 éléments : le savoir, le professeur* et les élèves**, dont 2 se constituent comme sujets, tandis que le 3ème doit accepter la place du mort ou, à défaut, se mettre à faire le fou.
La notion “andragogie” c'est l'éducateur Alexander Kapp qui l'a inventé en 1833. Ce concept a été développé aux États-Unis dans les années 1950 par Knowles (professeur d'université) en se focalisant sur l'éducation et la formation des adultes.
Mieux connu en Europe sous son nom latin ou allemand, Comenius, philosphe né en Moravie qui était membre du mouvement des Frères tchèques, est considéré comme le père de la pédagogie moderne par son souci permanent de perfectionner les méthodes d'enseignement.
L'idée prônée par Ralph Tyler (1935), initiateur de la pédagogie par objectifs, estde proposer une organisation scientifique et rationnelle de l'éducation. Celle-ci doit adapter l'homme aux besoins et valeurs de la société et les traduire en objectifs.
Historiquement, la pédagogie de projet remonte au philosophe John Dewey. Mais l'idée (project-based learning) a vraiment été précisée par William Heard Kilpatrick, en 1918, dans un article intitulé The Project Method 2.
Le modèle SAMR est utilisé pour « encourager les enseignants à passer d'un niveau moindre à un niveau plus élevé d'utilisation des technologies, ce qui, selon Puentedura, conduit à des niveaux d'enseignement et d'apprentissage supérieurs (c'est-à-dire améliorés) » (source Hamilton et al., 2006).
Ce concept a été créé par un chimiste russe, Vernodsky, généralisé par le père Teilhard de Chardin. On parle souvent de transposition didactique du « savoir », c'est le mot qui est utilisé.
Et l'auteur précise lui-même dans les termes suivants : La situation pédagogique peut être définie comme un triangle composé de trois éléments, le savoir, le professeur et les élèves, dont deux se constituent comme sujets tandis que le troisième doit accepter la place du mort ou, à défaut, se mettre à faire le fou (p.
En somme, la didactique est une réflexion sur la transmission des savoirs, alors que la pédagogie est orientée vers les pratiques en classe.
La taxonomie de Bloom est un classement hiérarchique des étapes importantes du processus d'apprentissage. Il est aujourd'hui utilisé par les formateurs dans le cadre de la formation professionnelle et en particulier dans une stratégie d'ingénierie pédagogique.
On distingue trois principaux courants pédagogiques à savoir le behaviorisme, le cognitivisme, le constructivisme et le socio-constructivisme.
L'alignement pédagogique proposé par Biggs (1996) est un principe de base en pédagogie qui garantit l'adéquation entre les trois principales composantes d'un enseignement : les objectifs d'apprentissage, les activités d'apprentissage et les activités d'évaluation.
La pédagogie Montessori s'appuie sur 2 étapes. L'observation de l'enfant, pour ensuite pouvoir lui présenter des activités et un matériel adaptés à ses besoins personnels et à son rythme. L'idée est de lui proposer un environnement préparé spécialement pour lui, pour l'aider à acquérir confiance en soi et autonomie.
Méthode d'apprentissage par laquelle l'élève est minutieusement guidé.