Portrait. Erigé en héros de la Première Guerre mondiale après la victoire de Verdun mais jugé comme traître à la fin de la Seconde, Philippe Pétain reste dans l'Histoire comme un être pétri de contradictions.
Pour Pétain, les Allemands ont réellement l'intention de prendre Verdun, d'ouvrir une brèche vers le sud, de couper l'armée française en deux et, après ce coup comparable à celui de Sedan en 1870, de foncer sur Paris. L'enjeu est énorme. L'issue de la guerre en dépend.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
La diminution de la pression allemande sur Verdun, permet aux Français reprendre l'offensive afin de récupérer le terrain perdu depuis le 21 février. Le 24 octobre, les huit divisions commandées par le général Mangin se lancent à l'assaut et s'emparent des forts de Douaumont (24 octobre) et de Vaux (2 novembre).
Celui qui a ramassé toutes les cartes est le gagnant.
Premières attaques allemandes et organisation française
L'armée allemande commence la bataille par un bombardement massif visant les positions françaises, notamment les forts, qui commence le 21 février 1916 à 7h15 pile. Au total, ce seront 80 000 obus qui seront tirés en 24 heures.
La bataille de Verdun est une bataille qui s'est déroulée du 21 février au 18 décembre 1916 dans la région de Verdun en Lorraine, durant la Première Guerre mondiale.
Selon la méthode de calcul d'Ethan Arsht, l'un des plus grands conquérants de l'histoire, qui avait notamment pris possession de l'immense Empire perse, obtient le score de guerre de 4,376. Avec une bataille en plus au compteur qu'Alexandre le Grand, Gueorgui Joukov obtient le score de guerre de 4,596.
Lorsque l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie est assassiné par un nationaliste serbe, le 28 juin 1914, l'Autriche-Hongrie réagit en formulant un ultimatum à l'encontre de la Serbie. Cette dernière rejette l'ultimatum, conduisant l'Autriche-Hongrie à lui déclarer la guerre un mois plus tard, le 28 juillet.
En 1945, Philippe Pétain est reconnu coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Il est condamné à l'indignité nationale, dégradé, privé des droits civiques et de toute décoration. Il est condamné à mort, une sentence commuée en détention à perpétuité.
C'est ici qu'avec une fermeté tranquille, la France lui a répondu « on ne passe pas ». La formule « Verdun, on ne passe pas » devient la devise inscrite sur la médaille de Verdun.
Le 15 décembre 1916, les troupes françaises livrent un dernier assaut pour reprendre Bezonvaux. La bataille de Verdun est terminée et est gagnée par l'armée française.
La bataille la plus meurtrière de la Première Guerre Mondiale. La bataille de la Somme est non seulement l'une des plus grandes opération militaire de la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi la plus meurtrière. Cette bataille de plus de 4 mois fit plus d'1,2 million de morts, blessés ou disparus.
De par son ampleur et la violence des combats menés, la bataille de 1916 marque un des temps forts de la Première Guerre mondiale. Elle est ainsi devenue, dans la conscience collective, le symbole de la Grande Guerre dont elle représente le paroxysme des combats.
L'artillerie y cause 80 % des pertes, le rôle des hommes y consiste surtout à survivre et mourir dans les pires conditions sur un terrain transformé en enfer, tout cela pour un résultat militaire nul. C'est ce qui fait de cette bataille le parfait exemple que le 1er conflit mondial est une guerre de violence de masse.
Albert Fernand Séverin Roche (Réauville, 5 mars 1895 – Avignon, 14 avril 1939 ), est un soldat français ayant combattu pendant la Première Guerre mondiale. Il est connu pour être le soldat français le plus décoré de cette guerre, avoir été blessé neuf fois et avoir capturé un total de quelque 1 180 soldats allemands.
1. États-Unis. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis dominent le reste du monde sur le plan militaire. Il conserve sa position de nation la plus puissante du globe.
L'armée romaine a conquis, en quelques siècles, tout le pourtour du bassin méditerranéen.
Du 21 février au 18 décembre 1916 les troupes françaises et allemandes s'affrontent à Verdun lors d'une bataille longue et meurtrière qui marque fortement la mémoire française de la Première Guerre mondiale.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Dès la fin de la guerre, Verdun devient l'un des hauts lieux de mémoire du premier conflit mondial. Le symbole est double en réalité. Verdun permet de célébrer une victoire française grâce à la résistance opiniâtre des « poilus », symbolisée par la formule attribuée à Pétain, « on ne passe pas ».
Les forces allemandes ont concentré devant Verdun les pièces lourdes qui ont écrasé en 1914 les grandes places fortes alliées, soit 25 mortiers de 305 et 420mm ainsi que trois canons de marinede 380, et les 1 200 canons de la Ve armée impériale sont pourvus de 600 000 obus, alors que l'artillerie française de la place ...
La guerre de 1914-1918 a marqué les mémoires par l'ampleur des pertes : 18 % au moins des incorporés de l'armée française furent tués, soit 1,5 million de morts.
Le bilan humain de la Bataille de Verdun est très lourd: 163.000 morts ou disparus du côté français, 143.000 du côté allemand, 400.000 blessés dans les deux camps. Un véritable «enfer» décrit dans les lettres de combattants.