Le psychologue américain Burrhus F. Skinner (1904– 1990) est considéré comme le représentant du behaviorisme appliqué à la pédagogie. Le behaviorisme part du principe que l'acquisition des connaissances s'effectue par paliers successifs.
Ivan Pavlov est le père du mouvement béhavioriste, grâce à ses expériences sur les chiens dont la salivation n'est pas exclusivement causée par la présence de nourriture, mais également par un bruit annonçant l'arrivée de la nourriture (pour autant que celui-ci ait été associé à la nourriture au préalable).
Le terme fut utilisé pour la première fois par John B. Watson en 1913 dans un article portant sur la nécessité d'observer des comportements pour pouvoir les étudier : Psychology as the behaviorist views it.
1Les motifs et ambitions du behaviorisme sont énoncés par un psychologue américain, John Broadus Watson (1878-1958), considéré comme son fondateur. Dans un article de 1913, il écrit : « La psychologie (…) est une branche purement objective et expérimentale des sciences naturelles.
Pour la psychologie behavioriste, le seul objet d'étude est le comportement, et non la conscience. On ne peut donc parler que des phénomènes observables. Le principal promoteur de ce courant est l'Américain J. Watson.
« Une science du comportement adéquate doit prendre en considération les événements qui ont lieu à l'intérieur de la peau de l'organisme, non au titre de médiateurs physiologiques du comportement, mais comme une partie du comportement lui-même...
Le béhaviorisme émerge à la fin du XIX e siècle et au début du XX e siècle en réaction à la difficulté des courants mentalistes, subjectivistes et introspectifs à produire des énoncés scientifiques empiriquement testables.
apprendre c'est transmettre des savoirs, en renforçant des comportements (le béhaviorisme); apprendre c'est traiter de l'information, par les mécanismes mentaux internes constitutifs de la pensée et de l'action (le cognitivisme).
Les avantages du comportementalisme comprennent une motivation accrue des élèves, une meilleure attention des élèves. Et aussi une utilisation plus efficace du temps des enseignants. L'approche béhavioriste comprend des objectifs clairs, des progrès mesurables, des résultats rapides.
Ignorer le rôle des processus mentaux internes – L'une des principales critiques du behaviorisme est qu'il ignore le rôle des processus mentaux internes tels que les pensées, les sentiments et les émotions dans l'élaboration du comportement.
Selon Watson, le béhaviorisme est l'idée que l'esprit ne peut pas être observé directement et qu'il faut donc se concentrer sur la mesure des comportements qui peuvent être observés directement. Cette vision du behaviorisme découle du rejet de l'étude de la conscience, qu'il pense être subjective et non scientifique.
Watson ou James Watson selon les romans) est un personnage de fiction créé par l'écrivain Arthur Conan Doyle. Watson est le meilleur ami du détective Sherlock Holmes et narrateur de presque toutes ses aventures, dans lesquelles il joue le plus souvent un rôle actif.
Le cognitivisme est une des grandes théories de l'apprentissage, visant à expliquer le processus cognitif de l'individu lorsqu'il apprend quelque chose. Le cerveau de l'apprenant y est considéré comme un super-ordinateur : il reçoit de multiples informations puis les traite, les assimile et les classe.
Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d'appréhender les réalités qui l'entourent.
Le but des approches cognitives et métacognitives est de permettre à l'élève de prendre conscience de ses démarches mentales, de les analyser de manière critique et de les améliorer.
Le béhaviorisme classique et opérant
Le conditionnement classique de Pavlov et le conditionnement opérant de Skinner constituent les deux piliers du béhaviorisme.
Pédagogie de la transmission, behaviorisme, constructivisme, socioconstructivisme, et le tout nouveau connectivisme correspondent à des grands courants de la pédagogique, mais aussi à des grilles de lecture des processus entrant en jeu dans l'acte d'apprendre, et celui de transmettre.
a) La loi de l'effet par la motivation (Thorndike) : La motivation joue ici le rôle de renforcement positif, l'individu étant récompensé par l'atteinte de son but ou la satisfaction de son besoin conditionnées par sa réussite. Elle combine ses effets avec la loi de récence.
L'enseignement programmé
Skinner critique l'enseignement classique. Ses travaux en psychologie du comportement soulèvent l'importance d'un renforcement pour l'apprentissage. Pour lui, ce renforcement est fondamental et doit être immédiat, or, dans les classes habituelles, le délai est très long, trop long.
Le constructivisme est une théorie de l'apprentissage centrée sur l'individu. L'apprenant n'absorbe pas le savoir mais se l'approprie en le mettant en perspective avec son vécu et ses représentations, il “construit” son savoir.
Selon Watson (2001, 2006), le soignant et la personne soignée s'unissent dans la recherche mutuelle de signification afin de transcender la souffrance et d'accéder à une plus grande harmonie.
Flegmatique et faussement modeste, la phrase est un parfait précipité du personnage imaginé par sir Arthur Conan Doyle en 1887.
Le Retour de Sherlock Holmes (1929)
Mais l'acteur est passé à la postérité pour son rôle dans le film de 1929, qui passe pour être non seulement le premier Sherlock Holmes parlant de l'Histoire, mais qui est aussi resté célèbre par la légendaire phrase "élémentaire mon cher Watson !".