Cet obscur moine s'appelle
Apport de Mendel à la Botanique
Gregor Mendel est aujourd'hui reconnu comme le père fondateur de la génétique.
L'Autrichien Gregor Johann Mendel (1822-1884). Prêtre mais aussi botaniste, il fut l'un des fondateurs de la Société des naturalistes (Naturforschender Verein) de Brünn et découvrit les lois de l'hérédité qui portent son nom.
Gregor Johann Mendel était un moine augustin catholique, connu pour ses travaux sur la génétique en utilisant les pois. Mendel a réussi à élucider comment les caractéristiques génétiques étaient transmises des parents aux enfants à une époque où l'on ne connaissait pas la division cellulaire ni la structure de l'ADN.
Quand il s'éteint en 1884, Gregor Mendel est plus reconnu pour ses travaux relativement secondaires en météorologie que pour sa découverte des lois de l'hérédité.
{{{L'histoire de la génétique : une avancée spectaculaire des connaissances médicales }}} -* Découverte des lois de l'hérédité par George Mendel en 1865 -* L'hérédité a un lien avec le noyau de nos cellules : c'est la découverte réalisée en 1880 par les biologistes allemand Oscar Hertwig et Eduard Strasburger, grâce à ...
génotype
Ensemble des caractères génétiques d'un être vivant, qu'ils se traduisent ou non dans son phénotype (ensemble des caractères physiques et biologiques d'un individu).
Le gène, lui, est un morceau de cet ADN qui correspond à une information génétique particulière qui code pour une protéine unique. C'est donc une très petite portion de chromosome.
La génétique est l'étude de la transmission des caractères héréditaires chez les êtres vivants. Elle vise à déterminer les modes de transmissions et à documenter les variations dans les gènes entre les individus d'une même personne.
Il s'agit de Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829). Il naît à Bazentin (Somme) dans une famille picarde peu fortunée.
Étymologie. (1865) Emprunt savant au grec ancien γενετικός , genetikós (« propre à la génération »). Le substantif date de 1911.
Mendel a conduit ses expériences clés en étudiant le petit pois, pisum sativum, comme un organisme modèle. Les petits pois représentent un système pratique pour l'étude de l'hérédité et ils sont encore utilisés aujourd'hui par certains généticiens.
Sa structure en double hélice a été mise en évidence en 1953 par le Britannique Francis Crick et l'Américain James Watson à partir des données expérimentales obtenues par les Britanniques Rosalind Franklin et Maurice Wilkins.
La génétique est la science de l'hérédité. Elle étudie les caractères héréditaires des individus, leur transmission au fil des générations et leurs variations (mutations). C'est l'étude de cette transmission héréditaire qui a permis l'établissement des lois de Mendel.
Le nombre de paires de chromosomes dans les cellules humaines, 23 au total (2n = 46), a été établi en 1956 par Joe Hin Tijo et Albert Levan. Quel est le biologiste qui a annoncé pour la première fois que le nombre des chromosomes est fixé pour une espèce donnée ? 1913- Morgan et Sturtevant.
Bases canoniques des acides nucléiques
Les cinq bases principales, ou canoniques, sont l'adénine, la cytosine, la guanine, la thymine et l'uracile, respectivement symbolisées par A, C, G, T et U. Parmi ces cinq bases, A, C, G et T sont les quatre bases de l'ADN, tandis que A, C, G et U sont les quatre bases de l'ARN.
Au cours de la reproduction, ils apportent donc chacun la moitié du matériel génétique du nouvel être : 23 chromosomes proviennent de la mère et 23 chromosomes proviennent du père. L'enfant issu de cette fécondation a donc 46 chromosomes. En retrouvant leurs homologues, ces chromosomes s'organisent en 23 paires.
Chaque cellule -ou presque- du corps humain possède 23 paires de chromosomes. Il y a donc 46 chromosomes par cellules, c'est-à-dire 46 très longs morceaux de la molécule d'ADN. La raison pour laquelle on a deux chromosomes de chaque sorte est qu'on en obtient un de son père et un de sa mère.
Un gène, du grec ancien γένος / génos (« génération, naissance, origine »), est, en biologie, une séquence discrète et héritable de nucléotides dont l'expression affecte les caractères d'un organisme. L'ensemble des gènes et du matériel non codant d'un organisme constitue son génome.
Un bébé hérite d'un gène de chacun de ses parents, ce qui donne les possibilités suivantes : AA, BO, AB, OO, BB, AO. Les gènes A et B sont dominants (ou“co-dominants” pour A et B), le gène O est récessif.
PHÉNOTYPE, subst. masc. BIOL. Ensemble des caractères observables, apparents, d'un individu, d'un organisme dus aux facteurs héréditaires (génotype) et aux modifications apportées par le milieu environnant.
L'hérédité concerne donc toutes les informations transmises par les parents à leurs enfants. Ces informations sont transmises par les gènes. La génétique est une science (sous discipline de la biologie) qui étudie les gènes et en particulier leurs variations accidentelles qu'on appelle mutations.
Les chromosomes permettent aux gènes d'être proprement « lu » par la cellule et recopié par cette dernière quand elle se divise. L'ADN des chromosomes est très long. En effet, si l'on déroulait les chromosomes d'une seule de cellule, ce filament mesurerait près de trois mètres.
La cité allemande de Tübingen dans les années 1870. C'est dans le chateau, reconverti en laboratoire, que Friedrich Miescher découvrit la "nucléine", mieux connue sous le nom d'acide désoxyribonucléique, l'ADN.