Les activités de l'Homme peuvent être responsables de la dégradation ou de la destruction des écosystèmes (par exemple, par la déforestation). Un écosystème dégradé ou détruit affecte l'ensemble des espèces qui en font partie.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Le réchauffement climatique
Les gaz à effet de serre, dus à la combustion du pétrole, du gaz et du charbon qui servent entre autre à produire de l'électricité et de la chaleur participent à la pollution de la planète et sont la principale cause du réchauffement climatique actuel.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
exploitation minière; utilisation de pesticides en agriculture; incinération des déchets; utilisation de divers produits chimiques volatils.
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
Sans grande surprise, ce sont les États-Unis et la Chine qui sont les pays les plus pollueurs au monde. Parmi les autres pays mauvais élèves, on peut citer l'Inde, l'Indonésie et le Brésil.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
D'ailleurs, dans une infographie sur la répartition de l'ensemble des 9,9 tonnes de CO2 émises chaque année dans le pays en 2019, Le Monde estimait que la consommation de viande de chaque Français provoquait 920 kg émissions de GES. C'est deux fois plus que pour l'avion (430 kg).
La dégradation de l'environnement se produit en grande partie à cause des activités réalisées par les êtres humains, telles que la construction de barrages ou le tourisme sur la côte, qui aggravent les conditions de l'environnement, affectant les espèces animales et végétales qui y vivent.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, « la pollution atmosphérique représente désormais le plus grand risque sanitaire environnemental au monde. » En effet, elle est responsable d'environ 3,7 millions de morts chaque année (selon une étude de 2012).
Acheter des produits durables et réutilisables plutôt que des produits jetables ou de qualité inférieure. Réparer les objets brisés ou abîmés avant d'en acheter d'autres. Éviter d'acheter des produits avec beaucoup d'emballage. Acheter des produits en vrac autant que possible.
Par ses choix de politiques industrielles et commerciales, l'homme influe directement sur le peuplement des milieux. Par exemple lorsque l'homme pratique la déforestation pour l'agriculture, il modifie l'environnement et supprime ainsi des milieux de vie de nombreux animaux.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Origine des émissions de CO2 dues à la combustion d'énergie en 2018. En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Les Îles Vierges des États-Unis, un ensemble d'îles et d'îlots posés sur la mer des Caraïbes (4,5 µg/m³), et Porto Rico complètent le podium (4,8 µg/m³). Le Cap-Vert et l'île de Saba, un joyau méconnu des Caraïbes qui appartient aux Pays-Bas, suivent juste derrière.
Tous les secteurs d'activité humaine sont susceptibles d'émettre des polluants atmosphériques : les activités industrielles, le traitement des déchets et les chantiers, le transport (routier, aérien, fluvial), les activités domestiques (chauffage en particulier), l'agriculture ou encore la sylviculture.
L'Islande arrive en tête, avec une note de 6.45/10. Suivent juste derrière deux autres pays nordiques : le Danemark (6.44) et la Norvège (6.2).
En effet, les conséquences de la dégradation de l'environnement sur notre santé ne sont pas anodines : perturbation de la croissance, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, baisse de la qualité de vie, stress, allergies…
La déforestation à grande échelle, notamment dans les forêts primaires en Indonésie et en Malaisie. La destruction de l'habitat naturel de plusieurs espèces menacées. L'érosion et l'appauvrissement des sols. La pollution des sols, de l'eau et de l'air.