En France, certaines entreprises ont l'obligation (notamment d'après les lois Grenelle II de 2010) de rédiger un rapport RSE annuel. Il s'agit des entreprises cotées en bourse, avec un chiffre d'affaire supérieur à 100 millions d'euros ou une masse salariale supérieure à 500 employés.
Qui est concerné par la RSE ? La responsabilité sociétale des entreprises concerne tous les types d'entreprise : les petites comme les grandes, sans que le secteur d'activité importe. Elles sont toutes concernées par les problématiques du développement durable et de la protection de l'environnement.
Pas d'obligation RSE stricto sensu pour les PME et TPE
L'obligation de reporting concerne uniquement : les entreprises cotées en bourse (loi NRE de 2001) les entreprises au chiffre d'affaires supérieur à 100 millions d'euros ou de plus de 500 employés (Grenelle II de 2010)
Le reporting RSE, une obligation légale ? Il n'y a pas de loi ou de décret qui contraint les entreprises à mettre en place des actions RSE bien qu'elles aient un objectif vertueux, quelle que soit la taille ou la structure de l'entreprise.
Même si le couplage entre le RSE et le développement durable fait encore l'objet de débats, la RSE est souvent comprise en Europe comme la mise en œuvre dans l'entreprise des exigences de développement durable, qui intègrent les trois piliers environnemental, social, et économique.
La stratégie RSE d'une entreprise vise à considérer sa performance globale sous les trois angles économique, sociétal et environnemental.
Depuis l'adoption de la loi PACTE le 22 mai 2019, toutes les entreprises doivent mettre en place une politique RSE « en prenant en considération les enjeux sociaux et environnementaux de leur activité » (article 1833 du Code civil).
Les inconvénients d'un réseau social d'entreprise
Il n'est pas toujours facile d'obtenir l'adhésion des employés dans la mise en place d'un réseau social d'entreprise. Certains n'y verront qu'une charge de travail supplémentaire, tandis que d'autres n'arriveront pas à maîtriser comme il faut les nouvelles technologies.
La norme ISO 26000 est le premier standard international en matière de RSE. Elle propose des lignes directrices pour mener une démarche RSE. ISO 26000 est un document normatif qui a été publié en 2010 et sur lequel 99 pays ont travaillé pendant 5 ans.
Une entreprise responsable est une entreprise qui non seulement respecte les obligations légales en matière de protection de l'environnement, diversité et bien-être des collaborateurs, mais surtout qui va au-delà.
La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) regroupe l'ensemble des pratiques mises en place par les entreprises dans le but de respecter les principes du développement durable (social, environnemental et économique).
Dans le cadre des grandes entreprises, il y a la plupart du temps un responsable RSE ou bien un directeur du développement durable et de la responsabilité sociale chargé de la coordination des actions RSE menées par l'entreprise. Cela prend place le plus souvent dans un département dédié entièrement à ces questions là.
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Quelle différence entre ESG et RSE ? Parmi ces acronymes, on trouve aussi la RSE : la responsabilité sociale des entreprises. La RSE est la prise en compte délibérée des critères ESG dans la vie de l'entreprise.
Les RH : acteurs clés de la RSE !
Fini le temps où développement durable et responsabilité sociétale des entreprises étaient associés au seul concept de l'environnement. Aujourd'hui salariés, clients, ONG, politiques, organisations syndicales ont bien pris en considération la dimension sociale de ce mouvement.
La RSE victime d'un manque de vision stratégique
En général, les acteurs du développement durable s'accordent à constater que le principal frein des entreprises est structurel, lié à un manque d'engagement ou de soutien du top management à la RSE.
La démarche de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) permet à l'entreprise de mieux réagir aux enjeux de performance auxquels elle est confrontée, par la gestion des risques et la saisie des opportunités, et de répondre aux demandes réglementaires de transparence.
La RSE stimule l'innovation
Intégrer les préoccupations environnementales et sociales dans leurs produits et services force les entreprises à se réinventer et à innover. La RSE permet ainsi de se différencier de la concurrence tout en boostant sa compétitivité.
Intégrer les salariés dans les actions RSE
Votre formation doit couvrir 3 axes : la qualité de vie au travail (qui accroit la performance), la parité au travail (égalité entre les hommes et les femmes pour l'accès à la formation) et la diversité (tout le monde doit avoir la même chance d'accéder à cette formation).
La RSE se décline en fonction de la vision et de la personnalité du dirigeant. Par ailleurs, la vision du chef d'entreprise va également avoir un impact sur la manière dont la politique RSE peut être déclinée. Chaque chef d'entreprise n'est pas doté du même intérêt et de la même sensibilité aux enjeux de la RSE.
Le concept de RSE n'apparaît qu'à partir des années 1960 dans la littérature consacrée aux entreprises (Social Responsabilities of the Businessman de H. Bowen en 1953, et The Responsible Corporation par G Goyder en 1961).
Toute démarche de RSE – responsabilité sociétale des entreprises – implique de respecter le cadre légal qui en normalise l'usage. Cela est d'autant plus vrai depuis l'application en France de la directive européenne de 2017 en matière de RSE.