Constantin Ier (en latin: Flavius Valerius Aurelius Constantinus, en grec: Κωνσταντῖνος (Konstantinos)), né à Naissus en Mésie (aujourd'hui Niš en Serbie) le 27 février 272, et mort le 22 mai 337 vers Nicomédie (actuelle Izmit en Turquie) est un empereur romain majeur du IV e siècle.
Né à Naissus (aujourd'hui Niš, en Serbie), Constantin est le dernier d'une longue suite d'empereurs originaires d'Illyrie. Ces hommes énergiques, militaires de modeste extraction, ont redressé le vieil empire à la fin du IIIe siècle, lorsqu'il était menacé par les premières attaques des Barbares.
Premier empereur romain à revendiquer sa conversion au christianisme, Constantin joue un rôle influent dans la proclamation de l'édit de Milan qui décrète la tolérance du christianisme dans l'empire.
Le christianisme a dû son expansion considérable à l'organisation de cette Église, dirigée par des évêques. Constantin, le premier, a compris l'importance capitale de cette organisation, sans équivalent jusqu'alors. Il ne s'est pas appuyé sur l'Église, mais a été le « Président » de l'Église.
BIOGRAPHIE CONSTANTIN IER - Empereur romain de 306 à 337, Constantin Ier le Grand est né le 17 février 270 à Nish. Il est mort le 22 mai 337 à Ancyrona, près de Nicomédie. Il permit au Christianisme de se développer et choisit Constantinople pour être la capitale de son empire.
La première communauté chrétienne est constituée par les premiers juifs de Jérusalem qui ont reconnu le Messie en Jésus de Nazareth, puis par leurs successeurs au-delà de la ville sainte. Elle est dirigée d'abord par Pierre jusqu'en 44 puis par Jacques le Juste, « frère du Seigneur », jusqu'en 62.
Selon la doctrine catholique, l'Église catholique est la continuation de la communauté chrétienne établie par Jésus-Christ au I er siècle.
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Le 8 novembre 392, l'empereur Théodose proclame le christianisme religion officielle de l'empire romain et interdit les autres cultes. Les derniers fidèles de ceux-ci sont poursuivis par la fureur fanatique de certains chrétiens.
Le 13 juin 313, l'empereur Constantin, fort de sa victoire du pont Milvius sur son rival Maxence, promulgue l'édit de tolérance de Milan par lequel il légalise le christianisme. C'est un retournement inattendu après la « Grande Persécution » inaugurée dix ans plus tôt par les tétrarques Dioclétien et Galère.
En devenant la religion officielle de l'Empire romain au IV e siècle, le christianisme sert à justifier un ordre politique autoritaire qui s'exerce au nom du Dieu unique. La nouvelle religion devient un élément essentiel de la cohésion de l'Empire.
Fils adoptif de Jules César, ce jeune patricien sans expérience se hissa au sommet de l'État. Après avoir rétabli la paix dans la République finissante, il prit le contrôle des institutions et , en 27 avant J. -C, devint Auguste, premier empereur de Rome.
L'Empire romain est divisé en 285-286 en diocèses par l'empereur Dioclétien, qui instaure aussi une tétrarchie. Lui-même administre les régions situées en Orient, et son compagnon d'armes Maximien celles en Occident. Chacun est assisté d'un coempereur.
Au début du IV e siècle, le prêtre alexandrin Arius affirma pour sauver le monothéisme que le Fils n'est qu'une simple créature, qui eut un commencement dans le temps, ce qui l'opposa aux partisans de la préexistence du Christ et de sa divinité et fut à l'origine de la réunion du concile de Nicée.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Le christianisme autorisé En 313 après J. -C., après sa victoire, l'empereur Constantin autorise le christianisme dans l'Empire romain.
La première religion connue en France est la religion gauloise. Dès la fin du II e siècle av. J. -C. , l'Empire romain qui a sa propre religion conquit la Gaule narbonnaise puis le reste de la Gaule de 57 à 50 av.
Après le judaïsme, le christianisme est la 2ème grande religion monothéiste. Il prend naissance en Palestine, là où le judaïsme s'est développé. Il en est issu mais s'en détache au Ier siècle après Jésus-Christ au point de devenir une nouvelle religion qui va progressivement se constituer en une Église.
Le christianisme apparaît au Ier siècle de notre ère dans une province de l'empire romain : la Palestine. Cette nouvelle religion puise ses fondements sur les récits racontant la vie et l'enseignement de Jésus. Ces récits sont regroupés sous la forme du Nouveau Testament.
Ils ne croient d'ailleurs qu'en l'autorité de la Bible et non plus à celle du pape contrairement aux catholiques. Autre différence : les protestants ne vouent pas une adoration pour la Vierge Marie. Ils croient en la conception virginale, c'est-à-dire le fait qu'elle ait conçu Jésus en restant vierge.
La Septante diffère de la Bible hébraïque non seulement par la langue utilisée, mais aussi par le fait qu'elle incorpore des livres supplémentaires, dits « deutérocanoniques », et que le texte des livres « canoniques » diverge parfois.
Le mazdéisme (de Mazda, Dieu, dans la langue perse) est la religion traditionnelle de l'ancienne Perse. Cette religion est l'un des premiers monothéismes et, pour la première fois dans l'Histoire humaine, promet à tous les hommes l'immortalité de l'âme sous réserve du jugement dernier.
Les Écritures donnent trois titres à Marie : femme, mère et vierge. C'est à partir de ces trois aspects de son être que l'on comprendra la place à part qu'occupe Marie parmi les créatures (« bien loin au-dessus de toutes les créatures dans le ciel et sur la terre », dit Lumen Gentium) et, ce faisant, pour l'Église.
Les Catholiques et Orthodoxes sont toutefois en désaccord sur la façon dont l'Esprit Saint circulent au sein de la “Sainte Trinité” et touche les fidèles : du Père PAR le Fils chez les Orthodoxes, alors que chez les Catholiques, le Saint-Esprit procède du Père ET du Fils.