Ainsi, le verbe FALLOIR étant un Verbe impersonnel, on écrira toujours CE QU'IL FAUT : – J'ai tout ce qu'il faut pour soigner la joue de David Lemoche. Enfin, dans le langage oral (et surtout familier), on entend souvent : – J'ai tout ce qui faut…
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
206 ; l'article a pour titre : « Ce qui, ce qu'il, ce que, ce dont »). Si le verbe est toujours impersonnel, on doit employer ce qu'il : « Il faut ce qu'il faut » ; « Vous ferez ce qu'il faut » (sous-entendu : faire).
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Qui est un pronom relatif sujet, qu' (=que) est ici le pronom relatif COD. C'est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne. Le temps qu'il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
Je sais qui l'appelle. REMARQUE : Souvent, "qu'il" ("qu'ils" au pluriel) s'écrit en deux mots quand on peut le remplacer par que lui-même (qu'eux-mêmes). Ex : La chanson qu'il a interprétée. = La chanson que lui-même a interprétée.
Il ne faut pas confondre "qui" (pronom relatif) et "qu'il" (pronom relatif + pronom personnel). 'qu'il' peut se remplacer par 'qu'elle'. Quelques exemples : Il retrouva le chien qu'il aimait.
Exemple 1--> Les personnes QUI l'avaient connu sont attristées par son départ. --> = les personnes qui avaient connu l' (= Pierre). Exemple 2--> Les personnes QU'Il avait connues ont quitté le village. --> = les personnes que l' (= Pierre) avait connues.
Quand l'interrogation comporte une relative avec qui, on emploie de préférence quel, qui évite la répétition de qui : quel est celui qui ose se plaindre ? (plutôt que : qui est celui qui ose se plaindre ?).
le QQOQC(C)P ! Le QQOQCCP (Quoi, Qui, Où, Quand, Comment, Combien, Pourquoi), appelé aussi méthode du questionnement est un outil d'aide à la résolution de problèmes comportant une liste quasi exhaustive d'informations sur la situation.
Par contre, pour les verbes toujours impersonnels, tel falloir, une seule construction est possible : on écrit ce qu'il faut, et non *ce qui faut. À cette exception près, écrivez donc ce qui vous plaira ou ce qu'il vous plaira…
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
Dans la phrase il t'attend , le verbe attendre est conjugué au présent et son sujet est il , troisième personne du singulier. Dans ce cas, le verbe ne prend pas la terminaison s . On conjugue j'attends , tu attends , il attend : comme on le voit, il n'y a qu'avec je et tu qu'on met un s .
Dans ce cas, le son (quel) s'écrit qu'elle(s), formé de qu' et du pronom personnel elle ; qu'elle, qu'elles peuvent se remplacer par qu'il ou qu'ils : J'aime ta robe. Qu'elle est belle !
Ce cheval qui regarde par la fenêtre est celui qu'il monte tous les samedis. Un verbe toujours impersonnel ne se conjugue qu'avec le pronom il (qui ne désigne rien): il faut, il pleut, il neige... Dis-moi ce qu'il faut faire. Je sortirai dimanche, qu'il vente ou qu'il pleuve.
À quoi servent les pronoms et déterminants interrogatifs ? Les pronoms interrogatifs sont qui, que, quoi, lequel. Ils remplacent la personne ou la chose sur laquelle on pose une question dans la phrase interrogative. Le déterminant interrogatif quel est toujours placé devant un nom.
Exemple : ''Le travail qu'ont effectué nos collaborateurs est excellent.'' « Qu'ont » est la réunion du pronom relatif « que » et du verbe avoir conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif. On peut remplacer « qu'ont » par « qu'avaient ».
Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".
L'exemple pour tout comprendre. « Quelle joie de vous rencontrer enfin ! » -> « Quelle » réfère au mot « joie » dans cette phrase exclamative. « Je ne sais pas ce qu'elle a dit. » -> « Qu'elle »est le sujet du passé composé « a dit » et relie les 2 phrases entre elles.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
On emploie indifféremment qui ou qu'il avec des verbes qui peuvent se construire impersonnellement : Le peu de temps qu'il (ou qui) lui reste à vivre. Vous verrez ce qu'il (ou qui) arrivera. Allons voir ce qu'il (qui) se passe.