Le Québec importe la presque totalité du gaz naturel qu'il consomme de l'Ouest du Canada et du nord-est des États-Unis. Ses approvisionnements passent par l'Ontario à partir du réseau de TransCanada. Une fraction du gaz naturel consommé par les Québécois représentait du gaz naturel renouvelable (GNR) produit au Québec.
Toute essence est produite à partir de pétrole brut. Au Canada, la majorité de la production de pétrole se fait dans le BSOC, qui englobe la presque totalité de l'Alberta ainsi que certaines parties de la Saskatchewan, du Manitoba, de la Colombie-Britannique, du Yukon et des Territoires du Nord-Ouest.
Bien qu'il soit le cinquième plus important producteur de gaz naturel au monde, le Canada a tout de même recours à l'importation. Toutes les importations entrent à l'est du pays par un réseau étendu de pipelines et par le terminal de GNL à Saint-Jean.
Le Canada est un exportateur net de pétrole brut, c'est-à-dire que ses exportations dépassent chaque année ses importations. À l'heure actuelle, le Canada n'importe aucun pétrole brut de la Russie. La production de pétrole a augmenté au Canada au cours de la dernière année au point d'atteindre le niveau prépandémique.
Le gaz naturel est une ressource directement extraite du sous-sol. Elle provient donc de gisements souterrains ̶ des gisements qui ne se trouvent pas partout sur la planète ! Les États-Unis, la Russie, le Canada, l'Iran, le Qatar et la Norvège sont les plus grands producteurs de gaz naturel au monde.
Total : 534 TWh PCS en 2020
La Norvège demeure le principal fournisseur de la France (36 % du total des entrées brutes), devant la Russie (17 %), l'Algérie (8 %), les Pays-Bas (8 %), le Nigeria (7 %) et le Qatar (2 %).
Les Etats-Unis, bien que producteur n°1, consomme la quasi-totalité de son gaz et n'exporte donc qu'une petite partie.
Produits minéraux, pierres précieuses et boissons : les principales importations canadiennes en provenance de la Russie.
Par exemple, il est interdit aux Canadiens et aux personnes au Canada d'importer du pétrole russe[2] et de fournir à la Russie des marchandises qui peuvent servir à l'exploration ou la production pétrolière[3]. Il leur est également interdit de fournir divers services à l'industrie pétrolière russe[4].
Le Canada était le premier exportateur vers les États-Unis en 2021, expédiant chaque jour près de 4,3 millions de barils de pétrole brut et de produits pétroliers.
Il n'y a aucune production commerciale de gaz naturel au Québec. Le gaz naturel consommé quotidiennement par les Québécois est donc importé de l'Ouest canadien et des États-Unis.
Plus de la moitié de l'électricité produite au Canada (60 %) provenait de sources hydroélectriques. Le reste venait de diverses sources, comme le gaz naturel, les énergies nucléaire, éolienne et solaire, le charbon, la biomasse et le pétrole (figure 2).
Le Canada possède les plus grands gisements d'uranium à haute teneur du monde dans le bassin d'Athabasca, dans le nord de la Saskatchewan. Les mines de la Saskatchewan produisent tout l'uranium canadien, dont les trois quarts sont exportés et le reste est utilisé pour la production d'énergie nucléaire au Canada.
L'essence est un carburant d'origine fossile, issue de la distillation du pétrole. Il s'agit d'un mélange d'hydrocarbures et d'additifs. Les différents hydrocarbures utilisés comprennent : Entre 20 % à 30 % d'alcanes.
Alberta. L'Alberta compte aussi 5 pré-raffineries, qui transforment le bitume brut en pétrole brut de synthèse, lequel doit ensuite être raffiné. Suncor, Fort McMurray, (Suncor), 350 000 barils par jour (56 000 m3 ).
Le géant russe a, en outre, précisé que «les exportations de gaz vers la Chine, par le gazoduc Power of Siberia, augmentent, dans le cadre d'un contrat à long-terme entre Gazprom et CNPC». En d'autres termes, la baisse des livraisons concerne essentiellement l'Union européenne.
L'Union européenne reste le principal acheteur de ces exportations, dont la France qui a maintenu son approvisionnement en gaz russe malgré des sanctions prises contre d'autres secteurs de l'économie russe.
La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux. Le pays figure parmi les premiers exportateurs mondiaux de blé, d'huile de tournesol, et d'orge. La Turquie, le Kazakhstan, l'Égypte, la Chine et le Bélarus sont ses principales destinations d'exportations (FAO, 2019).
«Actuellement, il n'y a pas de menace immédiate et terrestre de la Russie dans l'Arctique canadien, tempère d'entrée de jeu Kerry Buck, ancienne ambassadrice du Canada à l'OTAN et cosignataire de l'étude.
La Russie exporte, pour l'essentiel, des ressources énergétiques ( pétrole et produits pétroliers, gaz, charbon), de l'acier laminé, des métaux ferreux et non-ferreux, des minéraux utiles. Le pétrole et les produits pétroliers munissent la grande partie de l'exportation russe.
Le gazoduc Maghreb-Europe, qui achemine le gaz algérien de Hassi R'Mel à Cordoue en Espagne, traverse le Maroc, dont la rémunération pour ce transit est un péage annuel sous forme de gaz. La propriété de la section marocaine du gazoduc sera transférée de l'Algérie au Maroc en 2021.
Rang 1 : Russie
Plus de 94% de la production de gaz naturel en Russie est contrôlée par Gazprom, une société appartenant au gouvernement russe. Gazprom détient également le record du plus gros extracteur de gaz naturel.