Dans certains pays, les déchets plastiques mis à la poubelle sont stockés dans des décharges à ciel ouvert. Et ces déchets s'envolent ! Ils atterrissent dans des rivières, qui les emportent jusque dans les océans. Dans une moindre mesure, la pollution plastique des océans est aussi causée par la pêche.
La circulation des déchets aquatiques
Les cours d'eau, les vents et les courants marins sont alors les principaux vecteurs de circulation des déchets. Les cours d'eau constituent l'une des sources principales de déchets provenant de l'intérieur des terres vers le littoral.
Le plastique se retrouve dans les océans de plusieurs façons : Les déchets (intentionnels ou non, le vent ou la pluie emportant les déchets dans l'océan) Décharge illégale ou élimination inadéquate des déchets. Fuites en provenance des décharges.
Les déchets les plus retrouvés dans le milieu naturel sont les mégots de cigarette, dont les filtres contiennent des fibres de plastiques, les bouteilles en plastiques, les bouchons de bouteilles, les sacs plastiques et les pailles. Les fleuves transportent cette matière plastique vers les fonds marins.
80 % des déchets marins proviennent des activités à terre. Ce sont des déchets qui ont gagné la mer ou qui y ont été jetés. Les plastiques, et plus particulièrement les déchets d'emballages en plastique comme les sacs à usage unique sont, et de loin, les déchets les plus répandus dans l'environnement marin.
Une petite partie de ces déchets s'accumule et forme de gigantesques « vortex de déchets » flottants. L'océan Pacifique héberge le plus grand d'entre eux. On estime que plus de 15 millions de tonnes de plastique se déversent chaque année dans l'océan depuis les côtes et les fleuves.
Arrêter le plastique à usage unique. Sacs plastiques, cotons tiges, pailles, bouteilles d'eau en plastique, sont ultra polluants car non biodégradables. Remplacez-les par des alternatives durables (sacs en tissus, des pailles en inox, des cotons tiges réutilisables) et dites non au tout jetable. Nettoyer les plages.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Le septième continent se situe au nord-est de l'océan Pacifique et s'est formé à partir de millions de tonnes de détritus plastiques apportés par les courants océaniques et il continue de s'étendre…
Avion vs voiture, qui est le plus polluant ? Selon le simulateur “Mon Impact Transport” de l'Ademe, sur un trajet de 500 km, la voiture individuelle émet plus de 50 % de CO2 que le même trajet en avion.
On estime que 26 millions de tonnes de plastique, soit un dixième de la production totale, finissent dans les océans. Le matériau est dégradé et emporté loin des côtes, dans les grands tourbillons océaniques. Ces gyres accumulent le plastique, et sont souvent qualifiés de continents de plastique.
Problèmes causés par les déchets plastiques dans l'océan
En effet, ils affectent toute la faune marine. Les animaux se coincent dans les plus grands déchets et confondent les petits fragments de plastique avec de la nourriture, ce qui peut provoquer leur intoxication et leur coûter la vie.
Les mégots de cigarette
Et le fait d'être généralement moins exposé qu'avant à la fumée de cigarette ne se ressent pas dans les déchets qui se retrouvent sur les plages. En 2018, le ICC a ramassé plus de 5 700 000 mégots, ce qui en faisait le déchet le plus commun.
450 ans pour décomposer une bouteille en plastique
Au lieu d'organismes vivants, le rayonnement ultraviolet (UV) du soleil défait la structure chimique du plastique pour décomposer une grande unité plastique en morceaux de plus en plus petits au fil du temps.
Un tout petit déchet en soit. Mais en multipliant cette donnée par des milliards, le mégot arrive en tête du « Top 10 des déchets marins », selon l'association SurfriderFoundation Europe. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans.
Il s'agit de Zealandia. D'une superficie d'environ 3,5 millions de kilomètres carrés, Zealandia (qui porte également le nom de Tasmantis) est d'environ de la même taille et de la même forme que le Groenland.
Il existe 7 continents : L'Amérique du Nord, l'Amérique du Sud, l'Europe, l'Asie, l'Afrique, l'Océanie et le plus petit d'entre eux, l'Antarctique.
Dans la lutte contre le changement climatique, le méthane émis par les vaches est un polluant que l'on ne peut tout simplement pas se permettre de négliger.
Si l'on considère qu'un train émet 14 grammes de CO2 par personne et par kilomètre parcouru, un avion environ 285 grammes et un bateau mille fois plus qu'un train, en termes de CO2, le bateau est plus polluant que l'avion. En outre, le bateau est aussi plus polluant qu'un avion en raison de la production d'eaux usées.
Capter avec un aimant
Il y rajoute de l'huile végétale, pour attirer les microplastiques, puis de la poudre de magnétite. C'est le mélange de l'huile et de la magnétite qui forme ce qu'on appelle un ferrofluide et qui va pouvoir ensuite être capté avec un aimant.
Le réchauffement de la température des eaux, l'acidification du milieu, la désoxygénation, et l'élévation du niveau de la mer, combinés aux impacts de la surpêche, de la pollution, et de la destruction des habitats, aboutissent à une érosion de la biodiversité marine, menacée avant même d'être même totalement ...
Au cours des six prochains mois, une trentaine de barrières flottantes en forme de fer à cheval seront mises à l'eau pour nettoyer le « septième continent », cet amas de déchets plastiques, grand comme la province de Québec (1,6 million de kilomètres carrés), qui flotte à mi-chemin entre la Californie et Hawaï.