Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Lorsqu'on a un verbe qui est toujours impersonnel (c'est-à-dire un verbe qui ne s'utilise qu'à la troisième personne du singulier, comme falloir), on dira toujours ce qu'il.
Mais revenons à la question posée. «Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels.
Dans les tournures impersonnelles
Dans l'exemple ci-dessus, la première possibilité équivaut à la proposition cela leur arrive, la seconde équivaut à il leur arrive cela. Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il.
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
Pour accorder le verbe avec le pronom qui, on doit : trouver le nom ou le pronom que le qui remplace; trouver le nombre (singulier ou pluriel) de ce nom ou ce pronom; accorder le verbe selon le nombre de ce nom ou ce pronom.
Lorsque le verbe est suivi de son complément, on écrit plutôt ce qu'il : Jean demande ce qu'il plaît à Claire de faire (de faire est le complément de il lui plaît). Lorsque le verbe est employé seul, on écrit plutôt ce qui : Jean demande ce qui lui plaît.
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? (sommaire)
La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d'élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu'il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu'il vous reste à découvrir (Duhamel).
Lui et moi = pluriel première personne (Lui et moi sommes venus). la deuxième personne l'emporte sur la troisième. Toi et lui = pluriel deuxième personne (Toi et lui êtes venus).
Pronom accentué, uniquement masculin, sujet, attribut du sujet, objet direct, apposition, complément précédé d'une préposition (il peut être renforcé par même : lui-même) : Sans la liberté, l'homme n'est pas lui-même.
le lui : le représente la chose dont on parle qui est au masculin (un...... le .....) la lui ; la représente la chose dont on parle qui est au féminin (la....
Emploi déconseillé de je te manque à la place de tu me manques. Utiliser je te manque au lieu de tu me manques est une construction calquée sur l'anglais I miss you. Puisque cet emploi ne respecte pas la syntaxe française du verbe manquer, il est jugé incorrect.
Ce qui est à éviter, c'est de commencer une phrase par une conjonction de coordination sans que le lecteur puisse clairement saisir à quoi cette phrase est coordonnée.
« Qui » est le sujet habituel d'une construction personnelle : « Prends ce QUI te plaît ». « 'Qu'il' apparaît dans le tour impersonnel », où « qu(e) est « tantôt complément d'un infinitif (…) : Nous ferons le chemin QU'il convient de parcourir' (…) ; – tantôt sujet logique : 'Il arrivera ce QU'il arrivera' ».
Il faut écrire: Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet, mais avec le complément d'objet direct (COD), uniquement si celui-ci est placé avant. Exemples : « Le chat a mangé les souris ! » Le COD « les souris » est placé après le participe passé, on n'accorde pas.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
Lorsqu'un nom et un adjectif sont accolés, quel que soit leur ordre, les deux s'accordent (« des grands-pères », « des coffres-forts »). Seul le nom prend la marque du pluriel lorsqu'il est accolé à un adverbe ou à un adjectif qui a valeur d'adverbe (« des haut-parleurs », « des arrière-boutiques »).
La bonne orthographe est « ce soir », avec un « c » et non « se soir ». Pour l'écrire correctement dans une phrase, il suffit de l'écrire comme suit: « Ce soir, je vais au cinéma ». Il est important d'utiliser la bonne orthographe pour communiquer de manière claire et professionnelle.
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
Le verbe « être » n'étant jamais pronominal, la version correcte de l'expression est « ce sera ». En effet, « se sera » n'existe pas. Pour t'en rappeler, « ce » devant le verbe « être » peut être remplacé par « cela » lorsqu'il est singulier. C'est un pronom démonstratif.