«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
"le" remplace un nom masculin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "la" remplace un nom féminin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "lui" remplace un nom masculin, ou féminin singulier, complément d'objet INDIRECT du verbe (COI).
Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive. Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c'est surtout une question de gout, de sensibilité.
QUI ou QU'Y ? Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Je sais qui l'appelle. REMARQUE : Souvent, "qu'il" ("qu'ils" au pluriel) s'écrit en deux mots quand on peut le remplacer par que lui-même (qu'eux-mêmes). Ex : La chanson qu'il a interprétée. = La chanson que lui-même a interprétée.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
C'est très simple: avec "Qu'est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de sujet; avec "Qu'est-ce que..." le pronom interrogatif se rapporte à une chose et a la fonction de COD; avec "Qui est-ce qui..." le pronom interrogatif se rapporte à une personne et a la fonction de sujet; avec ...
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
On utilise le subjonctif dans ce cas pour indiquer le doute. Par exemple: Je cherche une personne qui peut m'aider. (Il existe une personne qui est capable de m'aider.
Lui précédé d'une préposition. Si lui représente une personne, on peut l'employer après n'importe quelle préposition, sauf dans (que l'on remplace par en) : il a senti en lui l'appel de la mer (et non : *il a senti dans lui) ; j'ai dîné avec lui avant-hier ; tu es déjà allée chez lui ?
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc. "Moi qui", "toi qui"... sont des tournures emphatiques.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
On écrit "qu'elle(s)" quand on peut remplacer par "qu'il(s)" : Il faut qu'elle rentre tôt. / Il faut qu'il rentre tôt. Dans tous les autres, cas on écrit quel(s) au masculin ou quelle(s) au féminin : Quelle bonne idée ! / Quelles bonnes idées !
On utilise ce qui, ce que ou ce dont pour exprimer la chose qui, la chose que, la chose dont. (Elle ne comprend pas la chose qui se passe). (Tu ne sais pas la chose que tu perds).
Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment. Remarque : Que devant une voyelle devient qu'. Dont remplace un mot complément précédé de de.
C'est comme si on avait : Ils voulaient quelque chose […] qui puisse perdurer et affronter toutes les éventualités climatiques. La question qui se pose alors est celle de l'emploi de l'indicatif (y compris du conditionnel) ou du subjonctif dans une proposition relative (introduite ici par le pronom relatif qui).
Senior Member
On dit "Qu'est-ce qui manque" (ou alors: Que manque-t-il?) Certains français font la faute, mais seul le "qui" est valable.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Comment écrire Ils me manque ? C'est la troisième, -ent , l'orthographe correcte est elles me manquent .
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
On distingue : les pronoms relatifs simples : qui, que, quoi, dont, où ; Exemple : Avec Chloé qui joue du violon, nous faisons souvent de la musique. les pronoms relatifs composés : lequel, auquel, duquel ; Exemple : La chorale dans laquelle je chante donne de nombreux concerts.