Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Mais revenons à la question posée. «Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels.
Le verbe s'accorde toujours avec il.
Restent sur la table quelques objets sans valeur > il reste sur la table …
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.
"le" remplace un nom masculin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "la" remplace un nom féminin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "lui" remplace un nom masculin, ou féminin singulier, complément d'objet INDIRECT du verbe (COI).
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Pronom atone masculin et féminin, objet indirect d'un verbe : Voilà ce que je lui ai entendu dire. 2. Pronom accentué, uniquement masculin, sujet, attribut du sujet, objet direct, apposition, complément précédé d'une préposition (il peut être renforcé par même : lui-même) : Sans la liberté, l'homme n'est pas lui-même.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
Avec l'auxiliaire 'avoir', le participe passé s'accorde normalement avec le complément d'objet direct seulement si celui-ci est placé devant le verbe. Pour retrouver le complément d'objet direct (brièvement appelé COD), il suffit de se poser la question 'qui' ou 'quoi' après l'action.
En général, on forme le pluriel d'un nom en ajoutant « s » au nom singulier. Pour certains noms, « x » est la marque du pluriel. En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit. Cette terminaison « s » ne se prononce pas.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Le pronom « lui » a deux fonctions : - En forme disjointe, non réfléchie, il correspond à la troisième personne du singulier au masculin (et le féminin est « elle »). - En forme conjointe, il a la fonction d'objet indirect et correspond indifféremment au masculin et au féminin. Il s'agit donc d'une forme neutre.
Qui est-ce que ? Les 2 expressions se terminent par « que » ( ou qu'), elles indiquent la fonction complément des 2 éléments recherchés. La première commence par qui -> l'élément recherché est une personne. Qui est-ce que tu écoutes ?
On emploie « qu'il faille », verbe falloir au présent du subjonctif, lorsque le sens de la phrase marque une possibilité, lorsque l'action peut être soumise à discussion, l'événement être mis en doute ou lorsqu'une condition nécessaire n'est pas certaine d'être réalisée.
* Qu'est-CE QU'IL se passe ? (Il se passe quelque chose.) * Qu'est-CE QUI se passe ? (Quelque chose se passe. Selon Grévisse, 1 On emploie QU'IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.
A.
Ce qui reste, ce qui subsiste d'un ensemble auquel on a retranché une partie.
nom masculin. Le reste de : ce qui reste de (un tout dont une ou plusieurs parties ont été retranchées). (d'un objet ou d'une quantité mesurable) Le reste d'une somme d'argent. ➙ reliquat, restant, solde.
Rester à dîner, rester dîner. Les deux constructions sont admises. La construction avec à est plus soutenue, la construction directe (rester dîner) plus courante. Reste dans une soustraction.
Le pronom lui est épicène quand il est employé comme COI et qu'il est placé directement devant le verbe, sans préposition, ou encore après un impératif. Dans tous les autres cas il est remplacé par elle au féminin.