Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
On écrira toujours "il me reste". C'est une tournure impersonnelle comme "il pleut" ou "il y a".
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !
En fait, dans les formes avec "est-ce qu", il faut distinguer plusieurs choses : Qu'est-ce qui fait du bruit ? (Quelle chose fait du bruit ?) Qui est-ce qui fait du bruit ? (Quelle personne fait du bruit ?) Qu'est-ce que tu attends ? (Quelle chose attends-tu ?)
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.
Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
QUI ou QU'Y ? Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.
Je sais qui l'appelle. REMARQUE : Souvent, "qu'il" ("qu'ils" au pluriel) s'écrit en deux mots quand on peut le remplacer par que lui-même (qu'eux-mêmes). Ex : La chanson qu'il a interprétée. = La chanson que lui-même a interprétée.
C'est comme si on avait : Ils voulaient quelque chose […] qui puisse perdurer et affronter toutes les éventualités climatiques. La question qui se pose alors est celle de l'emploi de l'indicatif (y compris du conditionnel) ou du subjonctif dans une proposition relative (introduite ici par le pronom relatif qui).
On utilise ce qui, ce que ou ce dont pour exprimer la chose qui, la chose que, la chose dont. (Elle ne comprend pas la chose qui se passe). (Tu ne sais pas la chose que tu perds).
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
Dans la phrase il t'attend , le verbe attendre est conjugué au présent et son sujet est il , troisième personne du singulier. Dans ce cas, le verbe ne prend pas la terminaison s . On conjugue j'attends , tu attends , il attend : comme on le voit, il n'y a qu'avec je et tu qu'on met un s .
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Qu'est-ce qui te prend ? The correct French translation is " Qu'est ce qui te prend" What's gotten into you? It is highly unlikely to come across " qu'est ce qu'il te prend" like that . that sentence as no sense.
Cette formulation est plutôt enfantine, avec la répétition du pronom "qui". La formule vise à désigner une personne, en insistant sur cette dernière, et parfois à rappeler que cette personne a un ascendant sur une autre.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct.
"le" remplace un nom masculin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "la" remplace un nom féminin singulier, complément d'objet DIRECT du verbe (COD). "lui" remplace un nom masculin, ou féminin singulier, complément d'objet INDIRECT du verbe (COI).
Faux. Il faut écrire : Cet artisan, qui vous l'a recommandé ? Direz-vous plutôt « Cet artisan, qui vous les recommandé ? » ou « Cet artisan, qui vous l'avait recommandé ? » La deuxième solution (« l'avait ») est la bonne. On n'écrit donc pas « la », mais « l'a ».
Pronoms relatifs définis. . Les pronoms relatifs définis sont qui, que, quoi, dont, où, lequel et ses formes contractées auquel et duquel. Le roman que tu as écrit est passionnant.