-'On' = Un pronom indéfini qu'on peut remplacer par le pronom personnel 'il' ou 'nous' et la phrase reste correcte . -'Ont' =Verbe ou auxiliaire 'avoir' conjugué à la 3e personne du pluriel au présent et qu'on peut conjuguer à l'imparfait et la phrase reste correcte.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Exemple : ''Le travail qu'ont effectué nos collaborateurs est excellent.'' « Qu'ont » est la réunion du pronom relatif « que » et du verbe avoir conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif. On peut remplacer « qu'ont » par « qu'avaient ».
-Conclusion: -'On' = Un pronom indéfini qu'on peut remplacer par le pronom personnel 'il' ou 'nous' et la phrase reste correcte . -'Ont' =Verbe ou auxiliaire 'avoir' conjugué à la 3e personne du pluriel au présent et qu'on peut conjuguer à l'imparfait et la phrase reste correcte.
À l'inverse, on est préférable à l'on
a) Quand on est suivi d'un mot commençant par l, pour éviter une allitération (répétition d'une même consonne). On se cultive quand l'on lit beaucoup. On se cultive quand on lit beaucoup.
· « on » n'est pas un pronom personnel sujet mais est pronom indéfini et n'a pas de genre : il remplace toute sorte de pronom personnel, singulier ou pluriel, masculin ou féminin, et reste neutre.
L'accord du verbe conjugué avec le pronom on comme sujet se fait toujours à la 3e personne du singulier. Le pronom on a la même valeur qu'un il, il commande donc un accord à la 3e personne du singulier. On en parle, mais on n'en sait pas plus. On avait des données importantes à lui transmettre.
On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet. Il est dérivé du latin homo, homme.
Déjà, il ne faut pas confondre les mots on et ont : écrire ont t'aime n'est pas correct. Ensuite, il faut accorder le verbe correctement, et donc ne pas écrire on t'aiment . Et enfin, ne pas additionner ces deux erreurs, en écrivant ont t'aiment !
Dans la phrase on vous aime , le mot vous ne joue aucun rôle dans l'orthographe du verbe. Ce mot n'indique pas que le verbe doit se mettre au pluriel. Les conjugaisons aimes et aiment existent aussi au présent, mais elles ont pour sujet tu et ils / elles : tu aimes , ils aiment , elles aiment .
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
« nous » (COD). Avec l'auxiliaire avoir, l'accord du participe passé se fait avec le complément d'objet direct (COD), si celui-ci est placé avant le verbe. Écrivez : « ceux qui nous ont aidés » ou « aidées » (si « nous » ne représente que des femmes).
Le participe passé est toujours invariable lorsqu'il est précédé de "que" et suivi du pronom relatif "qui". Dans cette construction, l'objet direct est la proposition relative complète avec son sujet, auquel renvoie "qui". Les hommes que j'avais prévu qui viendraient.
On n'écrit pas elles ont étés , car comme on l'a dit ce participe passé est invariable. De plus attention de ne pas confondre les conjugaisons qui se prononcent pareil mais s'écrivent différemment : la graphie elles ont étaient est incorrecte.
On peut également se mettre à la place de nous. L'accord se fait alors comme si le on était de la première personne du pluriel avec les participes passés. Cet emploi de on se fait à l'oral. On préfère largement utiliser le on à la place du nous à l'oral.
Ils ont été correspond à une conjugaison du verbe être : le passé composé. Ce temps est fabriqué avec l'auxiliaire avoir et le participe passé du verbe, été . Pour diverses raisons, le participe passé de ce verbe est invariable.
Aujourd'hui, les meilleurs grammairiens acceptent d'accorder l'adjectif ou le participe au pluriel si « on » désigne plusieurs personnes. On est partis, on est jeunes. Bien sûr, si « on » désigne un être « général » on « non identifié », on garde le singulier.
Quand on a la valeur d'un pronom personnel (on représente des personnes particulières, il peut être remplacé par je, tu, nous, vous), les accords peuvent se faire au masculin ou au féminin et au singulier ou au pluriel selon le genre et le nombre des personnes désignées par on.
Devant un mot commençant par une voyelle, "on" peut se confondre avec "on n'". Pour savoir si vous devez écrire on ou on n', il faut mettre le verbe à une autre personne pour voir s'il est à la forme négative ou affirmative.
La présence de l'article l' devant on n'a rien d'obligatoire et elle est plus fréquente dans l'usage soutenu que dans le registre courant. Il s'agit d'une trace de l'ancien français : on était un nom, qui signifiait « homme » et on le faisait précéder, tout comme les autres noms, de l'article.
« L'on » – origine du pronom
L'on vient du latin homo qui signifie l'homme. Le nom est progressivement devenu un pronom qui a conservé l'article défini. Ce L euphonique est donc à l'origine un article. Très tôt, les auteurs se sont posé la question de conserver ce L'.