Le neurochirurgien et l'orthopédie. Il opère le cerveau, la moelle épinière, les nerfs, le rachis… C'est le neurochirurgien !
La différence entre un neurologue et un neurochirurgien est analogue à celle entre un cardiologue et un chirurgien cardiovasculaire : le neurochirurgien utilise des moyens chirurgicaux pour traiter les maladies neurologiques alors que le neurologue utilise des moyens médicaux (pharmacologiques).
Il traite des maladies aussi variées que la hernie discale, la maladie de Parkinson, l'hyperacousie, l'anévrisme ou le traumatisme intracrânien, l'hématome cérébral, les compressions médullaires parfois responsables de douleurs chroniques (lombalgies, sciatiques…) et l'ensemble des tumeurs pouvant affecter les systèmes ...
Le neurologue est amené à suivre des personnes atteintes de migraines, de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, l'épilepsie, les démences comme la maladie d'Alzheimer, les hémorragies cérébrales, les tumeurs cérébrales ou médullaires touchant la moelle épinière).
Le neurochirurgien incise le cuir chevelu après un repérage précis par neuronavigation, le plus souvent sans raser les cheveux. Il découpe une partie de l'os du crâne (volet osseux). L'incision des méninges qui enveloppent le cerveau permet l'accès à la tumeur. L'intervention se fait le plus souvent sous microscope.
Une intervention neurochirurgicale peut avoir différents effets secondaires : Des effets liés à l'anesthésie générale : fatigue, difficultés pour parler ou respirer ; Des complications communes à toute intervention chirurgicale : infection de la zone opérée, hématome dans la zone opérée ou entre les méninges.
Une fois évaluées par le médecin (dermatologue), les tumeurs « dangereuses » sont retirées par exérèse par un chirurgien plasticien.
La maladie d'Alzheimer.
Le médecin soigne une étendue de maladies qui exige beaucoup de rigueur et d'écoute du patient et de son entourage. Il n'effectue pas d'acte chirurgical, si une intervention sur le cerveau ou sur la moelle épinière est requise, c'est le neurochirurgien qui intervient.
Avec des honoraires de plus de 298 000€ net par an et un bénéfice comptable s'élevant à environ 1750 595€, les anesthésistes sont les médecins spécialistes qui gagnent le mieux leur vie. Suivent de près, les chirurgiens orthopédiques et les ophtalmologues qui gagnent en moyenne de 150 058€ annuels.
Williams Harvey Cushing ( 8 avril 1869 - 7 octobre 1939 ) est un neurochirurgien américain et un pionnier de la chirurgie du cerveau. Il est unanimement considéré comme le plus grand neurochirurgien du XX e siècle et souvent désigné comme le « père de la neurochirurgie moderne ».
Le neurochirurgien est le chirurgien spécialiste du système nerveux central (SNC) et du système nerveux périphérique (SNP). Le système nerveux central comprend le cerveau et la moelle épinière, aussi appelée moelle spinale.
Le salaire du neurochirurgien en statut libéral
Un neurochirurgien qui opte pour une activité libérale totale touche un salaire moyen brut de 8 134 € (de 1 963 € à 14 305 € bruts par mois).
Il s'agit le plus souvent d'un neurologue. Enfin, en dernier recours, une consultation au sein d'une unité spécialisée dans les céphalées peut être proposée.
Contrairement à la neurologie, la psychiatrie s'intéresse donc bien plus à la vie du patient, son environnement familial, professionnel, lieu de vie, habitudes alimentaires, et bien d'autres.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
"Si cette personne a trois tumeurs au cerveau, il peut s'agir de métastases. Et s'il s'agit de trois métastases dans le cerveau, on considère qu'il n'est pas très utile d'en enlever une pour en laisser deux… Et la chimiothérapie ne passe pas très bien dans le cerveau mais on a surtout recours à la radiothérapie.
La survie médiane sans évolution de ce cancer est d'environ 12,8 mois s'il a été traité par chimiothérapie seulement et elle peut aller jusqu'à 5 ans si on a associé une chimiothérapie à une radiothérapie. La survie médiane varie de 7 à 24 semaines. La survie varie selon l'emplacement de la tumeur primitive.
La chirurgie est le principal traitement des tumeurs cérébrales. La radiothérapie et/ou la chimiothérapie peuvent y être associées ou être utilisées seules lorsque l'opération n'est pas réalisable.