« Dans notre religion et notre tradition, l'homme doit payer la dot et assumer les dépenses de la vie future du couple.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église.
Tout comme la production prend en charge l'intégralité des frais liés au mariage, elle s'occupe également de régler la facture en cas de divorce.
La cérémonie se déroule de la manière suivante : Il demande l'accord de la future mariée que l'union puisse avoir lieu. L'imam fait un discours sur les conditions du mariage ainsi que l'importance de l'amour. Les mariés récitent le premier chapitre du Coran.
Dans le mariage marocain, qui paie quoi ? Traditionnellement, c'est la famille de la mariée qui prend en charge les frais du mariage, la famille du marié versant la dot et offrant de nombreux cadeaux. Aujourd'hui, les familles ont tendance à se partager les frais, chacune se chargeant des tenues de leur enfant.
Pour ce qui est de l'organisation de la cérémonie du henné c'est à la charge de la famille de la jeune femme.
La tradition dit que c'est la mariée, ou la famille de la mariée, qui achète l'alliance du marié. Cela remonte à l'histoire passée où la famille de la mariée offrait des cadeaux au marié en échange du mariage.
Polygamie. La polygamie n'est autorisée en Algérie que si l'homme a l'assentiment de la première épouse. L'autorisation de second mariage doit être accordée par un juge.
La célébration du mariage
Celle-ci sera accueillie par sa belle mère avec des présents de bienvenue et aussi pour lui souhaiter des vœux. Ensuite le marié, pourra venir chercher son épouse. Lors du fatha, considéré comme le mariage religieux chez les algériens, un imam est en charge de la célébration.
Le port des 7 robes varie selon les pays. Porter 7 robes, cela vient du fait que la mariée doit être vue de la plus belle des manières et ainsi être mise en valeur avec des robes de différentes régions de son pays d'origine. En Algérie, souvent la femme porte une robe kabyle, une oranaise, une algéroise.
Traditionnellement, c'est le fiancé qui doit offrir le bouquet de mariée à sa promise le jour du mariage. La future épouse se doit donc de lui distiller quelques informations sur sa robe de mariage, pour qu'il puisse accorder les fleurs et le style du bouquet à la rose, qu'il n'a jamais vue !
La mère de la mariée ne sera pas en reste car elle assumera le rôle d'hôtesse officielle de la cérémonie. Durant la réception, les parents respectifs des deux jeunes mariés auront l'honneur de porter le premier toast, accompagné généralement de la lecture d'un joli texte d'amour.
Selon les statistiques publiées par différentes études sur le sujet et reprises par de nombreux blogs (La Mariée aux Pieds Nus etc), le budget moyen d'un mariage en France avoisine aujourd'hui les 12 000€. Avec une inflation en mars 2022 estimée à un taux d'environ 4%, il est néanmoins probable que ce chiffre augmente.
Les parents doivent-ils participer au paiement du mariage ? Lorsque l'on se demande « qui paye quoi » dans un mariage, on pense généralement aux parents des deux mariés. En effet, traditionnellement ce sont les familles qui financent l'union de leurs enfants.
La famille du marié achète les bagues de fiançailles et les alliances, la tenue du marié, le bouquet de la mariée et les dépenses liées au voyage de noces.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
La présence du tuteur
Il s'agit en général du père de la future mariée, mais peut être son frère, son oncle paternel, grand-père paternel.
Le certificat de coutume est un document qui rappelle les dispositions de la loi algérienne en matière du mariage, délivré par le service d'état civil, aux futurs époux algériens, pour la célébration de leur mariage devant un officier de l'état civil français.
- L'article 150 désigne les acèbs : «l'héritier aceb est celui qui a droit à la totalité de la succession». -L'article 155: «L'héritier aceb par un autre la fille, la fille du fils du de cujus, et la sœur consanguine.
Depuis son indépendance, l'Algérie a réalisé des progrès très importants en faveur des droits des femmes, notamment la scolarisation des filles. En 2019, le taux de scolarisation au cycle primaire, était de 97,13%[i], sans écart significatif entre les sexes.
Cet âge (19 ans) correspond à la majorité civile fixée par l'article 40 du code civil qui dispose que toute personne majeure jouissant de ses facultés mentales et n'ayant pas été interdite, est pleinement capable pour l'exercice de ses droits civils et que la majorité est fixée à 19 ans révolus.
Concernant l'échange des Alliances, c'est le jeune marié qui passera le premier la bague au doigt de sa fiancée.
Les fiançailles se déroulent habituellement entre 6 et 12 mois avant le mariage. Mais bien entendu, il ne s'agit pas d'une règle stricte : vous pouvez offrir la bague de fiançailles quand vous le désirez.