Si un joueur a une seule carte en main, en pioche une nouvelle lors de son tour, et remet cette dernière sur le tas, il faut attendre qu'il l'ait posée pour pouvoir dire "contre Uno"
Si un joueur n'a plus qu'une seule carte en main, il doit annoncer de manière distincte « UNO ». Si ce n'est pas fait et qu'un des adversaires lance « CONTRE UNO », il devra piocher deux cartes en pénalité.
Contester un « +4 » / « Super Joker »
Le joueur contesté doit alors montrer son jeu : s'il est confondu (s'il dispose bel et bien d'une carte de la couleur précédemment demandée), alors il a enfreint l'interdit ci-dessus, et doit piocher les 4 cartes du « +4 » lui-même.
– Si un joueur oublie de dire UNO quand il n'a plus qu'une carte en main, et que ses adversaires le remarquent, il tirera 2 cartes dans la pioche ( pour réagir, ses adversaires doivent attendre que son avant-dernière carte ait touché le talon, de même ils doivent le faire avant que le joueur suivant n'ait jeté sa carte ...
D'après un tweet publié sur le compte officiel du jeu, « si quelqu'un pose une carte + 4, vous devez piocher quatre cartes et passer votre tour ». « Vous ne pouvez pas jouer une carte + 2 pour faire piocher à la personne suivante six cartes. Nous savons que vous avez déjà essayé », ajoute le compte Uno.
La carte « +2 »
Si cette carte est retournée en début de jeu, la même règle s'applique. Cette carte permet aussi de stopper les cartes +2/+4 en en remettant une pour que l'autre pioche plus de cartes. exemple: si un joueur met un +2 le second peut en mettre un autre et le 1er doit piocher 4 cartes.
Tu débutes la partie avec 7 cartes en main. Lorsque c'est ton tour, il faut que tu poses une carte portant le même chiffre ou la même couleur que celle qui est sur la table. Quand un joueur place son avant-dernière carte, il doit crier « UNO ! ». Le but du jeu : être le premier à ne plus avoir de cartes en main.
Malheureusement, il ne vous reste plus qu'une carte en main et vous vous rendez compte que c'est le « +4 » : dommage pour vous, vous ne pouvez pas terminer la partie avec cette carte.
Ce jeudi, le célèbre jeu de carte de Mattel a (encore) retourné Twitter avec une affirmation des plus clivantes : non, vous ne pouvez pas jouer un « +2 » sur un « +2 ». En fait, après un « +2 », il s'agirait donc de piocher deux cartes, puis de passer son tour.
"Lorsque l'on met un +2 sur la table, le joueur d'après prend deux cartes et passe son tour", explique Yannick. "Il ne peut jouer aucune carte... Même pas un plus deux. C'est une règle qui est irréversible."
Pour gagner au Uno, vous devez être le 1er à vous débarrasser de toutes vos cartes (à chaque manche afin de marquer des points). Les cartes que vos adversaires ont encore en mains vous rapportent plus de points. Les points se cumulent d'une manche à l'autre. Le premier joueur à obtenir 500 points est déclaré vainqueur.
Uno : non, vous ne pouvez pas ajouter un "+4" à un "+2" !
CONCERNANT LA PIOCHE :
Si le joueur ne possède pas de carte lui permettant de jouer, il pioche une carte : si cette carte peut être jouée, IL A LE DROIT DE LA POSER. Sinon, il passe son tour et la conserve dans son jeu. Le joueur peut choisir de ne pas jouer une carte, il pioche alors une carte.
Peut-on finir par une carte noire (+4, changement de couleur) ? Cette question aussi peut faire vriller une partie. Eh bien la réponse est... « Bien sûr que oui », assure Yannick.
Il a écrit : @realUNOgame : on peut gagner une partie avec la carte de changement de couleur +2/+4? » L'UNO a répondu : « Oui, vous pouvez terminer une partie avec une carte d'action. »
Si elle est la première carte retournée en début de partie, le premier joueur choisit donc une couleur. La carte « +4 » : Lorsqu'un joueur joue cette carte, le joueur suivant doit piocher 4 cartes et passer son tour. De plus, le joueur qui a posé cette carte peut choisir ou non de changer de couleur.
Si une carte blanche est retournée en début de jeu, le joueur à la gauche du donneur choisit la couleur de départ et joue la première carte. Carte blanche +4 - Le joueur qui pose cette carte peut choisir de changer la couleur ET oblige le joueur suivant à piger 4 cartes et à passer son tour.
Plus clairement, si un joueur place une carte « +2 », celui que joue après lui pioche deux cartes et passe son tour, sans pouvoir jouer. La même règle s'appliquerait aux cartes « +4 ».
1. Il est autorisé de couper le jeu avec la même carte, mais genre exactement la même. Par exemple ton ami Vincent place un 3 vert. Si tu détiens l'autre 3 vert, tu peux le placer, mais fais le avant que la personne suivante ait joué.
Le Uno est un jeu de hasard, mais il vous est possible de jouer parfaitement votre main afin d'augmenter vos chances de gain. Le principe étant d'utiliser les bonnes combinaisons de cartes au bon moment.
Comment gagner une partie de président :
Pour gagner au jeu du trou du cul, il vous suffit d'être le premier a n'avoir plus de cartes. Quand cela arrive, le jeu doit continuer jusqu'à ce qui ne reste plus qu'un joueur à posséder des cartes. Ainsi le nommage des joueurs peut commencer.
– Quand on a le même chiffre ou le même symbole que sur la table en une autre couleur, on peut l'y mettre. – Quand on a ni la couleur ni le chiffre correspondant, on peut mettre un +4. Si on la met alors qu'on avait une autre alternative et qu'un joueur s'en rend compte, le tricheur doit prendre 4 cartes.
Dans certaines variantes, on ne peut pas finir avec un joker, dans ce cas, on devient immédiatement le Balayeur. Dans une autre variante, un joker étant la carte la plus forte du jeu doit donc être remis au supérieur, car il est considéré comme une carte échangeable.
Le Vice-Trou du Cul donne au Vice-Président sa meilleure carte ; en retour, celui-ci lui donne une carte au choix ; Le trou du cul a l'avantage de pouvoir égaliser et ainsi ferme le jeu. Le joueur neutre, s'il y en a un, ne donne aucune carte et n'en reçoit pas.
Au Président, la hiérarchie des cartes est un peu particulière puisque la carte la plus forte est le 2. Suit ensuit l'As, le Roi, la Dame, le Valet, le 10 etc… Le 2 permet donc au joueur qui la possède d'avoir toujours le dernier mot lors d'une série.