La croissance verte vise le respect de la biodiversité, des ressources naturelles, mais aussi des conditions de travail. L'économie verte implique également de limiter les émissions de gaz à effet de serre en supprimant les énergies fossiles de notre consommation.
La croissance verte signifie promouvoir la croissance économique et le développement tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et services environnementaux dont dépend notre bien-être.
L'économie verte regroupe deux types d'activités : des activités classiques réalisées avec des procédés moins polluants ou moins consommateurs d'énergie, et les éco-activités, dont la finalité est la protection de l'environnement ou la gestion des ressources naturelles.
« Inventée » par l'économiste japonais Yoichi Kaya, l'équation du même nom propose d'établir un lien entre les émissions mondiales de CO2, l'énergie, la population et la croissance du PIB. Tautologique d'apparence, elle décompose assez simplement les émissions de CO2 en une série de facteurs.
A des stades plus avancés de développement, l'économie verte vise également à garantir que les gains d'efficacité réalisés par l'économie ne sont pas réduits à néant par des niveaux trop importants de consommation et de production (le principe de suffisance2).
Le Projets vert de Gérald-Godin est un outil permettant de soutenir financièrement la mise en œuvre d'activités et de projets qui, dans une optique de développement durable, ont pour but de modifier les pratiques et de changer les comportements individuels et collectifs.
Les outils de la finance verte
le marché au carbone visant à allouer des « droits à polluer » pouvant être échangés sur un marché. le bonus-malus écologique (écopastille) a pour objectif d'augmenter le cout d'achat des voitures polluantes et alléger celui des voitures peu polluantes pour inciter l'achat.
Elle est aujourd'hui calculée à partir de l'évolution du produit intérieur brut (PIB). Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
Les leviers de la croissance sont la quantité de travail, la quantité de capital et le progrès technique mis en œuvre dans un pays donné. La croissance est un phénomène relativement récent. Elle prend naissance avec l'apparition de la révolution agricole des 16ème et 17ème siècles, en Angleterre et aux Pays-Bas.
Elle se traduit par des engagements et des actions concrètes visant à réduire l'impact environnemental de nos activités dans différents domaines : mobilité durable, économie d'énergie, tri des déchets, achats responsables, végétalisation des espaces, économie circulaire.
Mais surtout, le principal inconvénient réside dans le fait que ces centrales sont presque toujours installées sur des espaces naturels parfois déboisés ou des terres agricoles, contribuant ainsi à étendre un peu plus les superficies artificialisées.
Economie verte, qu'est ce que c'est ? Selon le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), l'économie verte est une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l'équité sociale, tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources.
Les entreprises vertes économisent les res- sources limitées, aident à garder les écosys- tèmes sains, minimisent la pollution et les déchets, limitent les émissions de gaz à effet de serre, et fournissent des biens et des ser- vices écologiques pour permettre des modes de consommation plus responsables, elles sont ...
C'est tout à fait possible : la croissance verte permet de mettre en place un développement économique soutenable sur du long terme tout en restant dans une démarche de développement durable. Quelles actions mettre en place pour une croissance verte ?
On peut penser à la captation du carbone et l'hydrogène vert, par exemple. Les sources d'énergie propre comme l'éolien, le solaire, et les voitures électriques sont aussi des innovations qui permettent de lutter contre le réchauffement climatique en participant à la transition énergétique.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Selon l'approche de Solow, le développement économique s'explique par trois facteurs : l'augmentation des deux principaux facteurs de production (travail et capital), et le troisième le progrès technologique, générateur de gains de productivité.
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
La croissance permet de réduire la pauvreté et le chômage. La croissance permet d'une part, de réduire le chômage, ainsi que les autres formes d'exclusion. En effet la croissance économique est créatrice d'emploi puisqu'elle nécessite une main d'œuvre.
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
La taxonomie européenne désigne la classification des activités économiques ayant un impact favorable sur l'environnement . Son objectif est d'orienter les investissements vers les activités « vertes ».
Ces aides au financement pour une croissance verte, parmi lesquelles on trouve notamment le dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE), le prêt Éco-Énergie (PEE), et les aides spécifiques de l'Ademe, sont toutes consultables sur la page dédiée par le site du ministère de l'Économie.
Annoncé le 27 août dernier par la première ministre Elisabeth Borne, il est doté de 2 milliards d'euros de crédits déconcentrés aux préfets pour le financement des projets présentés par les collectivités territoriales et leurs partenaires publics ou privés. Il sera effectif dès le début de l'année 2023.