Les déchets les plus retrouvés dans le milieu naturel sont les mégots de cigarette, dont les filtres contiennent des fibres de plastiques, les bouteilles en plastiques, les bouchons de bouteilles, les sacs plastiques et les pailles. Les fleuves transportent cette matière plastique vers les fonds marins.
Mais qui sont les plus gros pourvoyeurs de déchets plastiques ? Avec une population nombreuse (102 millions d'habitants) vivant majoritairement au bord de l'eau et un taux de déchets mal gérés qui atteint 95 %, l'Égypte contribue massivement à cette pollution (environ 75.000 tonnes par, soit près d'un tiers du total).
Les déchets marins peuvent provoquer des dommages physiques par contact physique ou par ingestion chez les organismes marins. L'ingestion de micro plastiques chez les poissons provoque un stress physiologique, différents cancers et des problèmes de fertilité et de reproduction.
La Méditerranée détient le record peu glorieux de "mer la plus polluée du monde". Cette petite mer quasi fermée, très fréquentée, concentre 250 milliards (de particules) microplastiques invisibles !
Arrêter le plastique à usage unique. Sacs plastiques, cotons tiges, pailles, bouteilles d'eau en plastique, sont ultra polluants car non biodégradables. Remplacez-les par des alternatives durables (sacs en tissus, des pailles en inox, des cotons tiges réutilisables) et dites non au tout jetable. Nettoyer les plages.
Le réchauffement de la température des eaux, l'acidification du milieu, la désoxygénation, et l'élévation du niveau de la mer, combinés aux impacts de la surpêche, de la pollution, et de la destruction des habitats, aboutissent à une érosion de la biodiversité marine, menacée avant même d'être même totalement ...
La cause majeure de la contamination chronique des océans par les hydrocarbures est donc le « déballastage » des pétroliers. Ces derniers nettoient en effet leurs soutes avec de l'eau de mer après déchargement. Quelque 20 p.
La plus répandue est provoquée par l´émission de particules fines (dioxyde de carbone, soufre...) à la suite de l'utilisation de carburants de très mauvaise qualité, tandis que la plus médiatisée apparaît lors des marées noires et autres dégazages effectués par certains navires.
La Méditerranée, mer la plus polluée du monde.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
Ces sédiments – sable, argile, restes de coquillages et d'organismes morts, mais aussi algues et bactéries – atterrissent dans l'eau salée par le biais des organismes sous-marins et de l'érosion des fonds et des falaises, mais aussi via les fleuves qui se jettent dans la mer du Nord, comme l'Escaut et la Meuse.
Là où les choses se corsent, c'est en ce qui concerne les ferries, qui émettent 267 grammes équivalent CO2 par kilomètre, contre 209 grammes pour un avion long-courrier.
En cause : le kérosène, un mélange d'hydrocarbures issu du raffinage du pétrole, servant à alimenter les turboréacteurs et les turbopropulseurs des avions. En fonction des différentes phases d'un vol, l'avion va brûler plus ou moins de kérosène.
La voiture est lui, le moyen de transport le plus polluant. Pour une distance de 2 kilomètres, la voiture émet 221 kg de dioxyde de carbone par an. Elle est suivie par le bus et la moto. Le tramway émet 2,66 de dioxyde de carbone, le métro 3,6 et RER 3,35.
Nommée «Jenny», elle consiste, pour résumer, en deux navires traînant un grand filet à vitesse lente à la surface de l'océan, dans lequel viennent s'échouer nos indésirables poubelles, qu'il suffit ensuite de refermer et d'envoyer au recyclage.
Ils nous permettent de respirer
Les océans sont également de véritables « pompes à carbone » : ils absorbent environ 30 % des émissions mondiales de CO2, ce qui les rend indispensables à la lutte contre les changements climatiques.
Les modèles. Navigatrice star, Maud Fontenoy a créé en 2008 sa fondation, qui s'engage pour préserver les océans en France et à l'international.
« Les dépôts naturels constitutifs de la laisse de mer (algues, cailloux, coquillages, bois flottés etc.) ne doivent pas être ramassés. Ils font partie intégrante du système littoral et participent à la lutte contre l'érosion, à la reproduction d'un certain nombre d'espèces et à leur nutrition.
Essayez d'adopter une conduite économique et vérifiez le moteur du bateau régulièrement. Attention au carburant quand vous faites le plein et à l'huile, qui sont très toxiques pour l'environnement marin. Nettoyez votre bateau avec des produits doux, qui respectent l'environnement.
20% des déchets plastiques des océans sont générés par la flotte maritime. Les 80% restants proviennent d'activité terrestre. La grande majorité des déchets plastiques sont des emballages, soit 146 millions de tonnes. Les pays riches sont à l'origine de près de 40% de ces déchets.
Ce sont des déchets de nature et de taille très diverses : mégots, sacs plastiques, cotons-tiges, emballages plastiques, granulés de plastique (matière première de l'industrie plasturgique), filets et équipements de pêche, etc.
Dans certains pays, les déchets plastique mis à la poubelle sont stockés dans des décharges à ciel ouvert. Et ces déchets s'envolent ! Ils atterrissent dans des rivières, qui les emportent jusque dans les océans. Dans une moindre mesure, la pollution plastique des océans est aussi causée par la pêche.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).