repu adj. Qui a satisfait sa faim.
(Sens figuré) (Familier) Être insatisfait, déçu dans ce qu'on attendait ou espérait.
Et l'expression « rester sur sa faim », elle veut tout simplement dire « être déçu, être insatisfait » ; vous attendiez quelque chose, vous aviez une grande attente sur quelque chose et vous n'obtenez pas ce que vous espériez.
Mauvaise alimentation, manque de sommeil, médicaments, maladies, règles... Plusieurs raisons peuvent expliquer cette faim permanente et insatiable.
Les aliments riches en protéines, tels que la viande maigre, le poisson, les œufs, le tofu et les produits laitiers faibles en gras, peuvent aider à supprimer la faim et à maintenir la sensation de satiété plus longtemps après les repas.
Les lentilles, de la famille des légumineuses (fèves, haricots rouges, pois chiches, etc.), sont d'excellents coupe-faim naturels au fort pouvoir rassasiant. Elles fournissent de l'énergie, sont très peu caloriques (environ 160 calories/100 g) et elle favorise une bonne digestion grâce à leur richesse en fibres.
En mangeant de la nourriture, l'étirement des cellules inhibe la libération de l'hormone, vous donnant un sentiment de satiété. Boire de grandes quantités d'eau juste avant un repas agit d'une manière similaire. L'eau occupe de l'espace dans l'estomac, étirant ainsi ces cellules de ghréline.
Soutenu : mon appétit est aiguisé Courant : j'ai faim. Familier : il se fait faim. Argotique ou populaire : j'ai la dalle.
avoir le ventre creux, avoir l'estomac vide, avoir un creux (à l'estomac), crier famine, mourir d'inanition, tomber d'inanition. – Familier : avoir la fringale, avoir les crocs, avoir l'estomac dans les talons, claquer du bec, danser devant le buffet, n'avoir rien à se mettre sous la dent.
Le manque d'appétit, aussi appelé hyporexie se caractérise par une perte de la sensation de faim. Ce phénomène peut avoir de nombreuses causes psychiques ou pathologiques. Ce trouble peut entraîner un amaigrissement et un affaiblissement du corps et doit donc être pris au sérieux.
Si la perte d'appétit ne survient que de manière épisodique (le temps d'une grippe ou après une indigestion, par exemple), inutile de s'inquiéter. En revanche, si la sensation de faim disparaît de manière permanente et continue, il est recommandé de consulter rapidement son médecin.
D'après une nouvelle étude, publiée dans "the Journal of the Association for Consumer Research", manger quand nous n'avons pas faim serait moins bon pour la santé qu'avec un bon appétit.
Lors de dépression, l'appétit est souvent perturbé.
On constate une diminution ou au contraire une augmentation de l'appétit. Les personnes dépressives peuvent se réfugier dans la nourriture (le plus souvent sucrée) pour se créer un refuge. Le plaisir de manger peut aussi les abandonner.
La sensation de satiété est un signal envoyé par notre corps pour nous indiquer que nous avons suffisamment mangé. Il s'agit d'un état physiologique de "non-faim" qui survient quand est complètement rassasié(e) et implique donc la disparition complète de la sensation de faim.
L'aliment le plus nourrissant mais aussi le moins cher est la pomme de terre ! Facile à cuisiner et à intégrer dans vos plats, elle saura vous tenir au ventre toute la journée grâce à son haut taux d'amidon. Elle est également riche en potassium ainsi qu'en fibres.
Les lentilles, de la famille des légumineuses (fèves, haricots rouges, pois chiches, etc.), sont d'excellents coupe-faim naturels au fort pouvoir rassasiant. Elles fournissent de l'énergie, sont très peu caloriques (environ 160 calories/100 g) et elle favorise une bonne digestion grâce à leur richesse en fibres.
Outre la régulation de l'humeur, du niveau de stress ou du sommeil, les hormones sont aussi responsables de la sensation de faim. Deux hormones sont en cause dans la régulation de l'appétit : la ghréline, qui déclenche la sensation de faim, et la leptine, censée indiquer au cerveau que nous avons suffisamment mangé.
Au niveau comportemental, les études font état, dans la dépression, d'une diminution de la reconnaissance des expressions faciales positives ainsi que d'une augmentation de la reconnaissance des expressions négatives, notamment la tristesse.
Conséquence : les personnes dépressives perdent du poids. C'est d'ailleurs un signe important pour établir le diagnostic de dépression. À l'inverse, certaines personnes dépressives peuvent parfois avoir un appétit plus important.
Si vous renoncez au souper, mais consommez plus de calories lors des autres repas que vous n'en brûlez, vous ne maigrirez pas. Reste qu'en sautant un repas complet, vous avez quand même plus de chances de consommer moins de calories. En fait, cela vaut surtout pour les grignoteurs∙teuses (comme moi).
Cependant, il est à présent avéré que le fait de sauter un ou des repas conduit généralement à absorber plus de calories à la fois, ce qui peut entraîner des déséquilibres dans la manière dont notre corps régule le glucose et ainsi mener à une détérioration du système métabolique.
Sauter un repas sans raison particulière n'est pas une bonne chose, car le corps, qui n'est pas rassasié, va avoir tendance à stocker durant la nuit, de peur qu'on ne lui redonne pas ce dont il a besoin. Et oui, lorsque l'on empêche son corps de recevoir le carburant dont il a besoin, il prend des réserves !
Les infections virales et bactériennes, y compris les maladies comme la gastro-entérite aigue, la grippe et les infections urinaires, sont une cause fréquente de perte d'appétit.