Prométhée, c'est ce titan de la mythologie grecque auquel sont associées deux images : le voleur de feu, et l'être souffrant cloué au rocher, et torturé par le vautour qui vient lui dévorer un foie qui renaît chaque jour.
Pour avoir défié Zeus et son ordre, Prométhée est enchainé à un rocher ou à une montagne (en fonction des versions) avec des chaines forgées par Héphaistos. Pour le punir de son affection pour les humains à la durée de vie limitée, son foie est dévoré chaque jour par un aigle.
Châtié par Zeus pour avoir dérobé le feu aux dieux et en avoir fait cadeau aux humains, Prométhée a été condamné à se faire éternellement dévorer le foie par un aigle. Enchaîné au sommet du mont Caucase, il ne sera délivré qu'après de longues années par Héraclès.
Afin que Zeus le délivre de ses chaînes, Prométhée lui livre son secret : d'une union avec Thétis la Néréide naîtra un fils plus puissant que son père, qui serait donc susceptible de renverser Zeus si celui-ci en était le père.
Prométhée décide de voler le feu sacré à Zeus pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce. La vengeance de Zeus sera terrible. Prométhée sera condamné à être enchaîné à un rocher et de se voir dévorer chaque jour le foie par un aigle.
Les Olympiens ne pouvaient toujours pas régner paisiblement, car Gaia engagea les terribles et sauvages géants pour combattre Zeus dans ce qui fut appelé la Gigantomachie.
Mais cédant à la curiosité, Pandore ouvre la boîte, libérant ainsi tous les maux, les malheurs, qui étaient contenus. Elle n'eut que le temps de retenir « l'espérance ».
Littéraire. Outrance dans le comportement inspirée par l'orgueil ; démesure : Journalistes se défiant de l'hubris. 2. Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
vers 468 avant J. -C.
Prométhée, métaphore de la connaissance offerte au hommes
Le mythe de Prométhée a deux niveaux de lecture majeures : il représente la connaissance offerte à l'homme, le don unique qui lui est fait par rapport aux êtres vivants à travers la rébellion d'un messager qui s'oppose aux dieux.
L'heureux Tantale, fils de Jupiter (je n'insulte point à son infortune), tremblant à la vue du rocher prêt à tomber sur sa tête, demeure suspendu dans les airs : supplice qu'il subit, dit-on, parce que, simple mortel admis à la table des dieux, il ne sut point mettre un frein à sa langue : indigne faiblesse !
- L'histoire : Dans la pièce, l'histoire commence dans le pays lointain de Scythie (= juste après le monde connu) Prométhée y est enchaîné parce que Zeus l'a puni pour avoir été le bienfaiteur des hommes et donc avoir transgressé les limites qui devaient être celles des hommes.
1. Personne qui dépasse les proportions en taille et en force habituelles chez l'homme. 2. Synonyme de grue-marteau.
Le mythe d'Œdipe est une notion utilisée par Sigmund Freud, père de la psychanalyse, pour théoriser le désir inconscient d'un enfant à avoir un rapport sexuel avec son père ou sa mère et à éliminer le rival du même sexe (notions d'inceste et de parricide).
Charon est le passeur des Enfers : il a pour fonction de faire traverser l'Achéron (ou le Styx selon certaines légendes) aux âmes de tous ceux qui doivent entrer dans le royaume des morts, ce qui lui vaut d'être souvent désigné par les termes « nautonier » ou « nocher ».
Pour un méfait dont la nature nous est inconnue, Poseidon et Apollon ont été obligés par Zeus de servir un mortel comme ouvriers pendant un an. Les deux dieux entrent ainsi au service du roi de Troie, Laomédon, le père de Priam.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
D'Éros à Cupidon
Dans la mythologie romaine, Cupidon (du latin cupido signifiant « désir », « passion ») est le fils adultérin de Vénus et de Mars. Dieu de l'amour, il est assimilé à Éros.
Hybris ou Hubris
Je comprends l'importance de garder l'origine grecque du mot dans son orthographe, mais malheureusement, la prononciation en est bien "ubris", donc c'est un non-sens de l'écrire "hybris" et d'espérer ainsi que la prononciation en revienne à une prononciation du style "hypermarché".
1. Sentiment exagéré de sa propre valeur, estime excessive de soi-même, qui porte à se mettre au-dessus des autres : Être bouffi d'orgueil. 2. Sentiment de dignité, fierté légitime, amour-propre : Cacher sa misère par orgueil.
Dans la Grèce antique, l'hybris était considérée comme un crime. Elle recouvrait des violations comme les voies de fait, les agressions sexuelles et le vol de propriété publique ou sacrée. Dans la mythologie grecque, Hybris est une divinité allégorique personnifiant l'hybris.
Pandore, tenant dans ses mains un grand vase, en souleva le couvercle, et les maux terribles qu'il renfermait se répandirent au loin. L'Espérance seule resta. Arrêtée sur les bords du vase, elle ne s'envola point, Pandore ayant remis le couvercle, par l'ordre de Zeus qui porte l'égide et rassemble les nuages.
Avant d'envoyer Pandore sur Terre, les dieux lui avaient remis une boîte, sans lui dire ce qu'elle contenait, et ils lui ordonnèrent de ne jamais l'ouvrir. Aux côtés de son époux, Pandore jouissait de la vie et savourait son bonheur.
Elle a été créée pour punir l'humanité après que Prométhée eut volé le feu pour un usage destiné aux humains. Pandora possédait une boîte, connue aujourd'hui sous le nom de boîte de Pandore, qui contenait tous les maux du monde. On lui a dit de ne jamais ouvrir la boîte.