Tous les acteurs de l'entité sont impliqués dans le système de contrôle interne : les organes de surveillance (ministre et cabinet, comités exécutifs, de direction, des risques, d'audit…), les organes exécutifs (la direction générale, les directeurs et tous les agents).
Le contrôle interne est un processus mis en œuvre par le conseil, le management et les collaborateurs d'une entité, destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation d'objectifs liés aux opérations, au reporting et à la conformité.
Les acteurs de l'audit interne sont le commanditaire (maire, président, directeur général des services), l'auditeur (service dédié ou inspection générale) et l'audité (administration).
Le contrôleur de gestion sert un client interne, le manager. Les interactions entre ces deux acteurs conditionnent le résultat du processus final. Une catégorie d'acteurs souvent oubliés sont les contrôlés, ceux qui vivent, voire subissent, le processus de contrôle de gestion.
Il comporte trois objectifs principaux : Protéger et sauvegarder le patrimoine de l'entreprise et assurer la qualité des informations. Veiller à la conformité de l'entreprise par rapport à la législation. Contrôler la bonne application des instructions de la direction.
Le contrôle interne est un processus interne à l'entreprise et continu, mis en place au sein de toutes les activités d'une entreprise. Il ne s'agit pas d'un service ou d'une activité à part entière. L'audit interne en revanche est une activité qui a lieu à postériori et de façon ponctuelle.
Par exemple, le contrôle interne utilise peu les chiffres comptables de l'entreprise, alors que le contrôle de gestion, lui, est en lien étroit avec la comptabilité et manie les chiffres quotidiennement.
Le reporting est présenté par le responsable d'une entreprise ou d'une fonction à des personnes physiques ou morales concernées par les activités et les résultats. La communication de données peut, dans certains cas, être imposée par un groupement d'associés, de clients ou de fournisseurs.
auditeur, auditrice
Personne qui écoute un discours, un cours, une émission radiophonique, un concert. 2. Synonyme de audit.
Le contrôle interne peut être défini comme l'ensemble des processus de sécurité mis en place par une entreprise pour atteindre ses objectifs, assurer sa conformité aux lois et règlements et limiter les risques de fraude.
L'auditeur ou l'auditrice externe examine les comptes et la gestion de l'entreprise. Il ou elle analyse tous les documents mis à sa disposition. Il ou elle s'entretient en profondeur avec les dirigeants auxquels il rend compte de son diagnostic et de ses recommandations.
La dernière réglementation qui régit le contrôle interne bancaire est l'arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne des entreprises du secteur de la banque, des services de paiement et des services d'investissement soumises au contrôle de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).
Le métier d'auditeur consiste à étudier et analyser, à la demande de l'entreprise, le fonctionnement d'un ou plusieurs de ses services afin d'identifier des problèmes d'organisation ou d'optimiser ses méthodes de travail.
Les limites du contrôle interne Comme tout système de contrôle, le contrôle interne ne peut fournir une garantie absolue que les objectifs de la société soient atteints, mais donne une assurance raison- nable quant à leur réalisation.
Un risque de contrôle est un risque lié à un dysfonctionnement du dispositif de contrôle interne (risque qu'une erreur significative ne soit ni détectée, ni corrigée en temps voulu par le dispositif de contrôle interne) : soit que sa conception est inopérante, soit que sa mise en œuvre est lacunaire.
Elle s'appuie sur les trois leviers du contrôle interne : - la définition et l'organisation des tâches, des acteurs et des contrôles ; - la documentation des procédures ; - la traçabilité des opérations.
A.
Le contrôle est effectué par les inspecteurs de la récupération. Dans le cas des contrôles de pièces, l'affectation est confiée à un contrôleur de collecte. Ils sont assermentés et disposent d'une carte d'identité professionnelle, que l'employeur peut demander la production avant tout contrôle.
la mise en place de la procédure de gestion et des règles opératoires. le suivi des résultats. le choix des indicateurs clés des tableaux de bord. la production et la diffusion des outils de pilotage.
Le tableau de bord est un outil de pilotage d'une entreprise constitué de plusieurs indicateurs de performance et qui a pour principales vocations d'anticiper les évolutions prévisibles et d'inciter le chef d'entreprise à prendre des décisions.
Le COSO est un référentiel de contrôle interne visant à limiter les tentatives de fraudes dans les rapports financiers des entreprises. Il a été défini par le Committee of Sponsoring Organisation of the Tread way Commission en 1992. Toutefois, ce n'est qu'à partir de 2002 que le modèle COSO a véritablement émergé.
L'audit interne est ouvert aux jeunes diplômés de niveau bac + 5.