La peur d'être rejeté, abandonné (en lien avec votre placement) ou encore la reconnaissance de l'autre alimentent sans doute votre faible estime de vous.
Depuis la nuit des temps, la première réaction à un événement qui nous fait peur est la fuite. Ca marche bien. Notre peur diminue quand notre tête nous dit que nous sommes en sécurité. Lorsqu'on a moins peur, on arrête de fuir.
La fuite en avant peut également conduire à agir par anticipation. Autrement dit, à "prendre les devants" pour éviter la situation angoissante. Exemple classique : systématiquement rompre la première, par peur d'être abandonnée par son conjoint.
Il faut en effet apprendre à ne pas pleurer, à ne pas s'inquiéter, à penser de manière positive, à surveiller son poids, etc. Ce martelage idéologique, basé sur l'idée qu'on peut contrôler et modifier ses émotions, on ne peut y échapper.
L'indécision est l'incapacité de faire un choix. La peur de devoir choisir, d'assumer ses responsabilités, de déplaire ou d'entrée en conflit, peut mener l'indécis à se reporter sur les autres pour choisir à sa place.
Manque de confiance et quête de valorisation
Il est donc finalement assez logique que les "victimes" ne supportent pas les reproches. "Elles remettent toujours en question les critiques qu'on peut leur faire. Elles sont en quête de valorisation", témoigne le coach émotionnel.
Irresponsabilité personnelle. L'irresponsabilité personnelle est liée à l'immaturité émotionnelle et au manque de compétences sociales. Ainsi, les personnes qui n'admettent pas leurs erreurs sont également celles qui présentent de graves carences.
L'évitement comportemental est une conduite, parfois non intentionnelle, permettant à une personne de se soustraire à une détresse ou une douleur. Il s'agit d'une réaction de fuite permettant de soulager rapidement et temporairement un état ou une situation désagréable.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
Le trouble de la personnalité évitante est caractérisé par l'évitement des situations ou interactions sociales qui comportent des risques de rejet, de critique ou d'humiliation. Le diagnostic repose sur les critères cliniques. Le traitement consiste en une psychothérapie, des anxiolytiques et des antidépresseurs.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux. S'il peut s'agir d'une angoisse à l'idée d'aimer de manière globale, ce trouble anxieux est le plus souvent lié à une peur de l'engagement et des sentiments amoureux.
Des blessures mal guéries ou d'anciennes expériences négatives peuvent faire que nous n'ayons pas confiance d'ouvrir notre cœur à une nouvelle personne. Et par la suite, nous pouvons aussi nous éloigner de l'intimité car elle suscite des sentiments de douleur, de perte, de colère ou de rejet.
Respire calmement, détends tes épaules et liste toutes les choses que tu veux voir disparaitre de ton quotidien. Pour le moment, ne te pose pas la question de comment faire, juste note ce qui te vient en tête. Tu verras que déjà tu ressentiras une plus grande légèreté.
Souvent, si on n'arrive pas à avancer dans la vie, c'est tout simplement parce qu'un élément appartenant à notre passé est suffisamment fort pour entraver notre développement personnel. C'est une erreur que de penser que le passé reste derrière nous, et qu'il ne compte plus.
La personne qui dit vouloir changer de vie exprime, le plus souvent, sa volonté de changer quelque chose qui, pense-t-elle, changera tout le reste. Le lieu où elle construira son nouveau territoire; l'activité qui lui permettra de structurer son temps différemment.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Les personnes souffrant de stress ou d'anxiété chronique sont plus à risque pour des problèmes cardiovasculaires à cause de leur rythme cardiaque constamment élevé, de leur hypertension artérielle et de leur surexposition au cortisol.
Lorsque l'anxiété devient grave, donc pathologique, elle altère, voire, paralyse complètement le fonctionnement de la personne dans la plupart des domaines de son existence. Une personne souffrant d'anxiété sévère vit des difficultés considérables, tant au travail, que dans sa vie familiale, sexuelle ou sociale.
Il est caractérisé par une rigidité dans les façons d'être, de percevoir et d'agir de la personne. Ses traits de caractère sont en effet très marqués, inflexibles et souvent inadaptés aux situations. Le trouble de la personnalité nuit grandement au fonctionnement normal de la personne.
Expliquez-lui que ce comportement a des conséquences
Le comportement évitant et le « aujourd'hui, j'ai besoin de toi et demain je m'éloigne » n'est pas licite dans une relation. Il est important que l'autre personne soit consciente que son comportement crée des vides.
« Sachons éviter les offenses, puisque nous ne savons pas les supporter. » que soient les circonstances, les situations ou les gens qui entrent en contact avec cette personne, sa manière de réagir la porte à cacher ses capacités, ses faiblesses et ses émotions sous une attitude de repli, voire d'évasion.
Cela s'explique par le fait que notre esprit cherche en permanence à déformer la réalité à sa faveur et à se détacher des problèmes. Généralement, ce phénomène émane d'un sentiment inconscient d'insécurité. Accuser l'autre est beaucoup plus facile que de se remettre en question.
Décidez de ce que vous allez dire.
N'oubliez pas les choses suivantes. Soyez prêt à prendre la responsabilité pour ce que vous avez fait. Il vaudrait mieux que vous réfléchissiez à ce que vous avez fait de mal pour pouvoir l'accepter. Cela permet de montrer vos remords pendant tout le reste de la discussion.
Celui qui ne se remet pas en question peut avoir peur de reconnaitre sa propre responsabilité dans un évènement, et le sentiment de culpabilité qui en suit peut du coup l'amener àfuir certaines réalités. Il peut alors à l'extrême adopter un comportement de « victime » et rejeter systématiquement la faute sur l'Autre.