Nombreux furent les « ennemis du peuple » ayant reçu cette appellation non pas à cause d'actes hostiles contre les travailleurs et les paysans mais simplement en raison de leur origine sociale ou de leur profession avant la révolution : ce fut le cas du clergé, d'anciens policiers et des commerçants.
On estime qu'environ 500 000 personnes furent emprisonnées et plusieurs dizaines de milliers furent exécutées par guillotine, fusillades ou noyades.
Louis XVI annonce aux députés de l'Assemblée nationale législative qu'il a déclaré la guerre au roi de Bohême et de Hongrie ( 20 avril 1792 ).
Staline va s'employer à écarter du pouvoir Léon Trotski, son principal rival, accusé de « révisionnisme antibolchévik ».
La Gironde (ses membres étant appelés « les girondins ») est un groupe politique siégeant à l'Assemblée législative puis à la Convention nationale, pendant la Révolution française. Les chefs de file principaux en sont Jacques Pierre Brissot et Jean-Marie Roland de La Platière.
La Montagne (ses membres étant appelés « les montagnards ») était un groupe politique de la Révolution française, à la Convention nationale, composé des révolutionnaires les plus radicaux et opposés aux girondins.
Les journées du 31 mai et du 2 juin 1793 entraînent l'exclusion et l'arrestation des députés girondins de la Convention nationale, sous la pression de la Commune de Paris et de la Garde nationale commandée par François Hanriot.
La plupart des dirigeants communistes historiques et de très nombreux officiers généraux et supérieurs de l'Armée rouge sont les premières victimes de la politique stalinienne. Cependant, la répression ne frappe pas seulement la vieille garde révolutionnaire, mais s'étend à toute la société.
La majorité des victimes étaient d'origine polonaise, certaines appartenant à divers groupes minoritaires de la région du Kresy, par exemple les Ruthènes ; ces groupes dans la vision du monde soviétique avaient un élément de la culture ou de l'héritage polonais, et étaient donc aussi « polonais ».
Elle est entrée dans les services du Kremlin à l'hiver 1937, au plus fort des purges staliniennes, mais elle affirme n'avoir jamais craint le dictateur. C'était un homme tout petit et très gentil, explique-t-elle. Il avait un regard très doux et ses yeux étaient souvent plein de larmes.
Incontestablement l'Allemagne. Depuis que l'empire de Charlemagne s'est séparé il y a plus de 1100 ans, les deux partis se font la guerre. Je pense qu'on pourrait presque résumer l'histoire militaire de l'Europe aux guerres entre la France et le monde germanique.
Après la chute de la royauté le 10 août 1792, les frontières de la France sont menacées par les troupes austro-prussiennes et les défaites successives exposent le territoire à une invasion ennemie, entretenant ainsi un très fort climat de peur et ce malgré la levée de 30 000 hommes.
La Première Coalition est une alliance formée au début de 1793 par plusieurs États européens contre la France, devenue une République en septembre 1792 et qui a exécuté Louis XVI le 21 janvier 1793 . Cette coalition prolonge l'alliance entre l'Autriche et la Prusse, en guerre contre la France depuis avril 1792 .
Parmi les principaux penseurs dits « contre-révolutionnaires », on peut citer Joseph de Maistre en Savoie, Louis de Bonald, Augustin Barruel, Antoine Blanc de Saint-Bonnet et Pierre-Paul Royer-Collard en France, Edmund Burke en Angleterre, Gioacchino Ventura en Italie, et Juan Donoso Cortés en Espagne.
Face à Robespierre se forme alors une vaste coalition menée par Billaud, Collot, Vadier, Amar et Lecointre, rejoints par quelques hébertistes et dantonistes.
Nombreux furent les « ennemis du peuple » ayant reçu cette appellation non pas à cause d'actes hostiles contre les travailleurs et les paysans mais simplement en raison de leur origine sociale ou de leur profession avant la révolution : ce fut le cas du clergé, d'anciens policiers et des commerçants.
Pour les Soviétiques, l'expression « Iejovschina » - le « temps de Iejov » - renvoyait aux heures les plus sombres et les plus terribles de la répression : 1937-1938, celles où la police politique, le NKVD, était dirigée par Nikolaï Iejov, l'homme le plus craint de toute l'Union soviétique.
Progressivement le régime de la terreur s'institutionnalise, et vise l'ensemble de la société. Staline s'appuie sur la soumission : o D'une police d'Etat (d'abord GPU puis NKVD en 1934). La police politique est un instrument absolu de surveillance du parti comme de la société.
L'égérie des Girondins
Manon Roland décide d'accueillir dans son salon de nombreux hommes politiques influents, dont Brissot, Pétion, Robespierre et d'autres élites du mouvement populaire dont notamment Buzot. Grâce à ses relations au sein de la Gironde, son mari devient ministre de l'Intérieur le 23 mars 1792 .
Le club s'entraîne depuis le début des années 1980 au Centre international d'entraînement du FC Girondins de Bordeaux, sur la commune du Haillan dans la banlieue de Bordeaux où se situe également son siège.
Plus tard, et aujourd'hui encore, le jacobinisme est associé à une conception centralisatrice de la République française, faisant de Paris le lieu essentiel d'exercice du pouvoir, à la différence de ce qui existe dans les pays fédéralistes ou qui du moins ont fait de fortes dévolutions de pouvoir aux entités régionales ...
Dans QUI VEUT LA REVOLUTION ?, Daniel Chirot examine un large éventail de révolutions de gauche et de droite à travers le monde, de la fin du XVIIIe siècle à aujourd'hui, pour apporter de nouvelles réponses importantes à ces questions cruciales.
Résumé - Commencée avec l'ouverture des états généraux (mai 1789), la Révolution française a provoqué le renversement de la monarchie et de l'ordre social de l'Ancien Régime reposant sur trois classes distinctes dont les droits devant la loi et devant l'impôt étaient inégaux.