À la fin de juillet 1940, les F.F.L. comptaient sept mille hommes environ. Parmi les premières personnalités ralliées à de Gaulle figuraient l'amiral Muselier, les généraux Catroux et Legentilhomme, des officiers tels que Kœnig, de Hautecloque (Leclerc), Dewavrin (Passy), Magrin-Verneret (Monclar).
Nous parlons des FFL et de leurs rôles pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de l'été 1940 , le 1er Juillet, le Général de Gaulle forme les Forces Françaises Libres. Elles regroupent d'abord des unités rapatriées de Dunkerque, de Narvik et de l'armée du Levant.
Le 28 juin 1940, le Premier ministre Winston Churchill reconnaît officiellement De Gaulle comme « chef de tous les Français libres ». A l'été 1940, la France n'est constituée que de quelques milliers d'hommes et de femmes qui se mettent au service de l'Homme du 18 Juin et défilent à Londres le 14 juillet 1940.
L'organisation militaire de la France libre
On distinguait à l'intérieur des FFL, les Forces aériennes françaises libres (FAFL) et les Forces navales françaises libres (FNFL).
La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943 , puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944 , marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.
Contextualisation. Brazzaville devient la capitale de la France libre le 28 août 1940, après les « Trois Glorieuses », journées où les forces de la France libre mettent la main sur les gouvernements de l'Afrique Équatoriale française (AEF).
Soutenu par Winston Churchill, le général de Gaulle crée la France libre en juillet 1940 en Angleterre. Son but est de poursuivre la guerre, libérer la France et lui rendre son rang.
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
Forces françaises de l'intérieur (FFI) : Le 1er juin 1944 le CFLN (voir définition) regroupe les diverses formations militaires de la Résistance (Armée Secrète, groupes francs, Francs-Tireurs et Partisans, etc.) en créant les Forces françaises de l'Intérieur.
Composition des Forces Françaises Libres
Formées à l'été 1940, les forces militaires terrestres de la France Libre regroupent alors près de 3 000 hommes : ce sont des soldats rapatriés de Norvège ou déjà présents au Royaume-Uni et des volontaires venus rejoindre l'Homme du 18 Juin.
Ce diagramme permet de préciser le terme de Français libres, défini par une instruction ministérielle de 1953 : il s'agit d'hommes et de femmes volontaires ayant combattu sous les ordres du général de Gaulle, et ce, entre le 18 juin 1940 et le 31 juillet 1943.
La collaboration est aussi militaire. La France fournit 40 000 à 60 000 soldats volontaires de 1943 à 1944 à l'armée allemande pour combattre sur le front russe. La Milice, organisation paramilitaire, collabore avec l'armée allemande pour arrêter des résistants. La France participe à l'effort de guerre allemand.
Elle a pour but de participer aux combats de libération du territoire français et de permettre à la France de figurer parmi les vainqueurs à la fin de la guerre. En juillet 1940, le général de Gaulle est un homme seul, avec peu de moyens et sans reconnaissance internationale.
Elle participe ensuite à la campagne de Tunisie au printemps 1943, puis forme la 2e division blindée, qui à partir d'août 1944 participe aux combats de la Libération et atteint Berchtesgaden, le « nid d'aigle » d'Hitler.
Les cinq membres du bureau du CNR sont Georges Bidault, président, qui représente le parti radical et l'Alliance démocratique, Louis Saillant qui représente d'abord la CGT, mais aussi les Socialistes, Libération-Nord et la CFTC, Pascal Copeau, membre de Libération-Sud, qui représente aussi les Mouvements unis de la ...
Une explication plus simple est que la conquête de la Suisse n'aurait guère apporté d'avantages stratégiques, alors qu'une longue et coûteuse guerre des montagnes aurait pu s'ensuivre. Bien que la Wehrmacht ait simulé des manœuvres contre la Suisse dans ses offensives, elle n'a jamais tenté d'envahir.
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
Robert Pestieaux, vétéran de la France Libre, qui a rejoint le général de Gaulle à Londres en juin 1940.
Quelles sont leurs motivations ? L'explication qui revient le plus souvent, pour justifier l'engagement dans les FFL, dans une jeunesse élevée dans le souvenir de la Première Guerre mondiale et le culte de ses héros, c'est un refus de la défaite et de l'armistice.
Ayant rejoint Londres en juin 1940, le général de Gaulle y crée la France libre, une organisation politique et militaire ayant pour but de reconquérir la France. Il obtient l'appui de Winston Churchill et s'affirme face aux rivalités de plusieurs généraux français.
Soissons est de facto capitale des Francs saliens à la suite de la bataille de Soissons et de la conquête des dernières possessions gallo-romaines par Clovis. En 508, Clovis fait de Paris sa capitale.
Cette ligne de séparation du territoire prend effet le 25 juin 1940. Elle prendra par la suite le nom de ligne de démarcation. L'ensemble du territoire et l'Empire sont sous l'autorité du régime de Vichy dirigé par le maréchal Pétain.
Figure phare de la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin est le plus jeune préfet de France en 1937. Il s'opposa à l'occupant allemand dès 1940 et créa, sous l'égide du général de Gaulle, le Conseil National de la Résistance.