Dès l'été 1936, des militants laïcs et des syndicalistes chrétiens sont exécutés en nombre, sans que le nombre des victimes dans les milieux catholiques ne soit exactement connu. On estime néanmoins qu'un tiers du clergé basque fut victime de cette
Espagne franquiste et franquisme (en espagnol : franquismo) sont des noms non officiels utilisés pour désigner le régime politique de l'Espagne fondé par le général Francisco Franco, de 1936/1939 (guerre civile) à 1977 (premières élections libres durant le processus de transition démocratique).
La guerre civile espagnole ou guerre d'Espagne est un conflit qui opposa les forces nationalistes aux forces républicaines, elle dura de 1936 jusqu'à 1939.
La guerre civile en Espagne (1936-1939) opposait les républicains aux nationalistes. Ce conflit très meurtrier a mis le pays à feu et à sang durant trois ans et trouve son origine dans d'importantes dissensions politiques qui ont conduit au coup d'État du général Franco.
On désigne comme les républicains espagnols les membres du « camp républicain » (bando republicano en espagnol), nom que se donnaient eux-mêmes les partisans et défenseurs de la République, qui lui sont restés fidèles après le soulèvement du 18 juillet 1936, durant la guerre civile espagnole (1936-1939).
Les puissances étrangères nationalistes jouent un rôle majeur dans la guerre civile : les forces franquistes reçoivent l'aide de l'Italie fasciste, qui envoie un corps de volontaires de 50 000 hommes en 1937 et fournit du matériel militaire.
Au sortir de la guerre civile, les «rojos» (les «rouges») sont fusillés, incarcérés ou réduits au silence par le nouveau régime. Les militantes sont placées dans des prisons à part. Parmi elles, beaucoup sont enceintes ou jeunes mères.
Le 17 juillet 1936, Franco, relégué aux îles Canaries par le gouvernement du Front populaire, se rallia à la dernière minute, à la suite du meurtre de José Calvo Sotelo, à la conspiration militaire en vue de réaliser un coup d'État.
Cette guerre se termina par la victoire des nationalistes qui établiront une dictature connue sous le nom d'« État espagnol » durant 36 ans, dirigé par Franco portant le titre de Caudillo, jusqu'à la transition démocratique qui n'intervint qu'à la suite de la mort de Franco le 20 novembre 1975.
Le conflit est la conséquence de la rivalité personnelle entre le roi Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV, et le Régent de France Philippe d'Orléans. Le prétexte en est fourni par les prétentions du roi d'Espagne sur le trône de France et un projet d'attentat contre la personne du Régent.
De 1936 à 1939, l'Espagne connaît une guerre civile opposant les nationalistes, menés par Franco, aux républicains.
L'intervention militaire italienne en Espagne a eu lieu pendant la guerre civile espagnole afin de soutenir la cause nationaliste contre la deuxième République espagnole.
1er avril 1939 : les troupes de Franco, soutenues notamment par la Phalange et les forces de l'Allemagne hitlérienne, entrent dans Madrid. C'est la fin de la guerre civile espagnole et le début de la dictature franquiste, une dictature militaire et autoritaire.
Si la Constitution de 1931 de la Seconde République reconnaissait le droit de vote aux femmes et le droit à être élues, il en a été tout autrement pendant la dictature franquiste (1939 - 1975), où la femme n'était pas considérée comme une adulte mais comme une mineure.
Le 18 novembre 1976 , le nouveau président du gouvernement fait approuver par le Congrès des députés franquistes sa propre dissolution (exigence formulée par Franco lui-même) avec la Loi pour la réforme politique (le « Hara-kiri » des Cortes franquistes), validé le 15 décembre par référendum.
Caudillo était en effet le surnom du dictateur Francisco Franco.
Le 20 novembre à 5 h 25 du matin, le généralissime Francisco Franco y Bahamonde, chef de l'État et Caudillo d'Espagne, rend à l'hôpital de la Paz de Madrid son ultime soupir, au terme de près de quarante ans de règne.
L'État espagnol sous le général Franco était officiellement non belligérant pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce statut n'était pas reconnu par le droit international affirmé, mais en pratique impliquait une neutralité.
Le début de l'exode
Quand le 26 janvier 1939, Barcelone tombe aux mains du général Franco, la population catalane – et avec elle des milliers de républicains provenant de toute l'Espagne – se dirige vers la frontière française pour échapper à la répression et aux bombardements.
Premier coup d'État de Pisistrate qui devient le premier tyran d'Athènes. 510 av. J. -C.
Francisco Franco (1892-1975) a été un général et homme d'Etat espagnol. A la tête d'une junte militaire, il s'engage en 1936 dans une guerre contre le gouvernement républicain, la guerre civile espagnole, qui a fait des centaines de milliers de victimes.
Les républicains espagnols reçurent du matériel en provenance de l'URSS, la France le Royaume-Uni et le Mexique, qui ont accepté de leur en vendre en quantité limitée au début du conflit. Les nationalistes espagnols ont été soutenus par l'Italie, l'Allemagne et le Portugal dans des proportions bien plus importantes.
La plupart des Espagnols rejoignirent les unités de Leclerc. Elle comptait 16 000 hommes, dont 2 000 Espagnols au début de l'année 1943. Ils étaient particulièrement nombreux dans la 9e compagnie, 1re compagnie du 3e bataillon, ce qui lui valut le nom de la Nueve ou la Española.
La guerre civile espagnole fut très meurtrière, on dénombre – civils compris – un million de mort. Près de 400.000 Républicains s'exilèrent, principalement vers la France. Victorieux après la prise de la capitale le 28 mars 1939, le général Franco instaure un régime dictatorial et un parti unique.
En espagnol, littéralement « ceux qui sont tombés ». Le terme désigne les combattants franquistes tués en 1936-1939.