The Blues Brothers est le nom d'un groupe de blues américain composé des comédiens Dan Aykroyd et John Belushi et de quelques-uns des plus grands musiciens de blues.
Après un troisième album enregistré en public, Made in America, et des apparitions de John Belushi dans d'autres films comme "Neigbours" et surtout le "1941" de Steven Spielberg, la carrière des Blues Brothers originaux est stoppée net avec le décès par overdose de Belushi survenu le 5 mars 1982.
Biographie The Blues Brothers
Chapeau, lunettes, cravates et costumes noirs... ce sont les Blues Brothers, emmenés par John Adam Belushi et Dan Edward Aykroyd. Leur carrière démarre à la fin des années 70 pour s'interrompre brutalement avec la mort John Adam Belushi au début des années 80.
C'est John Landis lui-même qui interprète l'agent conduisant la deuxième voiture de police poursuivant les Blues Brothers dans le centre commercial, celle qui finira par faire un tonneau et se retrouver le châssis en l'air.
The Blues Brothers est le nom d'un groupe de blues américain composé des comédiens Dan Aykroyd et John Belushi et de quelques-uns des plus grands musiciens de blues. C'est également le titre d'un film sorti en 1980, racontant l'histoire fictive de ce groupe.
Les frères Blues interprétés par John Belushi et Dan Aykroyd sont dénommés Joliet et Elwood. Ce sont également les noms de deux villes situées au sud-est de Chicago, lieu de tournage des The Blues Brothers.
Les Blues Brothers rapportent au final plus de 115 millions de dollars au box-office mondial. Malheureusement, ce succès sera vite endeuillé par le décès tragique de John Belushi le 5 mars 1982, à l'âge très précoce de 33 ans.
Caractéristiques. D'un point de vue technique, le blues repose sur trois éléments : un rythme souvent ternaire syncopé, l'harmonie en I-IV-V (c'est-à-dire les degrés principaux dans l'harmonie tonale), et la mélodie qui utilise la gamme blues et les notes bleues.
Le 5 mars 1982 , John Belushi est retrouvé mort d'une intoxication importante après une nuit de consommation de drogue. Grand consommateur de cocaïne durant les années 1970, John Belushi s'était mis à l'héroïne puis à l'alcool, fin 1981, dans son bungalow du Château Marmont de Sunset Boulevard à Los Angeles.
La légende la plus connue elle celle de Robert Johnson.
A l'époque où le vaudou et les produits stupéfiants étaient très en vogue, tout le monde est persuadé que Robert Johnson a signé un pacte avec le diable, rencontré dans un lieu qui donnera son nom à l'une des grandes chansons du blues, Crossroads.
Downhearted Blues est sa première chanson, enregistrée en 1923.
Dans la grande famille du Jazz, il y a la petite famille du blues. Le blues s'inspire directement du folklore noir américain, c'est-à-dire des chants et des cris de travail des esclaves noirs des Etats-Unis. Le blues est donc une partie seulement du jazz.
Le terme Blues vient de l'expression anglaise « Blue Devils », littéralement « diables bleus » qui signifie idées noires, d'où est née l'expression « avoir le blues ». Ce style musical est à l'origine un chant populaire issu d'une culture orale qui a évolué sur une longue période.
Le style de blues urbain des années 1950 a eu un grand impact sur la musique populaire des musiciens comme Bo Diddley et Chuck Berry. Aussi, le style de blues urbain des années 1950 a influencé le style de musique de Louisiane de zydeco, surtout Clifton Chenier.
Aux États-Unis, plusieurs artistes blancs ont également bâti l'essentiel de leur œuvre sur le blues, tels The Allman Brothers Band, Mike Bloomfield, le Blues Project, Paul Butterfield, Roy Buchanan, Canned Heat, The Doors, Jeff Healey (Canada), John Hammond, Janis Joplin, Charlie Musselwhite ou encore Johnny Winter.
La légende américain du blues, B.B. King est mort jeudi soir à Las Vegas à l'âge de 89 ans. Il avait été admis en hospitalisation en avril dernier suite à une déshydratation liée à son diabète. Surnommé "le roi du blues", B.B. King était considéré comme l'un des plus grands guitaristes de l'histoire. L'hommage d'Obama.
La légende est célèbre dans l'histoire de la musique : il existerait un accord musical capable d'invoquer le Diable : le triton. Surnommé le « Diabolus in musica », il fut totalement interdit par l'Eglise.
Le Jazz, descendant du Blues.
Celui-ci serait apparu aux États-Unis durant la guerre de Sécession dans les plantations de coton du Delta-Mississipi où les cris, les appels et les chants de travail avaient pour fonction de rythmer le labeur. C'est avant tout la musique des noirs durant l'esclavage.
Ses caractéristiques principales sont : la grille d'accords (en 12 mesures), caractère plaintif, répétitif et mélancolique (douleur, tristesse, nostalgie), rythme balancé (shuffle) et l'accompagnement instrumental simple souvent constitué d'une simple guitare, puis éventuellement d'une batterie.
Né vers la fin du XIXe siècle dans les populations rurales noires du sud des Etats-Unis, le blues est postérieur au negro-spiritual et au chant de plantation, dont l'influence l'a marqué, ainsi, semble-t-il, que celle du folklore blanc contemporain.
À partir du XVIIIe siècle, l'instrument préféré du Diable virtuose est le violon. Tartini, célèbre violoniste et compositeur de cette époque, aurait vu en songe le Diable jouant du violon avec une prodigieuse virtuosité, et aurait retranscrit la musique entendue dans sa sonate Le Trille du Diable .