On distingue deux sortes de conjonctives : les conjonctives complétives, qui sont introduites uniquement par la conjonction de subordination que ou la locution conjonctive ce que, et qui sont des compléments essentiels de la phrase.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
Pronoms relatifs indéfinis. , quoi que et où que.
J'aime Les Lilas qui sont blancs. « Qui » est un pronom relatif avec « lilas » comme antécédent. Un subordonnant est la même chose qu'une conjonction de subordination. Dans l'exemple donné, « qui » introduit une proposition relative, c'est donc un subordonnant.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
-> La complétive par 'que' complète un verbe. Exemple : J'ai su que vous viendriez. -> La relative par 'que' complète un nom. Exemple : La photo que je regarde est belle.
Introduite par une conjonction de subordination (comme, lorsque, puisque, quand, quoique, si...) ou une locution conjonctive (dès que, parce que, afin que, bien que, jusqu'à ce que...). La subordonnée conjonctive peut généralement se déplacer. Nous marchons en forêt quand le temps le permet.
Une proposition subordonnée conjonctive est une proposition subordonnée introduite par une conjonction de subordination : "comme", "quand", "lorsque", "quoique", "si", "puisque", "parce que", "que" et ses composés ("après que", etc.). Elle peut être : Complétive.
Repérer la conjonction de subordination
Cela signifie qu'elle ne reprend aucun élément de la phrase (contrairement au pronom relatif). Par exemple, dans la phrase « J'aimerais vraiment que tu viennes », « que » est bien une conjonction de subordination, car « que » ne reprend aucun élément de la phrase en question.
La subordonnée circonstancielle de temps permet d'indiquer une donnée temporelle (simultanéité, antériorité, postériorité, etc.). Conjonctions de subordination et locutions conjonctives : quand, lorsque, au moment où, pendant que, après que, depuis que + indicatif.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle apporte des précisions sur les circonstances dans lesquelles a lieu la proposition principale. Elle joue le rôle de complément circonstanciel. Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.)
Avant transformation, on avait deux phrases qui répétaient « le film ». Souvent, le pronom relatif « qui » ou « que » introduit une proposition subordonnée relative complément du nom (elle donne une information supplémentaire sur le nom, comme un adjectif). Exemple : Le film que j'ai regardé hier était très bien.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
Les subordonnées relatives permettent de compléter un nom, de donner des informations supplémentaires sans commencer une nouvelle phrase. Une complétive suit très rarement un nom, elle complète le plus souvent un verbe; elle est COD de ce verbe.
Lorsque « que » est un pronom relatif, on peut le remplacer par un nom. Il se rattache à un nom et introduit une proposition subordonnée relative, qui fait partie du GN et est complément de l'antécédent. Lorsque « que » est une conjonction de subordination, on ne peut pas le remplacer.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
Qui, que et dont sont des pronoms relatifs simples. 4. Laquelle est un pronom relatif composé.
– Qui est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif. Je parle à qui me plaît. Il est libre de travailler pour qui il a envie. Prenez la place de qui vous voudrez.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot COD (complément d'objet direct). Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.