Qui suis-je ? - Dans quel état j'erre ? - Où cours-je ? 🖋 « Qui suis-je ? - Dans quel état j'erre ? - Où cours-je ? » Jonathan, cherchant ses lunettes qu'Armande a cachées pour qu'il se prenne dans le tapis et tombe : Où vais-je, où cours-je, dans quel état j'erre. ... Le calembour est bien antérieur à Bruno Masure.
Les -qui suis-je, où vais-je, où cours-je, à quoi je sers, dans quel état j'erre ?- ne sont que le prélude d'une maladie qui se fait rare, la perte progressive de la conscience de n'être finalement qu'une part infime de l'univers, qu'un ego cacochyme, rattrapé par le dur constat que ce qui a été ne sera plus et qu'en ...
Je ne saurai jamais plus qui je suis, d'où je viens, où je vais, par où passer. Je m'expose à autrui, aux étrangetés.
“Si tu veux trouver du repos ici et là haut, dis en toute occasion : qui suis-je, moi ? et ne juge personne.” “La plupart des personnages que j'ai pu interpréter se posaient toujours la même question : qui suis-je ?”
Il faut se connaître soi-même ; quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela sert au moins à régler sa vie : il n'y a rien de plus juste. La science la plus nécessaire à la vie humaine, c'est de se connaître soi-même.
Pour se connaître soi-même et se construire, il nous faut donc avant tout prendre conscience de notre existence, et la comprendre. Trouver à travers les autres qui nous sommes, en interagissent avec eux, pour savoir qui l'on est vraiment.
Analyse du sujet
La conscience de soi est l'intuition (la saisie immédiate) qu'a l'esprit de ses états et de ses actes. Ce que j'ai "conscience d'être" est donc le résultat de l'introspection c'est à dire de l'observation intérieure de soi-même en vue de se connaître. "Je", ici, doit être pris au sens général.
« Deviens qui tu es » serait ainsi quasiment synonyme de « prends conscience de toi-même », ou serait en tout cas conditionné par une telle connaissance de soi. Cela signifierait alors que l'on aurait une nature réelle, authentique, dont il faudrait prendre conscience pour devenir celui que l'on est véritablement.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
« Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle 'je suis' m'a envoyé vers vous. » (Exode 3:7-8, 13-14).
« Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle 'je suis' m'a envoyé vers vous. » (Exode 3:7-8, 13-14).
Ce que Descartes exprime dans la quatrième partie du Discours de la Méthode en une formule célébrissime : « Je pense, donc je suis » (souvent transcrite en latin : cogito ergo sum).
- Otto von Bismarck. Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peut savoir où il va. Cette phrase de Otto von Bismarck contient 14 mots. Il s'agit d'une citation courte.
(Philosophie) Maxime attribuée au philosophe Socrate, pour souligner sa propre ignorance.
Socrate est condamné à mort par le tribunal de l'Héliée, à Athènes, en 399 avant J. -C. Plusieurs amis de Socrate proposent de le défendre, mais il refuse leur aide. Acceptant la sentence, bien que se défendant de l'accusation d'impiété, il boit volontairement la ciguë.
Socrate s'adresse autant aux savants qui croient posséder un savoir qu'aux ignorants qui nient qu'il leur manque des éléments. Le savant comme l'ignorant prennent leurs convictions pour la réalité et méconnaissent leur ignorance. Ils ne cherchent plus à connaître puisqu'ils croient savoir !
Aristote: “Le bonheur est une fin en soi” (l'éthique d'Aristote) Voltaire: “Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer” (Epîtres) Kierkegaard: “La vie n'est pas un problème à résoudre mais une réalité qui doit être vécue” (Traité du désespoir) Spinoza: “L'homme n'est pas un empire dans un empire” (L'éthique)
Si partir en solo pour de lointaines contrées ne vous attire guère, une belle balade sur un chemin forestier peut en revanche vous combler. Car l'important pour vous est de pouvoir goûter en toute quiétude à ces instants de solitude. Cela vous permet de donner libre cours à vos pensées et à vos songes.
Savoir d'où l'on vient c'est souvent comprendre où l'on va et ce que l'on est… La généalogie permet de connaître mais aussi de comprendre ses ancêtres, l'histoire (la petite et la grande) de sa famille, de s'enraciner quelque part et d'enraciner sa propre histoire…
Dans le Discours de la méthode, Descartes énonce quatre règles : la règle d'évidence, la règle de l'analyse (division du complexe en éléments simples), la règle de l'ordre (ou de la synthèse), la règle du dénombrement (ou de l'énumération).
Il s'agit d'une théorie à la base de laquelle se trouve aussi une motivation proprement épistémologique. Descartes part de la question de savoir comment il se peut que nous commettions des erreurs alors que nous disposons de facultés cognitives qui sont en principe fiables.
Pour Descartes, on peut mettre en doute l'existence d'autrui au même titre que les autres réalités extérieures à l'esprit du sujet, c'est-à-dire saisies par l'intermédiaire des sens. Ainsi, dans l'expérience du cogito, le sujet se saisit comme pensant, et pour cette raison sait qu'il existe.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.