Les colocataires peuvent bénéficier des aides au logement de la Caisse d'Allocations Familiales, au même titre que les locataires. Ils sont ainsi potentiellement éligibles à l'APL, l'ALS ou l'ALF selon leur situation. Sous réserve de remplir certaines conditions, les locataires peuvent bénéficier d'aides au logement.
Les locataires, colocataires, sous-locataires, propriétaires ou encore les résidents en foyer d'hébergement (EHPAD, résidence autonomie, résidence pour étudiants, etc.) peuvent bénéficier de l'APL. Vous pouvez louer un logement sans vivre dedans, en revanche l'APL n'est accessible que pour les résidences principales.
Les ressources à déclarer pour votre aide au logement
Le nom de chacun des colocataires doit figurer sur le contrat de location ou vous devez disposer de baux distincts pour pouvoir bénéficier de l'aide au logement. Chaque colocataire devra faire une demande d'aide en déclarant ses revenus personnels.
Parce que le calcul de l'APL se base sur le montant du loyer plafonné, un forfait de charges, sur les ressources et la composition du foyer. Ce qui explique que l'aide au logement est plus faible pour des colocataires c'est qu'elle est égale à 75 % du plafond par rapport à un locataire seul.
Paiement des loyers et charges. Chaque colocataire doit payer sa part du loyer et de toute somme due au propriétaire (charges locatives, réparations locatives) telle qu'indiquée dans son contrat de location.
Partager son lieu de vie
Et si la colocation se passe mal, cela se répercute également sur la rentabilité du propriétaire : période de vacance, mauvaise entente avec les habitants, risque d'impayé… Pour des colocataires ayant des modes de vie incompatibles la colocation peut voler en éclat.
Vous voulez vivre avec votre fille (ou votre mère), et vous vous demandez si la colocation mère-fille est possible ? La réponse à cette question est positive. Et pour cause, l'ALF (Allocation de logement familiale), constitue une des aides au logement accordées aux colocataires par la CAF.
Elle est toutefois de droit depuis la loi ALUR. Il suffira ainsi au partenaire non titulaire du bail de demander la cotitularité au bailleur. Dans ces deux cas, les deux partenaires ont les mêmes droits et les mêmes obligations vis-à-vis du bailleur et sont tous deux soumis au respect du contrat de bail.
La CAF vous considère en couple si : Vous vivez en couple sous le même toit. Vous partagez un même logement, c'est à dire avec la même adresse : Attention, si votre partenaire dispose d'un autre logement pour des raisons professionnelles, vous êtes tout de même considéré comme vivant en concubinage.
En effet, en se contentant de la vie commune pour établir un concubinage, la CAF n'apporte aucune preuve des deux autres conditions cumulatives requises pour fonder sa décision : ✓ la stabilité et la continuité de la relation, ✓ la vie de couple (communauté d'intérêts affectifs et matériels).
Bonjour, Vous pouvez louer autant de logement que vous désirez, dès que vous avez les moyens. Il suffit d'informer le bailleur de l'identité de celui (ou de celle ) qui en aura l'usage.
Le montant moyen de l'APL Étudiant est de l'ordre de 100 à 150 euros et varie principalement selon si l'étudiant est boursier ou non et habite seul ou en colocation.
Pourquoi une telle réticence ? 58 % estiment que le logement qu'ils mettent en location est trop petit pour accueillir des colocataires. Les petites et moyennes surfaces sont majoritaires dans le parc locatif privé", rappelle l'étude.
La colocation présente également des avantages pour les propriétaires de biens immobiliers. En effet, le principal avantage est que les logements en colocation peuvent se louer légèrement au-dessus des prix du marché. De plus, il y a très peu de carence locative, car ce type de bien est de plus en plus recherché.
Cas général. Si vous occupez à plusieurs votre logement, une seule taxe d'habitation est établie, au nom de l'un des colocataires. C'est donc cet occupant qui doit payer la taxe d'habitation. Les services des impôts ne se chargent pas de faire la répartition entre les colocataires.
La colocation, c'est le partage d'un appartement entre plusieurs personnes (deux ou plus) déclarant ne pas être pacsées ou ne pas vivre en concubinage. La colocation implique également qu'il n'y ait pas d'intérêts financiers communs entre les occupants du logement.
Vous avez parfaitement le droit de solliciter la CAF pour connaître la personne qui vous a dénoncé. Il faut faire une demande écrite et vous pourrez consulter sur place à la CAF le courrier dénonciateur. C'est une obligation que la CAF ne divulgue pas pour les raisons que l'on peut comprendre.
Sachez qu'en moyenne, le plafond s'élève environ à 14.000 euros pour une personne seule et 26.000 euros pour un couple avec deux enfants.
Se déclarer en concubinage élimine automatiquement les aides auxquelles vous auriez pu avoir le droit en tant que parent seul, notamment l'ASF (allocation de soutien familial) et le RSA (revenu de solidarité active).
Ce qui reste est un sentiment d'amitié profonde. Alors, votre vie de couple devient une colocation dans laquelle les deux partenaires sont insatisfaits. Vous vous appréciez, partagez votre vie, mais d'une manière ou d'une autre, votre cœur n'a plus raison en la matière.
Un couple, au même titre qu'une personne seule peut bénéficier de l'APL. Le fait de vivre en couple avec une personne sans être lié par un contrat (mariage ou pacs) définit la notion de concubinage aux yeux de la CAF, qui peut aussi se nommer “union libre”.
La colocation se démocratise et elle apporte plusieurs avantages non négligeables pour les propriétaires : Vous bénéficiez d'une rentabilité accrue jusqu'à 30 %. Vous pouvez augmenter le loyer plus facilement et plus fréquemment, puisqu'il est possible de le réévaluer à chaque départ d'un colocataire.