Les groupes sanguins se transmettent de manière héréditaire. En clair, votre groupe sanguin est fonction de celui de vos parents. Les gènes A et B sont dominants (ils s'expriment toujours) et le gène O est récessif (il ne s'exprime qu'en présence d'un deuxième gène O).
Les groupes sanguins qui composent le groupe sanguin d'une personne sont hérités à 100 % de ses parents. Chaque parent transmet à son bébé l'un des deux allèles ABO (variante d'un gène). A et B sont dominants, O est récessif.
Si les parents sont AO et BO, ils peuvent avoir un enfant O. Concernant la présence (+) ou l'absence (-) du facteur Rhésus, on sait qu'au moins un des deux parents en est porteur, car les 4 enfants en sont porteurs. Les parents peuvent donc avoir un enfant O+ mais pas O-.
Génétique des groupes sanguins.
Comme la couleur des yeux, le groupe sanguin est une caractéristique génétique. Les individus du groupe AB possèdent, à la surface de leurs globules rouges, les antigènes A et B. On dit qu'ils sont génétiquement AB, car ils ont hérité d'un gène A et d'un gène B de leurs parents.
Appartenir à une fratrie peut avoir différents sens selon ce qu'on entend par « être frères et sœurs ». Les frères et sœurs sont définis comme étant nés des mêmes parents. On parle de lien de « sang » : un lien biologique, génétique qui les inscrit dans la filiation.
Recherché pour ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma : c'est le groupe parfait ! Par chance, c'est le plus représenté dans la population. Comme le groupe A, on ne peut s'en passer car ses globules rouges, ses plaquettes et son plasma sont très demandés.
Les chercheurs sont arrivés à leurs conclusions en mesurant le taux d'hormone FSH (hormone folliculostimulante), responsable du déclin de la réserve d'ovules et de leur qualité, présentes dans le sang des futures mamans. Les taux les plus élevés ont été observés chez les femmes de groupe sanguin de type O.
Il s'agit d'un individu du groupe sanguin O et de rhésus négatif. En France, seulement 6 % de la population est donneur universel d'après l'établissement français du sang. Mais 36 % seraient de groupe O+, ce qui leur permet de donner leur sang aux groupes O+, A+, B+ et AB+, soit environ 85 % de la population.
Si, dans votre exemple, la mère est AA-, l'enfant sera du groupe A+. Si la mère est AO-, l'enfant sera soit du groupe A+, soit du groupe O+.
Les groupes sanguins se transmettent de manière héréditaire. En clair, votre groupe sanguin est fonction de celui de vos parents. Les gènes A et B sont dominants (ils s'expriment toujours) et le gène O est récessif (il ne s'exprime qu'en présence d'un deuxième gène O).
Selon le système de groupes sanguins le plus important, le système ABO combiné au facteur rhésus, le groupe sanguin le plus rare est le groupe AB-, tandis que le plus courant est O+.
Le test de paternité ADN permet de confirmer que le père présumé est bien le père biologique de l'enfant, sans avoir besoin de tester la mère.
Par contre, "comme les patients du groupe O n'ont aucun antigène sur la surface de leur globule rouge, ils peuvent donner à tous les autres". En effet, "comme ils ont dans leur sérum des anticorps anti A et anti B, ils ne peuvent recevoir que du sang dépourvu d'antigène A ou B, c'est à dire du groupe O.
Un groupe B consiste en la présence d'un sucre sur les globules rouges appelé "B", un groupe O consiste en l'absence de ce sucre. Une personne de groupe B peut donc avoir un gène parental "B" et un gène parental "O" ou deux gènes parentaux "B". Un individu de groupe O présente, quant à lui, deux gènes parentaux "O".
Ainsi, le groupe O- est destiné à tout le monde; on l'appelle « donneur universel ». On utilisera donc, entre autres, du sang O- dans les situations d'urgence. À l'inverse, le groupe AB+ peut recevoir du sang de tous les groupes sanguins; c'est donc le groupe appelé « receveur universel ».
Il y a incompatibilité, selon les médecins, lorsqu'une femme de rhésus négatif épouse un homme de rhésus positif. Ainsi, si cela s'avère être le cas, cette incompatibilité engendrera des risques aussi bien pour la future maman de rhésus négatif que pour le futur bébé, dont le rhésus est positif.
Il ne peut donc donner son sang qu'à des sujets de ce même rhésus (RHD) : seuls les individus A+, B+, AB+ et O+ peuvent recevoir ses globules rouges. En France, les rhésus positifs (RHD+) sont bien plus fréquents que les rhésus négatifs (RHD-). En effet, près de 85% des Français ont un rhésus positif.
En raison de l'absence des antigènes A, B et D dans le sang O négatif, ce dernier convient aux patients dont on ne connaît pas le groupe sanguin. C'est également le seul type de sang que peuvent recevoir les patients du groupe O négatif.
Le fait d'avoir des groupes sanguins similaires ou différents n'entraîne aucun problème pour faire des enfants normaux. Vraiment aucun. Avoir pris des médicaments n'entraîne pas non plus de risque la plupart du temps, car les molécules de médicaments sont presque tous éliminés très rapidement de l'organisme.
Vrais jumeaux (monozygotes)
Les vrais jumeaux, aussi appelés jumeaux monozygotes, sont le résultat de la séparation en deux d'un ovule fertilisé, ce qui conduit au développement de deux embryons distincts. Les jumeaux sont alors du même sexe, du même groupe sanguin et possèdent les mêmes caractéristiques physiques.
Quel sont les groupes sanguins qui sont compatibles pour un lien de mariage? Il n'y a pas de restrictions par rapport aux groupes sanguins.
Le groupe sanguin
Le plat préféré : les individus du groupe O qui se font piquer par 83,3 % des moustiques. Les endives du moustique : les individus du groupe A, qui se font piquer par 46,5 % des moustiques. Les individus du groupe B se situent au milieu, mais l'étude ne communique pas de pourcentage précis.
Une personne appartenant au groupe AB et qui ne porte pas l'antigène D aura par exemple un groupe sanguin AB– . En revanche, une personne qui appartient au groupe O et qui porte l'antigène D aura un groupe sanguin O+.
Les gènes de la mère représentent généralement 50% de l'ADN du bébé, et les 50% restants viennent du papa. Néanmoins, les gènes masculins sont plus “forts” que les gènes féminins, si bien qu'ils se manifestent plus fréquemment. Donc, pour 40% des gènes actifs de la mère, il peut y avoir 60% des gènes du père.