C'est donc un jour légalement férié mais pas chômé, ce qui veut dire que tout employeur peut donc imposer à ses salariés, en CDI comme en CDD, de travailler ce jour-là (sauf pour les jeunes travailleurs de moins de 18 ans hors secteurs du commerce, restauration et hôtellerie).
Cette année, le lundi de Pentecôte tombe le 6 juin 2022. Cette « journée de solidarité » est obligatoire pour tous les salariés, et n'est donc pas rémunérée. Mais depuis 2008, il est possible de la déplacer à un autre moment (sauf au 1er mai) si vous souhaitez conserver un week-end de trois jours à ce moment-là.
Lundi de Pentecôte : lundi 6 juin 2022.
Le lundi de Pentecôte est travaillé (sauf si vous posez une RTT ou une journée de congés) Le lundi de Pentecôte n'est pas travaillé car une journée de RTT a été déduite du compteur de chaque salarié, suite à un accord d'entreprise.
Dates du lundi de Pentecôte
Le lundi de Pentecôte est prévu aux dates suivantes : lundi 6 juin 2022.
Le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. En effet, il a été décidé en 2004 d'instaurer une journée de solidarité pour "financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées" peut-on lire sur le site de l'administration.
Issue du grec pentêkostê, la Pentecôte signifie « cinquantième », comme le rappelle le magazine Geo. En effet, cette fête chrétienne est célébrée sept semaines après Pâques, qui marque la résurrection de Jésus, et une dizaine de jours après l'Ascension qui symbolise son élévation au ciel.
Les jours fériés chômés ne peuvent donner lieu à aucune perte de rémunération pour le salarié. Les jours fériés 2022 ne font pas exception à la règle. Alors que le 1er, le 8 mai et le 25 décembre tombent un dimanche, le lundi 15 août et le vendredi 11 novembre créent un week-end prolongé.
Les jours fériés sont le 1er janvier, le lundi de pâques, les 1er et 8 mai, le jeudi de l'Ascension, le lundi de Pentecôte, le 14 juillet, le 15 août, les 1er et 11 novembre et le 25 décembre. Seul le 1er mai est un jour chômé et systématiquement payé s'il tombe un jour habituel de travail.
La journée de solidarité est obligatoire. Elle concerne aussi bien les salariés que les employeurs.
? Le 6 juin nous fêtons les Claude, Claudie, Claudette en l'honneur de Saint Claude évêque de Besançon, qui fut d'abord militaire, puis évêque avant de se retirer de sa charge pour vivre en solitaire dans la prière.
Quels sont les jours fériés ? Jours de fêtes religieuses, laïques, de commémoration ou fête nationale prévus par la loi : 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 8 mai, Ascension, lundi de Pentecôte, 14 juillet, Assomption (15 août), Toussaint, 11 novembre, 25 décembre.
Tous les salariés du secteur privé sont concernés par la journée de solidarité. Les salariés en CDD l'effectuent comme ceux en CDI, ceux en travail à temps partiel doivent aussi s'acquitter de cette journée, mais au prorata de la durée normale de leur travail.
Tout employeur, sans exception, verse mensuellement 0,30 % de sa masse salariale brute au titre la contribution solidarité autonomie à l'Urssaf chargée de sa collecte. C'est une cotisation exclusivement patronale. En contrepartie, tout salarié doit travailler une journée supplémentaire chaque année.
Comment rémunérer la journée de solidarité ? Pour les salariés à temps plein mensualisés, la journée de solidarité correspond à 7 heures de travail non rémunérées. Ils peuvent soit la compenser avec un jour de repos, de RTT, ou de repos compensatoire, soit travailler 7 heures supplémentaires, non rémunérées.
Travailler un jour férié est tout à fait possible, en fonction des jours fériés chômés déterminés par la convention collective ou l'usage dans la localité ou dans l'entreprise. Toutefois, le 1er mai peut être travaillé uniquement par le salarié employé dans les secteurs, énumérés à l'article R.
Les salariés mineurs sont les seuls à bénéficier automatiquement d'un jour chômé pour chaque jour férié puisqu'ils ont interdiction de travailler les jours fériés légaux(4) sauf dans certains secteurs pour lesquels les caractéristiques particulières de l'activité le justifient, notamment : hôtellerie, restauration, ...
- Le doublement du salaire n'est pas prévu en cas de travail le dimanche. - Mais, selon les secteurs d'activité, un repos compensateur peut être prévu par votre convention collective. - L'employeur peut aussi prévoir une majoration de salaire dans votre contrat de travail s'il le souhaite.
Dans tous les cas, le 1er mai, le 25 décembre et le 1er janvier sont 3 jours obligatoirement chômés par tous les salariés. Pour ces 3 jours, les salariés percevront également leur salaire. Parmi les 8 autres jours fériés, les salariés ne pourront travailler que 4 jours maximum.
S'il tombe un dimanche, le 1er mai, comme tout autre jour férié ne sera pas rattrapé, sauf accords de branche. Néanmoins, le 1er mai est un jour à part parmi les jours fériés en France. C'est le seul jour chômé obligatoire pour tous les salariés.
Les jours fériés sont les 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 8 mai, Ascension, lundi de Pentecôte, 14 juillet, 15 août, Toussaint, 11 novembre, 25 décembre. Le dimanche est une journée de repos pour le salarié.
Le lundi de Pentecôte est le lundi qui suit le 7ème dimanche après le dimanche de Pâques. Il tombe généralement entre le 10 mai et le 13 juin. Cette année, c'est le lundi 10 juin 2019. Et l'année suivante Pentecôte sera le lundi 1er juin 2020.
Le jeudi de l'Ascension est un jour férié chômé
Dans le cas où la convention collective de l'entreprise a prévu qu'il soit férié et chômé, le salarié a le droit de refuser de venir travailler même si l'employeur le lui demande. Il percevra sa rémunération normale.