Le secteur de l'énergie est certainement le plus ancien à avoir opté pour la RFID. On retrouve son emploi dans les centrales nucléaires ou thermiques, dans les industries d'extraction ou de raffinage du pétrole ou encore dans les réseaux d'eau ou de gaz dans les villes.
les personnes, en étant intégrée dans les passeports, cartes de transport, cartes de paiement (on parle alors de carte sans contact) ; les carnivores domestiques (chats, chiens et furets) dont l'identification RFID est obligatoire dans de nombreux pays, en étant implantée sous la peau.
RFID pour Radio Frequency Identification.
Contrairement au code à barres, on peut suivre leur cheminement, mais aussi mémoriser et récupérer leurs données. Cette technologie permet une communication entre l'objet et le détecteur sans visibilité, que ce soit à distance ou à l'intérieur de matériaux opaques, par exemple.
Une étiquette RFID peut devenir un antivol : la puce étant désactivée lors du paiement, le vol est rapidement repéré et il est même possible de distinguer quel objet a sonné sur chaque personne. Une traçabilité en temps réel des articles et des disponibilités pour répondre aux attentes du client.
L'eau est un autre matériau qui peut bloquer les signaux RFID, car elle absorbe les ondes radio et empêche leur pénétration dans le matériau. C'est pourquoi les étiquettes RFID ne sont généralement pas utilisées dans les environnements aquatiques, car l'eau bloquerait le signal.
En HF, la portée maximale est de 90 centimètres, tandis qu'en UHF elle atteint 9 mètres. Sur les systèmes passifs, qui sont les plus répandus, le lecteur RFID émet un champ énergétique, limité à 2 W en Europe, qui « active » le tag et lui donne la puissance lui permettant de répondre.
Comment fonctionne un système RFID ? Le fonctionnement d'un système RFID permet un échange d'informations, au moyen d'un identifiant et d'un lecteur. Le lecteur RFID lit le tag ou l'étiquette RFID placé sur l'objet à tracer ou à identifier.
Proximité : 25cm (le plus commun),Voisinage : jusqu'à 1m,Moyenne distance : jusqu'à 9m,Longue portée : centaines de mètres. Flasher portatif pour lire les étiquettes manuellement.
Une application installée sur un smartphone ou sur une tablette comme par exemple NFC Tools sur Android, Une fois l'application ouverte, il faut approcher le smartphone à moins de 10 cm de l'étiquette et écrire dans l'étiquette l'action souhaitée.
Le lecteur RFID
Les basses fréquences ont un taux de transfert lent et une portée courte, mais une capacité de lecture élevée, quel que soit l'environnement. Plus la fréquence est haute, plus le taux de transfert est rapide et la portée longue, plus la capacité de lecture se révèle difficile.
Branchez le lecteur sur un port USB
Attendez quelques secondes, le temps que l'ordinateur trouve le lecteur. Pendant ce temps, le Prox'N'Roll RFID Scanner HSP clignote en jaune. Aussitôt que la lumière couleur cyan se met à clignoter en séquences lentes, c'est que le lecteur est prêt à être utilisé.
L'identifiant RFID est à dissimuler par vos soins, dans l'habitacle de votre véhicule en évitant le coffre, les zones métalliques et le sol.
Une borne de recharge RFID – pour radio frequency identification – est une wallbox sécurisée qui comprend un lecteur de carte RFID. Elle fonctionne grâce à un lecteur qui identifie la carte RFID de l'automobiliste et qui va automatiquement facturer la recharge sur son compte.
Si vous possédez un smartphone Android adapté à la lecture NFC, vous pouvez vous-même connaître le code RFID de votre carte de recharge. Pour ce faire, téléchargez l'application NFC Reader depuis le Google Play Store.
Voici deux exemples de collisions : Dans le cas du premier exemple, le codage des données en signal fréquentiel utilisé est le codage NRZ et la modulation utilisée pour transmettre le message est une modulation d'amplitude (ASK). Les transpondeurs 1 et 2 diffusent leurs messages respectifs à la station de base.
La RFID fonctionnera à haute fréquence, autour de 900 MHz, en utilisant la composante électrique de l'onde radio, tandis que la NFC utilisera la composante magnétique de l'onde radio, à une fréquence de 13,56 MHz. Cela signifie que la NFC fonctionnera à travers les liquides alors que la RFID sera très limitée.
En effet, les étiquettes RFID passives n'ont pas besoin d'une batterie, car celles-ci collectent leur énergie à partir du signal d'interrogation du lecteur. Pour lire les étiquettes dans cet arrangement, un lecteur enverra un signal puissant à toutes les étiquettes dans sa portée de lecture.
Une fois que les étiquettes RFID ont quitté l'usine, l'utilisateur est autorisé à écrire des informations sur l'étiquette RFID sans contact via un dispositif dédié. Cette fonction d'écriture dédiée est souvent combiné avec la fonction de lecture d'étiquette RFID pour former un lecteur d'étiquette RFID.
« Tirer » de haut en bas sur l'écran de votre téléphone Apple pour faire apparaitre les réglages. Puis cliquer sur l'icône NFC / RFID pour démarrer la lecture de l'étiquette.
Il existe plusieurs fréquences RFID passives. La basse fréquence (BF – 125 kHz ou 134 kHz), l'ultra haute fréquence (UHF soit 850-960 MHz) ou Rain RFID et la haute fréquence (HF soit 13,56MHz).
La différence entre NFC et RFID
Si la RFID permet de recevoir et d'émettre des ondes radio jusqu'à plus de 100 mètres (dans le cas tags actifs, c'est-à-dire dotés d'une batterie autonome), la NFC est limitée à tout au plus 20 cm dans les meilleurs des cas.