Le mot kichta est un mot utilisé par les ados pour parler de l'argent. C'est un mot qui était utilisé par les dealeurs pour parler des liasses de billets. Jeanne a choisi de nous expliquer le mot kichta. Ce mot qui est aussi écrit quichta, est un mot issu de l'argot des dealeurs pour parler de la liasse de billets.
Comme «kichta», autrement dit une liasse de billets.
Que veut dire le mot kichta ? Le mot kichta , qu'on trouve aussi écrit quichta et qui s'abrège en kich , provient de l'argot des dealeurs. Il désigne une liasse de billets, un tas de billets. Ce mot s'emploie aussi ironiquement pour désigner quelques billets, une petite somme d'argent.
Révision d'un jugement en matière familiale. Les bureaux d'aide juridique offrent des services aux parents séparés pour la révision, à moindre coût, d'un jugement en matière familiale (Service d'aide à l'homologation ( SAH )).
Nom commun
(Argot) Vente de drogue.
Étymologie. Pour la pâtisserie : Du francique lorrain et de l'alémanique alsacien schneck (« escargot »). À comparer à l'allemand Schnecke (« escargot », « limace »).
«Faible», «paix» et «pauvre type»
De l'arabe miskīn «pauvre», miskine est un terme qui a peu ou prou conservé son sens originel en passant dans notre vocabulaire. Ainsi l'entend-on souvent employé pour faire part de notre mépris et qualifier une personne pitoyable, voire pathétique.
C'est juste un synonyme pour quartier, ou cité.
"Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
(Argot) Frère ; ami.
Quelle est la traduction de Poucave ? Ce mot Poucave est utilisé pour désigner une personne qui rapporte, qui révèle les secrets. C'est un mot qui a pour racine le verbe Poukh utilisé dans la langue des Roms, des gitans, et qui signifie trahir, dénoncer.
Nom commun. (Argot) Argent. (Argot) Cannabis Référence nécessaire.
Attesté depuis 2003, le terme est issu du romani, langue notamment parlée par les gitans, bohémiens et tziganes, comme l'indique le Trésor de la langue française. Il signifie «idiot», «fou» et «imbécile».
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Le terme "Cheh" est utilisé par les adolescents pour dire à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait.
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Faire crari. Quelqu'un qui fait crari, c'est quelqu'un qui fait semblant, qui se donne un genre. Employé seul, souvent en début de phrase, crari, mot aux origines obscures, signifie « soi-disant », « prétendument », à l'instar de son cousin arabe, « zarma » ou « zerma ».
Le mot Wesh vient de l'expression arabe "Wesh rak", qui se traduit par "Comment vas-tu ?". L'expression "Wesh" est principalement utilisée par les adolescents pour se saluer.
Blg. Belle gosse. Variante féminine de "bg" pour beau gosse.
Gentiar : (verlan) Argent.
Formé sur le mot «sahha» qui désigne la santé, bonne ou mauvaise, en arabe standard et dialectal, «bsahtek» est une locution communément utilisée aujourd'hui pour dire «bien joué !», «bravo !» ou encore «la classe !».
Que l'on prononce : Ouhibbouk-احبكي pour une femme et Ouhibouka -احبك pour un homme. On insistera sur le “h” qui se prononce de manière aspirée et on rebondit sur le double “b” pour prononcer “je t'aime” en arabe.