Pour parvenir à un objectif, il faut accepter de s'en donner les moyens. Et ce, même si ces moyens sont avilissants, immoraux ou peu nobles. La fin justifie les moyens.
Locution-phrase
Pour atteindre son but, il faut s'en donner les moyens, et cela même s'ils sont dégradants ou immoraux.
Composé de fin , justifier et moyen . Généralement attribué à Nicolas Machiavel de manière erronée : son œuvre "Le Prince" exprime cette philosophie en détail mais sans jamais utiliser cette expression. Parfois attribué à Philippe de Commynes.
La fin justifie les moyens est un adage qui signifie qu'une personne est prête à tout, même à faire usage de moyens condamnables, pour atteindre un but.
La faim est issue d'un mécanisme physiologique associé au système digestif, en connexion avec le système nerveux central. Elle nous enjoint de trouver de la nourriture et de nous nourrir afin d'assurer la survie de notre corps.
La fin justifie les moyens. mais qu'est-ce qui justifiera la fin [...] - Albert CAMUS.
En résumé, pour que la fin justifie les moyens, il faut que la fin soit elle-même juste. Et même dans ce cas, les moyens doivent bien sûr respecter la loi. Si ce n'est pas dans son formalisme à la lettre, c'est au moins dans son esprit c'est-à-dire ce qu'elle vise.
Énonciation brève et frappante d'une règle de conduite, empruntée au droit coutumier ou écrit (par exemple Nul n'est censé ignorer la loi).
Locution nominale
But ultime se trouvant au sommet de la hiérarchie de tous les objectifs de l'existence. Note : souvent employé par exagération.
"La fin justifie les moyens" : une phrase souvent attribuée au penseur italien Nicolas Machiavel, auteur du livre "Le Prince".
Un droit civil est un acte de la volonté générale, selon Rousseau, et la volonté générale doit être obéie par tous. Ainsi, l'obéissance à la loi civile est requise pour tous les individus par les termes du contrat social.
« Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant. Tel est le problème fondamental dont le Contrat social donne la solution. »
Terme, limite extrême dans l'espace et le temps. Interruption. Objectif, ce qu'on se propose d'atteindre. Intention, représentation subjective d'un but.
Concours de circonstances fâcheuses, imprévues et inévitables ; adversité inexplicable ; malédiction : Une sorte de fatalité accompagnait ses entreprises.
Métaphoriquement, le bonheur devient le point culminant de notre existence. Aristote explique que le bonheur est une fin en soi : c'est un but final, un état de satisfaction totale et durable. Deux questions se posent alors : Est-ce que cet état de béatitude absolue existe ?
Cette expression signifiait que, pour qu'une chose soit bien faite, il fallait la réaliser trois fois. Il ne fallait donc pas s'arrêter après la deuxième fois, mais répéter l'action une troisième fois pour que celle-ci soit totalement réussie.
► Quel est le plus célèbre des proverbes connus ? Le proverbe connu le plus célèbre est : « Quand tout va bien on peut compter sur les autres, quand tout va mal on ne peut compter que sur sa famille. » (Proverbe chinois).
La mort nous délivre des tourments du monde sensible, les maladies, la douleur… et c'est pourquoi « le corps est le tombeau de l'âme » (sôma sêma) (Cratyle). Au fond, à la mort, on n'enterre que le corps. Pour les vrais philosophes, la mort, explique Platon, n'est donc que la libération de l'âme.
L'organisme doit donc puiser dans son environnement, d'où la nécessité de respirer, etc. La mort intervient quand l'organisme ne peut plus puiser et maintenir son entropie basse. La principale source d'énergie sur Terre est la lumière du soleil qui permet la photosynthèse.
Or, la thèse fondamentale de Hegel est que cette dialectique n'est pas seulement constitutive du devenir de la pensée, mais aussi de la réalité ; être et pensée sont donc identiques. Tout se développe selon lui dans l'unité des contraires, et ce mouvement est la vie du tout.
Le contrat social vise à empêcher l'inégalité.
Son objectif est d'édifier un système de pouvoir démocratique qui réussisse à garantir à la fois l'égalité et la liberté des citoyens.
En effet, « le pacte fondamental substitue […] une égalité morale et légitime à ce que la nature avait pu mettre d'inégalité physique entre les hommes, et que, pouvant être inégaux en force ou en génie, ils deviennent tous égaux par convention et de droit ».
Théorie. La souveraineté populaire repose sur le Peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens actuels d'un pays. La souveraineté populaire implique le suffrage universel (bien que J-J Rousseau ne soit pas contre l'usage du tirage au sort en démocratie), puisque chaque individu détient une part de souveraineté.
Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir. De là le droit du plus fort ; droit pris ironiquement en apparence, et réellement établi en principe.