Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
«C'est ce qu'il me reste» ou «C'est ce qui me reste»? Une règle très simple nous permettra de mettre fin à nos sempiternelles tergiversations. «Qui est le sujet du verbe construit personnellement», indique l'Académie française dans sa rubrique Dire/Ne pas dire. Exemple: «Je ne sais pas ce qui m'a pris.»
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Le verbe s'accorde toujours avec il.
Restent sur la table quelques objets sans valeur > il reste sur la table …
Pour des raisons de sonorité, un « t » dit euphonique doit être ajouté devant les pronoms de la troisième personne: « il », « elle », « on », « ils », « elles » sauf lorsque le verbe possède une terminaison en « t » ou « d » c'est à dire dans les cas suivants: « reste-t-il ? », « resta-t-il ? », « restera-t-il ? », « ...
Infinitif ou non ? Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir. Le verbe se met à l'infinitif après les prépositions « de », « à », « pour » et « sans ».
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive. Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c'est surtout une question de gout, de sensibilité.
Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.
QUI ou QU'Y ? Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Ainsi, le verbe FALLOIR étant un Verbe impersonnel, on écrira toujours CE QU'IL FAUT : – J'ai tout ce qu'il faut pour soigner la joue de David Lemoche. Enfin, dans le langage oral (et surtout familier), on entend souvent : – J'ai tout ce qui faut…
En général, on forme le pluriel d'un nom en ajoutant « s » au nom singulier. Pour certains noms, « x » est la marque du pluriel. En général, «s» est la marque du pluriel à l'écrit. Cette terminaison « s » ne se prononce pas.
« Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël? » Quelle chose te ferait plaisir pour Noël ? Il est donc conjugué à la troisième personne du singulier : Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël ?
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
Il est bien rare de croiser cette expression correctement orthographiée. Parmi les erreurs courantes : "moi qui ais", "moi qui ait" ou pire (car on emploie le verbe être au lieu d'avoir !) "moi qui es", "moi qui est". Or, la seule orthographe valable est "moi qui ai".
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
Comment se fait-il que vous soyez là ? Il semble que le subjonctif soit de rigueur après les verbes faire et pouvoir à la forme pronominale afin de marquer une surprise ou un sentiment, à l'instar de la phrase suivante : Je suis étonnée que vous ayez gagné.
'ent' à la fin d'un mot se prononce : [ɑ̃ ](en) ou ne se prononce pas du tout. 'ent' ne se prononce pas quand il s'agit de la terminaison d'un verbe conjugué, à la 3e personne du pluriel.
En grammaire on dit qu'un verbe est défectif quand il ne se conjugue pas sous toutes les formes possibles. Les verbes impersonnels sont donc aussi des verbes défectifs. Voici quelques exemples de verbes défectifs: bruire, distraire, traire, extraire, soustraire, paître.
-la voiture a été faite rapidement. (là il ne faut pas conjuguer faire, il est au participe passé et donc il s'accorde avec le sujet "la voiture")Donc tu as bien trois verbes à la suite avoir-être-faire mais tu as un auxiliaire,le verbe conjugué et le participe passé. -La voiture a pu être faite la semaine dernière.