chiffe n.f. Mauvaise étoffe, loque.
Attitude prétentieuse ; affectation, bluff.
n.f. Homme faible, qui manque de virilité, de volonté ; homme sans énergie, sans caractère. Morceau d'étoffe usée. Personne sans caractère, sans énergie ; personne chétive, au tempérament maladif.
L'expression mou comme une chique est une déformation de mou comme une chiffe, qui signifie « être dépourvu d'énergie physique et morale ». On peut aussi dire de quelqu'un qu'il est une chiffe molle. Son nouvel ami est mou comme une chiffe.
L'expression ''être comme une chiffe molle'' veut dire qu'une personne est affaiblie, fatiguée ou dans un autre sens assez lâche. L'origine d'être comme une chiffe molle date du XVIème siècle ou le mot chiffe vient de chip en anglais qui veut dire petit morceau et chiffre en français pour désigner un objet sans valeur.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
Cependant, on emploie couramment et correctement chiffre au sens de « nombre » pour exprimer une valeur, un montant, une quantité : chiffre des ventes, chiffre d'affaires, chiffre des naissances. L'expression en chiffre rond est plus juste au singulier (= pour former un chiffre rond).
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Couper la chique à qqn. Surprendre quelqu'un au point qu'il perd le fil de son raisonnement, de la conversation.
Le tabac à chiquer contient plus de nicotine que les cigarettes et il peut être encore plus difficile d'arrêter de chiquer que de fumer. Le fait d'avoir une quantité régulière de tabac à chiquer dans la bouche pendant 30 minutes vous apportera autant de nicotine que trois cigarettes.
Cette expression est apparue au cours des années 1880 dans le domaine littéraire et repose sur l'image d'une poire que l'on coupe en deux de manière égale pour un partage équitable entre deux personnes.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel. Ces déterminants en accompagnent généralement un autre afin de former un déterminant complexe comme tout le, toute sa, tous ces, toutes les, etc.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
« Tout » peut être substantivé, c'est-à-dire considéré comme un substantif (un nom), lorsqu'il est précédé d'un déterminant. « Le tout » a le sens de « l'ensemble », de « la totalité ».
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Le plus petit nombre entier n'existe pas. En effet, les nombres entiers sont les nombres entiers relatifs, qui incluent les nombres entiers négatifs, jusqu'à la limite de l'infini négatif. En revanche, le plus petit des nombres entiers naturels est 0, et le plus petit nombre entier naturel non nul est 1.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
indulgent, indulgente
Qui pardonne aisément les fautes, qui n'est pas sévère, dur : Être indulgent à l'égard des élèves. 2. Qui manifeste l'indulgence : Appréciation indulgente.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Le pronom possessif marque l'appartenance, la possession. Comme les autres pronoms, il remplace un nom ou un groupe nominal. En règle générale, il est formé d'un article défini (le, la ou les) et du mot mien, tien, sien, nôtre, vôtre ou leur.
A l'origine, l'expression signifiait donc "vers la fin du repas", c'est-à-dire à un moment où l'on commence à être repu et détendu, un instant plus convivial et propice aux discussions.