Qui est tel au plus haut degré ; complet, total : Il est d'une correction parfaite. Un parfait homme du monde. 3. Qui a toutes les qualités qu'on attend de lui : Un secrétaire parfait.
Être parfait n'est pas un idéal, l'idéal est d'être soi, de s'accepter tel que nous sommes avec nos forces et nos faiblesses. Il ne faut pas oublier que ce sont nos faiblesses qui sont tout aussi charmantes que nos forces.
On veut être parfait par peur de ne pas être aimé. Lâcher le perfectionnisme permet de devenir plus authentique, moins stressé et de renouer avec l'action.
« Celui qui garde sa Parole, l'amour de Dieu est véritablement parfait en lui » (1 Jeann 2v5) : nous n'avons pas à chercher à être parfaits par nos efforts mais à écouter et à garder la Parole de Dieu ; le résultat est alors cette maturité-perfection.
La description de la perfection de Dieu en termes 'cosmologiques' est évidemment une image qui interpelle. La perfection du Père, à laquelle on renvoie en rappelant le soleil et la pluie, trouve toute sa vérité dans le Fils crucifié qui dit : Père, pardonneleur, car ils ne savent ce qu'ils font (Lc 23,34).
Pour atteindre cet objectif, nous devons garder les commandements de Dieu et être fidèles jusqu'à la fin de notre vie ici-bas, et après la mort, nous devons persévérer dans la justice et la connaissance jusqu'à ce que nous soyons comme notre Père céleste… « … L'apôtre Paul expliqua le chemin qui mène à la perfection.
La volonté parfaite de Dieu est la volonté entière, mature et pleine de Dieu. La volonté imparfaite de Dieu est ce que Dieu laisse les hommes faire, même si ce n'est pas ce qu'Il leur destine en priorité.
Sa justice, sa bonté, sa sainteté sont parfaites. Cependant, la perfection de Dieu ne se limite pas à son excellence morale, elle s'étend à tout son être et à l'ensemble de ses attributs. Dieu est parfait dans le sens qu'il possède l'ensemble de ces qualités excellentes.
La justice est ce qui caractérise Dieu dans la Parole de Dieu. Celui qui suit Dieu, celui qui se met à son écoute est appelé « le juste » dans l'Ancien Testament.
La personne perfectionniste s'impose des standards d'excellence extrêmement difficiles à atteindre, voire impossibles. Elle ne sait doser ses efforts, se surinvestissant parfois dans des activités de moindre importance au détriment de certaines plus prioritaires.
Acceptez l'échec
Se tromper, échouer nous donne l'opportunité de recommencer encore mieux, en ayant appris de nos erreurs. Il faut comprendre que ce sont nos imperfections, nos défauts, nos faiblesses, voire nos étrangetés qui nous rendent humains et uniques.
Contraire : abominable, catastrophique, défectueux, désastreux, détestable, exécrable, imparfait, infect, lamentable, manqué, mauvais, médiocre, négligé, piteux, pitoyable, raté.
PERFECTIONNISTE : Définition de PERFECTIONNISTE.
Pourquoi ? Parce que nos attentes envers la vie sont trop élevées. Tsé la vie, celle avec qui on partage tout, elle fait de son mieux, mais elle est comme nous, elle n'est pas parfaite. Si elle n'est pas parfaite, rien ne peut être parfait.
On écrira ainsi «dieu», sans majuscule, quand il sera question d'une religion polythéiste. Exemple: «Les dieux égyptiens», «Mars, dieu de la Guerre». Idem, quand on parlera de «dieu» comme d'une «idole». Exemple: «C'est mon dieu.»
CALISTA : esprit de la perfection. CALLEIS (Καλλείς) : une des Charites dont le nom signifie « beauté ».
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
Dieu est infini dans sa nature et éternel dans son être. Dieu connaît tout, il est tout-puissant et il est présent partout. Dieu possède aussi des qualités qu'il nous donne généreusement de façon limitée, par exemple la justice, la miséricorde, la connaissance, la sagesse, l'amour et la sainteté.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
La fidélité de Dieu à l'égard de l'homme se manifeste dans la kénose du Christ, c'est-à-dire dans l'acte de se vider de sa propre condition. En second lieu la promesse soutient et sous-tend l'histoire, elle donne à l'aventure historique sa tension vers un but, tension sans laquelle elle ne serait que désespérance.
« Pour être bénis, nous avons besoin de sources et de vases de bénédiction. Or, Dieu fait souvent, de notre frère, de notre sœur, de notre prochain, une source de bénédiction. Acceptons donc notre prochain tel qu'il est, afin qu'il puisse être une bénédiction. »
Oui, Dieu intervient comme en réponse, en co-acteur de l'action dans laquelle nous sommes engagés. C'est quand nous nous engageons, quand nous prenons des risques, qu'il peut alors agir. Il n'agit pas sans nous ni contre nous.